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ENVIRONNEMENT du
dossier :
Objectif
précédent : |
Objectif suivant :
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INFORMATIONS : Module : calcul algébrique
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LES
CALCULS FRACTIONNAIRES :
Suite : NOTIONS SUR LES LIMITES ( cours
n°2 ) en lien avec Les Formes algébriques particulières .
Chapitres |
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Travaux
auto formatifs. |
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Corrigé |
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TEST |
COURS
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Pré
requis à : … l’étude de
formes particulières
. Il arrive quelque fois qu’une fraction ,
pour certaines valeurs particulières assignés aux lettres qu’elle contient ,
voit s’annuler son numérateur ou son dénominateur ou même l’un et l’autre ,
et prend une des formes : « » ; « » ; « » . Nous
allons chercher le sens de ces formes singulières ,
après s’être imprégné des notions sur l’infini et sur ces limites. |
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On
appelle « quantité infiniment petite » une quantité variable
décroissant indéfiniment, en valeur absolue , de
façon à devenir définirivement moindre que toute
grandeur assignable , si petite que soit celle-ci, sans jamais devenir nulle. |
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Exemple :
Soit la faction « » , supposons qu’on attribue
au diviseur « n » des valeurs croissant indéfiniment au-delà de
toute limite, par exemple , les valeurs « 10 ; 100 ;
1000 ;….»qui se décuplent sans cesse à partir d’une valeur initiale
« n = 10 » . La
fraction « » prendra les valeurs successives « » ; elle approchera indéfinitivement
et d’aussi près qu’on veut de zéro, sans jamais s’annuler
rigoureusement ; cette quantité « » s’appellera un « infiniment petit ». |
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On
appelle « infinie » ou « infiniment grande » une quantité
susceptible de prendre des valeurs absolues successives « indéfiniment
croissante » , en sorte que cette quantité
finisse par dépasser en valeur absolue tout nombre donné , si grande qu’il soit . L’infini
se désigne d’ordinaire * par le
signe : |
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* : Le symbole
« » est employé depuis Wallis ( Arithmética infinitorum 1655)
pour signifier l’infini ; ce n’est peut être
qu’une déformation de l’initiale du
mot « mille » en écriture romane, mot employé pour désigner un
nombre très grand. Chez les Hindous , les
algébristes indiquaient l’infini par l’unité divisée par zéro. |
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Exemple :
Assignons
au diviseur « p » de la fraction
« » des valeurs absolues indéfiniment décroissantes ,
tel que « 0,1 ; 0 ,01 ; 0,001 ; 0,0001 ;….la
fraction prendra des valeurs inversement croissantes ; « » ; « » ;
« » ; « » ;… ou
« 30 ; 300 ; 3000 ; 30 000 ; … » et
tandis que « p » devient « indéfiniment petit » la
fraction « » croît au-delà de toute grandeur donnée. Cette
quantité « » s’appelle un « infiniment grand » et l’on
écrit que « = » |
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En Mathématiques , sous les noms
« infiniment grand « et « infiniment petit » ,on désigne
donc pas des quantités
actuellement déterminées et
assignables , l’une extrêmement grande , l’autre extrêmement petite , mais des « quantités
variables », actuellement indéterminées en valeurs , l’une en voie de
grandir au-delà de toute grandeur assignable , l’ autre en marche vers zéro,
mais sans jamais l’atteindre . |
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En réalité , il ne peut exister une « quantité »
qui , au sens absolu et littéral des mots, soit infiniment grande ou
infiniment petite . Il ne
peut exister, croyons nous, ni une collection composée d’un nombre infini
d’objets existant simultanément , ni un être ayant
commencé, depuis un nombre infini d’années, d’exister. Tout
« nombre » proposé est
essentiellement déterminé et fini. En effet, si grand soit-il, il en existe
un plus grand encore , car on peut y ajouter ne fût ce qu’une unité , on peut même le doubler , le
tripler , le multiplier par tel nombre qui plaît, on peut même élever au
carré , au cube , à telle puissance
qu’on souhaite. Si petit soit –il au contraire , on
peut le diviser par « 2 » ,
puis chaque moitié par « 2 » , et ainsi de suite . De même ,
dans l’espace, une ligne droite donnée a nécessairement une certaine longueur
déterminée et finie ; car on peut poursuivre cette droite dans l’une et
dans l’autre direction, à l’infini ou plutôt à « l’indéfini »,
comme on peut, au contraire, par la pensée, partager cette droite en deux
moitiés et ces moitié encore , et ainsi de suite sans être jamais arrêté. De même , dans le temps, la durée de l’existence d’un être qui a commencé par
exister à un moment donné, à une certaine valeur actuelle déterminée ( un
certain age) ; par la pensée, on peut
prolonger à l’indéfini cette durée, en y ajoutant sans cesse et sans
limite ; on peut aussi , au contraire , partager par la pensée la durée
d’une vie en deux moitiés , et chaque moitié encore ainsi de suite. ,, L’infini
absolue n’est pas un nombre , ce n’est pas une
quantité numérique ; non plus que l’immensité absolue n’est une quantité
d’espace , ni l’éternité une quantité de temps . Inversement
« zéro » n’est une quantité infiniment petite ,
un fragment infinitésimal d’unité ; non plus que l’instant actuel n’est
une portion de temps, ni le point une portion de longueur . |
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Quand les valeurs successives d’une quantité variable « x »
approchent indéfiniment d’une quantité fixe et déterminée « a », de
manière à n’en différer que d’aussi peu qu’on veut ,
