|
|
|
|
|
|
ENVIRONNEMENT du dossier:
1°) Notions sur les opérations |
1°) les inégalités : degré « x »…. 2°) les inégalités triangulaires 4°) demi droites et inégalités 4° : les inégalités
« théorèmes …. » |
DOSSIER
Calcul Numérique:
LES
« INEGALITES ALGEBRIQUES » Les principes
|
|
|
|
|
|
|
|
1.
Définition. |
|
||||
|
|
|||||
|
|
|
|
|
|
|
2.
|
|||||||
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Travaux
auto formatifs. |
|
|
|
|
|
TEST |
COURS |
Interdisciplinarité
|
|
||||
COURS
Se rappeler :
Exemple :
soit
deux nombres :
« a » = + 4 et « b » = -5 |
La différence de ces deux nombres est : (+4) – (-5) = +9 SOS
cours |
On
écrira que le nombre ( + 4 ) est plus grand que ( - 5) |
Se rappeler :
Comparaison
de deux nombres relatifs
|
|
Un nombre négatif est inférieur à un nombre
positif ! |
|
|
|
|
|
1°) Définition : |
|
|
|
|
|
· On
sait qu’une quantité « a » est dite « plus grande » ou
« plus petite » qu’une quantité « b » ,
selon que la différence algébrique « a – b » est
« positive » ou « négative » . · Toute
quantité positive est dite « plus grande que zéro » et toute quantité négative est dite « plus petite que
zéro » ; · L’inégalité
« a > b » peut donc s’écrire sous chacune des formes
équivalentes suivantes : « a – b > 0 » ; « a= b
+ k² » ; « a – b = k² » ; « b <
a » ; « b – a < 0 » ; « b = a – k² ».
On dit qu’un nombre « a »est supérieur
à un nombre « b » si pour obtenir « a » il faut ajouter à
« b » un nombre « positif » ou ,
ce qui revient au même, si la différence « a - b » est un nombre
positif. |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Des définitions et de la
théorie des opérations fondamentales du calcul algébrique ,
on peut énoncer les principes
suivants. Principes 1 : Si l’on a « a > b » et « b > c »
, on a aussi « a > c » et l’on peut écrire « a > b > c » Car les inégalités « a – b > 0 » et « b – c > 0 » donne évidemment « ( a – b ) + ( b – c ) >
0 » ; d’où « a – c
> 0 » Principe 2 :
On peut , sans changer le sens d’une inégalité : 1°) Augmenter ou diminuer
d’une même quantité les deux membres ; 2°) Multiplier ou diviser les
deux membres par une même quantité positive. 3°) Elever à une même
puissance les deux membres , s’ils sont tous deux
positifs , ou extraire la racine « mième »
des deux membres , s’ils sont tous deux positifs et qu’on ne considère que
les racines positives. Démonstration : 1°) Les trois inégalités
« a > b » ; « a + m > b + m » ;
« a- m > b – m » signifie
respectivement que les différences
« a – b » ; « ( a + m) – ( b + m) » ;
« (a – m ) – ( b – m) sont toutes positives. Or ,
quelle que soit la quantité « m » ; ces trois différences sont
égales entrent elles et , par suite , si l’une
quelconque est positive , les autres le sont aussi. Les trois inégalités sont
donc équivalentes. |
|
|
2°) Les inégalités « a
> b » , « a m > b m » , > signifie
respectivement que les différences « a – b » ; « am > bm » ; - sont positives. Or
la seconde peut s’écrire « m ( a –
b » ; et la troisième ( a – b) , et si « m » est positif , ces
produit ont toujours le signe de « a- b », par suite , si l’une des trois différences
est positive, il en est de même des deux autres. Les trois inégalités sont
donc « équivalentes ». |
|
|
3°) Soient « a » et
« b » deux quantités positives. On sait , par l’arithmétique, que
suivant qu’une quantité arithmétique
« a » est supérieure
ou inférieure à une quantité « b » , les quantités
arithmétiques « a n »
et « » sont
supérieures ou inférieures aux quantités arithmétiques « b n » et
« » . |
|
|
|
|
|
Corollaires et
complément d’informations . |
|
|
On établira
, sans difficulté , les
propositions suivantes : |
|
|
N°1 : Dans une inégalité,
on peut transposer d’un membre dans l’autre un terme d’une inégalité, à
condition de renverser le signe du terme. |
