| Nom – prénom : | Classe : | 
| Date : | |
|  | |
| Cours de médiation  : Niveau VI et niveau V (
  CAP :….) LECON 00 / 25  :  NOMENCLATURE sur les chiffres et les nombres … »entiers » ( N )  ;
  les  « décimaux » (D) ;
  et les nombres décimaux relatifs  ( D+  ou - )  Info :
  l’ensemble des définitions doivent être apprises , comprises , et
  traduisibles. | |
| Histoire : A propos
  de « chiffres » et « nombres »  | ¥ | 
| I ) Chiffre | ¥ | 
| ¥ | |
| A ) Virgule | ¥ | 
| B )Point | ¥ | 
| C ) Point
  - virgule | ¥ | 
| ¥ | |
| A) Nombre entier
  naturel  | ¥ | 
| B ) Nombre
  entier  et décimaux  | ¥ | 
| C )Nombres
  relatifs  : | ¥ | 
| IV) LES PARENTHESES  | ¥ | 
| ¥ | |
| A ) indice | ¥ | 
| B ) exposant | ¥ | 
 Rappels sur  les conventions d’écriture texte :
►Le premier mot  à lire  
(ou écrit) se trouve au  début
d’un texte. Ce mot  est situé en haut à
gauche du texte.
►On lit de gauche à droite. 
►lorsque 
La ligne terminée  (lue
entièrement ) ,  on  descend 
à la ligne suivante ; ( qui se trouve  en dessous de la précédente ligne.) 
►Il en est de même pour la géométrie :
la lecture des sommets d’une figure ,le premier sommet  à lire est celui qui se trouve le plus prés
du coin « haut » gauche de la feuille……………
►Il serait conseillé de revoir
les notions abordées en primaire !!!!
| NOMENCLATURE sur les chiffres et les nombres …… | 
| INFO9 | 1)
  CHIFFRES |  | 
1°) Les chiffres sont des symboles graphiques.
2°) Les chiffres servent à construire des nombres.
3°) Il existe ,en tout et pour tout,10 chiffres.
4°) 
Représentation graphique des chiffres 
      
| 0 | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 
Ou 
écrit  en ligne :             0 ; 1  ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6;
7 ; 8 ; 9  
               remarque: il faut  séparer les chiffres par un point virgule.
 5°)
Enumération des chiffres :
     (dans
l’ordre croissant) 
| Nom  | Symbole graphique: | 
| zéro (pour le symbole"0") | 0 | 
| un(pour le symbole"1 ") | 1 | 
| deux (pour le symbole"2 ") | 2 | 
| trois (pour le symbole"3 ") | 3 | 
| quatre(pour le symbole"4 ") | 4 | 
| cinq (pour le symbole" 5") | 5 | 
| six  (pour le
  symbole" 6"), | 6 | 
| sept (pour le symbole" 7") | 7 | 
| huit (pour le symbole"8 ") | 8 | 
| neuf (pour le symbole" 9") | 9 | 
|  |  | 
|  | A ) La
  VIRGULE |  | 

      - Rôle d'une virgule (notée "   ,  
")  :
     
   La virgule sépare des chiffres dans un nombre. (elle
est tracée sur la ligne d’écriture)
         Exemple : 14 , 67   ;   1 , 36  ;  0, 0317
Autres conventions:
         
Quand un nombre possède une virgule, on dit:
      
« devant la virgule ! » (pour la partie 
« entière » située à gauche de la virgule) ","  « derrière la virgule » , (pour la
partie « décimale » 
située  à droite de la virgule )!
          
                                        on dit
aussi:
       
« avant la virgule ! »  
"     , (virgule)  "  
« après la virgule! »
exemple:
        Dans
le nombre   34,75 
 
« 34 »     est
"devant la virgule" ou" avant la virgule".
 
« 75 »     est
"derrière la virgule" ou "après la virgule".

|  | B ) POINT
  -VIRGULE |  | 
      - Rôle du point -  virgule ,(noté " ;  ") :
      le point - virgule sépare des nombres ; (elle est tracée sur la ligne d’écriture)
         exemples:   14  ;   
67  ;  36,79
 
| C )  LE
  POINT |  | 
Le point «    .    » est utilisé en arithmétique pour
séparer les nombres complexes .
| Matin | Après midi | ||
| 
 | On
  écrit : 6 h 10 ou 6.10 h | 
 | On écrit : 15h45 ou 15.45 h | 
| III )  LES NOMBRES : | 
En arithmétique on utilise les deux
expressions :  « le  nombre concret » et « le nombre
abstrait ».
 