cette quantité fixe et déterminée est appelée « la limite » des
valeurs de la variable. C’est ce qu’on exprime par l’égalité : « lim.x = a » |
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Nous vous citons quelques exemples. |
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N° 1 : La fraction « » , dans l’hypothèse où « n » désigne une
quantité variable indéfiniment
croissante , a pour limite zéro , et l’on écrit : « lim. = 0» |
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N° 2 : Le rapport « » , si l’on assigne à « n » les valeurs
successives « 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; … »et ainsi de
suite indéfiniment , devient successivement « » et la différence « d » entre ce rapport
et l’unité , « d = =
= » devient moindre que toute grandeur assignable , si
l’on prend « n » suffisamment grand ; on a donc « lim. = 1 » |
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N°3 : L’expression , si l’on attribue à « n » les valeurs entières
successives indéfiniment croissantes « 0 ; 1 ; 2 ;
3 ; 4 ;5 ;… »devient successivement : «
+1 ; ;…..»et converge vers zéro en oscillant
indéfiniment, mais de plus en plus faiblement, autour de cette valeur limite , qu’elle n’arrive jamais à atteindre :
« lim. =0 » |
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N°4 : La somme « Sp » des
« p » premiers termes de la série : « 1 + » approche indéfiniment et d’aussi près de
« 2 » , si l’on
addition un nombre suffisamment grand de termes. En effet, en
additionnant « 2 ;
3 ; 4 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7 . ;…. »termes on
obtient successivement les sommes : « » ou en général
« »
, en désignant par
« m » le dénominateur de la dernière fraction additionnée. Or « = 2 - » , et pour « m »
infiniment grand, on a « Lim. = 2 |
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N°5 : Nous avons déjà vu ( on
appelle « série » une suite illimitée de termes se déduisant les uns des autres suivant une
loi déterminée.) comment certains
quotients se prêtent à un développement en série ,
et comment , par exemple l’identité : « = 1 + x + x² + x3 + x4+ …. »
pour « x = » , fournit la sommation : « 2 = Lim (1 + ) » |
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N°6 : Nous avons vu, en arithmétique, qu’une « fraction périodique » , si l’on prend un nombre indéfiniment grandissant de
périodes |
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Converge
vers la valeur de sa fraction génératrice . Ainsi , « lim .
0,33333…= ». En effet : |
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- 0,3 = - = |
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- 0,33 = - = |
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- 0,333 = - = |
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Et ainsi de suite . |
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N°7 : On sait aussi que le
nombre « incommensurable »
représenté par le symbole est la limite
commune des nombres commensurables , les uns
indéfiniment croissants ( 1 ; 1,4 ; 1,41 ; 1, 414 ; …) ,
les autres indéfiniment décroissants (
2 ; 1,5 ; 1,42 ; 1,415 ; ….) dont les carrés ont
« 2 » pour limite : = 1, 414 213 56
.. » |
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La définition du mot « incommensurable » , comme limite
d’une suite de nombres commensurables, est de Cauchy ; le géomètre belge
CATALAN ( 1814-1894) a repris cette notion et a donné le premier , dans
ses excellents Manuels d’Arithmétique et Algèbre ( 1852 et 1857) , la
véritable théorie des « incommensurables » , devenu aujourd’hui
classique. |
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N°8 : En géométrie , on pose cette
définition : la tangente à une courbe
en un point donné de la courbe est la limite des positions d’une sécante, qui
coupe la courbe en ce point, et qui tourne autour de ce point de façon qu’un
second point de section tende à se confondre avec le premier. |
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N°9 : En géométrie encore ; on établit ces deux
définitions : « on appelle longueur de la circonférence la
limite du périmètre » et « aire du disque
la limite de l’aire d’un polygone convexe inscrit dont les côtés deviennent
indéfiniment plus nombreux et diminuent indéfiniment de manière à
devenir moindres que toute grandeur donnée. |
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Remarque N°1 : La complète et rigoureuse
« définition » de la limite mathématique se formule en ces
termes : On entend par « limite » d’une quantité
variable « x » , une quantité fixe « a » dont les valeurs
successives de la quantité variable s’approchent indéfiniment , de manière
que la différence « x – a » , prise en valeur absolue, entre cette
variable et cette quantité fixe , finit par devenir définitivement plus petite que toute grandeur assignable , si petite
que soit celle-ci, sans que cette différence devienne jamais définitivement nulle. DE cette définition résultent les conséquences
suivantes : 1°) Il y a équivalence entre les égalités « lim. x =
a » et « lim. x – a = 0 » 2°) Une « quantité indéfiniment petite
» peut se définir une « quantité variable » qui a zéro pour limite. 3°) Une « quantité infiniment grande »
peut se définir « une quantité variable successible de croître au-delà
de toute limite *». |
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· info : L’infiniment petit et l’infiniment grand sont les deux
modes extrêmes de la quantité, qui, dans ses variation tend vers le néant ou
vers l’infini. · Zéro est la limite de l’infiniment petit. · Dira – t –on que « l’infini » est la limite de
« l’infiniment grand » ? Non : cette locution serait
vicieuse à tous égards ; on ne pourrait même interpréter en entendant , par cette limite et par cet infini
absolu, je ne sais qu’elle barrière idéale placée au-delà de toute quantité.