|
|
N°2 : Si l’on multiplie
ou divise par une même quantité négative les deux membres d’une inégalité , le sens de l’inégalité est renversé. Ainsi, il y a équivalence
entre les inégalités : « a > b » et « a ( - k²) < b ( - k²) » . |
|
|
N°3 : Si les deux membres
d’une inégalité sont négatifs , on peut les élever à
une même puissance , en conservant ou en renversant le sens de l’inégalité
suivant que cette puissance est « impaire » ou « paire ». Exemple : - 5 > - 7 donne :
( - 5 )² < ( -
7)² ; ( - 5 )3 >
( - 7) 3 ; etc…… |
|
|
Si les deux membres sont de
signes différents , on peut les élever à une même
puissance impaire , mais on ne peut rien dire des puissances paires. Exemples . Les inégalités « 5 > - 3 » ; « 5
> - 5 » ; « 5 > - 7 » donnent « 5 3 > ( - 3) 3 » ;
« 53 > (- 5) 3 » ;
« 53 > (- 7 ) 3 » ;
mais on a « 5² > ( - 3) ²
» ; « 5 ² = (- 5) ² » ; «
5 ² <
(- 7 ) ² » |
|
|
|
|
|
Remarques : |
|
|
De l’inégalité « a >
b » , on ne peut conclure « a ² >
b² » que si l’on sait, d’ailleurs , que les quantités
« a » et « b » sont toutes les deux positives. |
|
|
DE l’inégalité « a ²
> b² » ; on se gardera de conclure « a > b » . Pour qu’on ait l’inégalité « a ² > b² » ,il faut et il suffit que « a » ne soit pas compris en
« +b » et « -b » |
|
|
|
|
|
Principe: |
|
|
On peut ,
sans changer le sens d’une inégalité : 1°) Lui ajouter
, membre à membre , une ou plusieurs autres inégalités de même sens
qu’elle ; 2° )
En soustraire , membre à membre, une inégalité de sens contraire ; 3°) La multiplier par une
inégalité de même sens , si les membres des deux
inégalités sont positifs. 4°) La diviser par une
inégalité de sens contraire, si les membres des deux inégalités sont tous
positifs. Exemples : Des
inégalités Démonstration : 1°) Les inégalités « a
> b » et « c – d »,
ou « a – b > 0 » et « c - d> 0 » ; donnent
« a – b + c – d > 0 » ; d’ où ( a
+ c ) – ( b + d ) > 0 » 2°) Les inégalités « a > b » et « c < d », ou « a > b » et « c > d » ; donnent « a – b >
0 » et « c – d > 0 » ; d’ où
« a – b + c – d > 0 ; ( a-
d ) – ( b - c ) > 0 » 3° ) Les inégalités « a > b » et « c < d »,si l’on multiplie
les deux membres de l’une par « c » et les deux membres de l’autre
par « b » , donnent « ac > bc » et « bc > bd » ; d’où « ac >
bd » . 4°) Les inégalités « a
> b » et « d <
c » ou « a > b »
et « c> d » , donnent «
ac > bd » comme on vient de voir ; en
divisant les deux membres de cette égalité par la quantité positive
« cd » , il vient : ; ou |
|
|
Applications. |
|
|
1°) Démontrer que la moyenne arithmétique entre deux quantités
positives inégales est supérieure à leur moyenne géométrique : |
|
|
A la question > ? on peut
substituer cette autre question équivalente : « a + b > 2 » ? Ou cette autre : «
( a + b )² > ( 2 ) ² » ou
« ( a + b )² > 4 a
b » ou « a² - 2 ab + b² >
0 » ? ou « ( a + b ) ² > 0 » ? Or « (
a + b ) ² > 0 » . Donc « > » |
|
|
2°) Etablir l’inégalité
« x 5 + y 5
> x 4 y - x y 4 »
|
|
|
Par décomposition en
facteurs , on a « x 5 + y 5 - x 4 y - x y 4 = x 4 (
x - y ) - y
4 ( x – y ) = x 4 - y 4 (
x – y ) = ( x² - y²
) ( x + y ) ( x – y ) ² > 0 . |
|
|
3°) Etablir que l’on a «
a² + b² + c² > ab + bc + ca » , sauf le cas « a = b = c ». On additionnera membre à
membre « a² + b² > 2
ab » ; « b² + c² > 2 bc » ;
« a² + c² > 2 ac » ; on
observera que si « a = b » ; « a² + b² =
2ab » ;…… |
|
|
4°) Laquelle de ces deux
expressions : + ou est la plus
grande ? |
|
|
A la question + > ? on substituera
successivement les questions suivantes : Est-ce que (+ ) ² > 10 ? : 3 + 2 + 2 > 10 ? : + 2 > 5 ? : 4 ( ) ² > 25 ? : 4 x 3 x 2 >
25 ?
; Or ,
on a 24 < 25 ; Donc + > En effet ,
l’arithmétique donne les valeurs approchées : = 1,4142 , = 1 , 7320 , = 3,1623 |
|
|
|
|
TRAVAUX AUTO FORMATIFS.
CONTROLE :
A venir !!!
EVALUATION