Nombres concrets et nombres abstraits : (
qui sont « entiers » ou « décimaux »)
                                        
7 m et 5
litres sont aussi des grandeurs  (parce
que c’est avec une mesure « étalon » que l’on  mesure)
En calcul numérique et algébrique 
Dans un premier temps , on distinguera deux  grandes 
catégories  de nombres : 
I)     ceux utilisés en
arithmétique et en calcul  numérique  dit « nombres « non
relatifs »  .( dans ce cas il
n’existe pas de nombres négatifs)  
II)   ceux utilisés en calcul
algébrique et que l’on appelle : « les nombres relatifs ». (
dans ce cas on parlera de  nombres
« positifs » ou « négatifs »)
| I )   | II )  
   | ||
| Les nombres utilisés en arithmétique : | Les nombres utilisés en calcul
  algébrique : (voir module @ ) | ||
| Sont les nombres sont dit « non
  relatifs »  | Les 
  nombres sont dit « relatifs » | ||
| On distinguera : | On distinguera  | ||
| A )    Les 
  entiers naturels | B )  Les 
  décimaux | A) Les  entiers relatifs | B) Les 
  décimaux relatifs  | 
| Tous
  les nombres entiers « naturels » 
  appartiennent à l’ ensemble désigné par la lettre  N Exemples : 2 ; 13 ; 738 ;…… | Les
  nombres  décimaux appartiennent à l’
  ensemble  des nombres  désigné par la lettre  D.  Exemples : 2,1  ; 3 , 25  ;
  538,17 ;…… | Tous les nombres entiers relatifs   appartiennent à l’ ensemble désigné par la
  lettre  Z ±    Exemples : (+2) ; (- 2)  ; ( -13)  ;  (+738) 
   ;…… | Tous les nombres décimaux
  relatifs   appartiennent à l’ ensemble
  désigné par la lettre  D ±    Exemples : (+2,1) ; ( - 2,1)  
   ;  ( + 3 , 25) ; (
  -3,25)  ;  (+ 538,17)  ;…… | 
| naturel:9 | A ) Le nombre entier naturel  ( N )  |  | 
Petite  Histoire des nombres entiers naturels 
Les nombres sont nés au fur et à mesure des exigences et des besoins des
hommes ;les nombres entiers naturels sont utilisés pour commercer ;
pour dénombrer  des éléments
(objets ; animaux ;.......);   
Après bien des tâtonnements (des essais) il est inventé les
chiffres  et  des systèmes 
de numération . 
Celui que nous avons conservé est fondé sur le dénombrement des
doigts  de nos deux mains ( dont dix
doigts) . Ce système basé sur le rangement en "paquet de dix " est
appelé :  le système décimal  (base dix) . Nous l’avons conservé vraisemblablement
et tout simplement parce que l’être humain a et a  utiliser ses « dix » doigts pour
ranger , regrouper ; repérer , indicier 
et ensuite nommer  des symboles
(que l 'on appelle chiffres ) pour construire des nombres et les nommer . 
|  | B)   LE NOMBRE  (entier ou décimal )                   ( non
  relatif )  |  | 
     
1°) 
« Construction »   d'un
nombre (en écriture avec des chiffres):
       Un nombre est un alignement
horizontal de chiffres séparés ou non par une virgule.
Exemples : 1 
 ;   256369   ; 
225564897354 ; 20,876 ; 0,345678324 ; 123,324 ;
123 ; 324  
     
2°)   "Enumération" des nombres:
         Il est impossible d'énumérer tous
les nombres ;on dit qu'il en existe une infinité.
                   Le symbole utilisé en
mathématique pour dire « infini » est :  
     
3°)  le nombre :  "x"   ?   ;
"y"   ?    ou "z"    ?
En mathématique ,un nombre  non connu ,mais dont on veut connaître la
valeur arithmétique ou numérique  est
appelé  " inconnue".
           