L’infini absolu ne peut jouer le rôle de limite : il n’est que la simple
négation de toute limitation , il est une pure
conception de notre esprit , et non une grandeur réelle, une quantité. · En Mathématiques , le mot
« infini » a toujours un sens conventionnel. · D’ordinaire, il signifie une quantité susceptible de croître sans limite , un « indéfiniment grand ». · Quelque fois , surtout comme solution d’un
problème , « l’infini absolu » apparaît : il signifie alors
que , dans les conditions données , la quantité cherchée cesse absolument
d’exister. On demande à quelle distance « x » de son origine la
droite « A » est rencontrée par une droite « B », et le
résultat du calcul est « x = » ; on
conclura : il n’y a pas de point de rencontre ,
les deux droites sont parallèles. · Rappelons que : un nombre « infini » implique
contradiction. Tout « nombre » est déterminé et fini. |
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Remarque N°2 : Entre la variable et sa limite il y a une
« différence de nature », qui s’oppose à ce que l’une
finisse jamais par se confondre formellement avec l’autre. Aussi « zéro » n’est aucunement une
fraction infiniment petite : il ne peut exister un fragment de l’unité,
si petit soit –il , qui soit néant. Un
infiniment petit ne diffère d’une
fraction ordinaire que par la dimension , laquelle a
cessé d’être perceptible et même concevable , son diviseur excédant tout
nombre susceptible d’être formulé. |
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De même un cercle n’est pas un polygone à côtés
excessivement petits : le cercle n’a pas de côtés ; uns courbe
n’offre nulle part trois points consécutifs en ligne droite. |
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Cependant, il peut arriver qu’une variable
atteigne une ou plusieurs fois , ou même
périodiquement, la valeur particulière de sa limite : elle ne se
confond pas définitivement ni
formellement avec sa limite, elle traverse cette valeur ; Exemple : Soit la fraction « x= , dans laquelle on suppose « n » croissant
indéfiniment. ON a « lim.x = 3 » ; on peut en effet, s’en assurer en
écrivant la fraction sous la
forme : « x = » : si « n »
est infiniment grand, les termes : « » deviennent infiniment petits et s’évanouissent. Cependant, posons successivement « n =
1 ; n = 2 ; n = 3 ; n = 4 ; n = 5 ;… » ;
il vient : « ; ; ; ; …. » ainsi de suite ; la variable ,
partant de la valeur « x = 4 » , décroît , passe par la valeur
« 3 »et décroît encore , pour revenir ensuite converger vers sa
limite « 3 ». |
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En
trigonométrie , le rapport « » tend vers zéro, quand « x » croît
indéfiniment ; mais toutes les fois que « x » devient égal à
un multiple de la demi – circonférence ,le rapport
s’annule et change de signe : cette variable oscille de part et d’autre
de sa valeur limite « zéro », tout en se resserrant de plus en plus
auprès d’elle. |
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Ainsi les cordes inscrites dans un cercle ont pour longueur maximum la longueur du
diamètre : le diamètre n’est cependant pas la limite des cordes , ce n’est qu’une corde plus grande que les
autres ; il n’en diffère point par nature . |
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De même en trigonométrie, le rayon est le maximum , et non la limite proprement dite, du sinus.. |
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Remarque N°3 : On classe en divers « ordres »
les infiniment grands et les infiniment petits. Soit « » une quantité infiniment grand : son carré « » est infiniment grand par rapport à elle ; son cube
« n3 » est infiniment grand par rapport à son carré, et
ainsi de suite . Ces infiniment grands sont du premier , du second et du troisième ordre. Inversement , la fraction « » étant infiniment petit du premier ordre , son carré
et son cube sont des infiniment petits du second et du troisième ordre :
ces infiniment petits marchent tous vers le néant , mais accélèrent inégalement
leurs pas : « »
est déjà évanouissant, quand « » est encore perceptible , « » est déjà lui
– même infiniment petit par rapport à « ». |
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5°
) Principe fondamental |
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Deux variables constamment égales entre elles
dans tout le cours de leurs variations , tendent vers
des limites égales. Ce principe est évident, à la condition que l’on
conçoive nettement la notion exacte de la limite. En effet, si « » et « » varient simultanément et restent constamment égales , « » ne peut approcher indéfiniment d’une valeur fixe et déterminée
« » et se tenir dans un voisinage de plus en plus resserré de
cette valeur « » , sans qu’il en soit de même de son égale
« y » ;Donc , si « x = y » , on a « lim = lim » . |
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Ceci termine ces
premières notions relatives aux limites. (voir les cours suivants ….) |
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