Cette inconnue est toujours représentée par une lettre minuscule de
notre alphabet: 
           
Généralement ,on prend les dernières lettres de l'alphabet:
            
"x" ; "y" ;"z"    
     4°) Un nombre ( non relatif ) est
aussi appelé  "valeur
arithmétique".
| C) LE NOMBRE RELATIF  |  | 
Le "NOMBRE RELATIF":  
Exemple de
situation ou l’on emploi des nombres négatifs : le relevé de banque
 : 
                Nous gérons tous de l’argent
,ainsi si je considère l’expression « 3 euros  » . Cette expression
n’aura de sens dans la vie courante que si je dis que ces 3 euros
m’appartiennent ou que ces 3 euros ne m’appartiennent plus .
Ainsi les 3 euros
m’oblige à analyser dans quelle situation je me trouve : 
Situation
1 :  ou ils m’appartiennent ,
alors  dans ce cas ,en mathématique , on
résumera  l’expression , et  j’écrirais 
( + 3 euros ) , 
Situation 2 :
ou ils ne m’appartiennent plus ( dans ce cas ils appartiennent à autrui ) ,
dans ce cas en mathématique j’ écrirais ( - 3 euros)
Pour celui qui va
recevoir mes 3 euros il écrira sur son relevé ( +3) , et moi dans le même temps
,sur mon relevé, je devrai écrire ( -3). 
On peut écrire  (+3) ou (-3) suivant que l’on doit ou l’on
reçoit 3 euros, ces nombres dit 
« opposés » .Ils sont appelés « nombres relatifs »,
en effet on ne sait pas qui « gagne » ou « perd » ces
« 3 euros ».
 (VOIR l
’ histoire sur
l ’ origine de la « notion » du « nombre relatif » et son
utilisation  )
   1°) Description : Un nombre relatif est composé de
trois parties principales : un signe « plus » ou
« moins » , une valeur arithmétique  (chiffres séparés ou non par une virgule)
appelée aussi « valeur absolue ».; une double parenthèses.
  
  2°) Valeur absolue : La valeur arithmétique
du nombre relatif est appelée  « valeur absolue ».
   
3°) On rencontre souvent
l’expression :  « Donnez la
valeur absolue d’un nombre relatif » , 
   « Donner la valeur absolue
d’un nombre relatif »  : En
mathématique,cette  phrase est remplacée
par une écriture symbolique : le double trait. 
  En écriture
symbolique , en mathématique , pour indiquer que l’on cherche ou que l’on veut
connaître la valeur absolue d’un nombre relatif , on encadrera   (c’est à dire : on trace une barre verticale de chaque coté des  parenthèses du nombre relatif  ) le nombre relatif (ou son
représentant :  « a » ; « x » ,.....) par un
trait vertical de la hauteur d’une ligne , de chaque côté de ce nombre.
 
   
 
   
   
   
  
   
 
   
   
   
 
   
   
  
                                                  
 
  
lorsqu’un nombre est  encadré par deux traits verticaux il faut
lire  la consigne suivante :       « Donner la valeur absolue du nombre relatif ………».
Remarque importante : « Donner la valeur absolue d’un nombre (
forcément relatif ) connu  »   ne
nécessite aucun calcul , il suffit de nommer la valeur arithmétique  il n’y a pas de calcul à faire 
Exemples  :   On nous donne le nombre relatif  ( + 4,5) 
Si on donne l’écriture  mathématique  suivante : 
  ,  on doit lire
la consigne :
  ,  on doit lire
la consigne : 
Donner la valeur absolue
du nombre relatif   (+4,5 )
  
Alors la réponse à donner à  cette
consigne est :  
la valeur absolue de (
+ 4,5)   est le nombre  4,5
Mathématiquement  pour résumer
on écrira que :
  = 4,5
= 4,5 
Autres exemples 
a)     On nous donne
l’écriture suivante ,  (c’est un 
exercice !).
  (c’est un 
exercice !).  
- on doit traduire et  lire la consigne : 
«  Donner la valeur absolue du nombre relatif négatif :
(-5,258) » 
- la réponse à cette consigne est : 
5,258
      -    en résumé on écrira : 
  = 5,258
 = 5,258
En résumé on a écrit 
que :  la valeur absolue du
nombre relatif négatif  ( - 5,258)  est sa valeur arithmétique
« 5,258 » . 
b)     Exercice :   :
 : 
 lire la consigne :
donnez la valeur absolue de (- 4,5) ; la réponse à cette consigne
est : 4,5
la réponse à cette consigne
est soit littérale :   la valeur absolue de ( - 4,5)   est le nombre  4,5
                                      ou soit
symbolique :                             
 = 4,5
 = 4,5 
En conclusion :
►      :5,258
  :5,258
►      
 :  lire la consigne : donner la valeur
absolue de (- 4,5) ;
  :  lire la consigne : donner la valeur
absolue de (- 4,5) ; 
la réponse à cette consigne est : 4,5
►      
 :  lire
la consigne : donner la valeur absolue de (4,5) ; la réponse à cette consigne est impossible à donner
,raison : le nombre : 4,5 n’est pas un nombre relatif.
  :  lire
la consigne : donner la valeur absolue de (4,5) ; la réponse à cette consigne est impossible à donner
,raison : le nombre : 4,5 n’est pas un nombre relatif.
Autres exemples : 
On peut représenter un nombre algébrique ( relatif
) par une lettre : 
Par exemple soit « a » le représentant un
nombre relatif ;  la valeur absolue
de « a » se représente par   
l’écriture  ;
 ; 
Lorsque l’on voit écrit :    :   on  
lira :    Donner la
« valeur absolue de « a » »
    :   on  
lira :    Donner la
« valeur absolue de « a » » 
Lorsque l’on voit écrit :    :   on  
lira :   Donner la
« valeur absolue de  
« x » »
     :   on  
lira :   Donner la
« valeur absolue de  
« x » » 
Lorsque l’on voit écrit     ;on   lira
« valeur absolue de la somme (des nombres relatifs)   « a + b »  »
 ;on   lira
« valeur absolue de la somme (des nombres relatifs)   « a + b »  » 
4°) reconnaître ( identifier, conventions d’écriture normalisée)
         Un nombre relatif est composé d'un
signe (+ ou -) et d'une valeur absolue appelée aussi "valeur
arithmétique" ces deux éléments se trouvant « entre
parenthèses » .
La valeur absolue et le signe du nombre relatif
sont  toujours situés dans (on dit aussi entre ) des parenthèses  .
 
Remarque importante : tout
nombre relatif doit  comprendre  des parenthèses.
      on 
dira alors que:
Attention « + 3 » et  « 3 » n’ont pas la même
signification , la valeur « 3 » ne peut  pas être considéré comme le représentant d’
un nombre relatif. 
  
« 3 » est un nombre entier , il peut être considéré comme
étant la valeur absolue du nombre (+3) ou du nombre ( -3) .
Le  signe du
nombre relatif  indique « un
sens ». 
       Attention au collège , pour simplifier,  on a supprimé le signe + et les
parenthèses  d’un nombre relatif ;
il est important de savoir remettre sous forme relative des nombres
positifs  dit « simplifiés ».
|  | IV )  LES
  PARENTHESES : |  | 
*les principaux
signes opératoires sont :   +  
;  -   ;   /  
;   ¸   ; ´
Deux utilisations  différentes des
parenthèses .
1°) Elles sont  parties intégrantes du nombre relatif :
Les parenthèses servent à encadrer les deux parties (signe et valeur absolue)
du nombre relatif.
 2°) Elles sont 
utilisées pour regrouper des opérations dans une chaîne d’opérations
pour séparer « certains » calculs associés .
exemples : ( 4 + 78 – 189 ) + ( 4 x15 – 34) 
On trouvera 
un signe « opératoire* » entre une parenthèse ouverte et une
parenthèse fermée
Voir
le cas particulier : ( 12 + 23 – 56 ) ( 34- 5) : il n’y a  pas de signe entre les parenthèses , pourtant
il existe !!!!!!!! 
; sauf le signe  opératoire de la multiplication   
 on dit : qu ‘avant de supprimer les parenthèses il
faut faire l’ensemble des opérations possibles afin de n’avoir plus qu’après
calculs  , qu ‘un seul nombre.  
Les parenthèses
« encadrent  » , elles vont toujours 
par paires ( deux ) ; 
leur tracé est un arc de cercle 
« vertical »
      
"(........"    lire "parenthèse  ouverte"   ;   
"...........
) "    lire  "parenthèse fermée "
3°) Conventions d’écriture: à propos du signe
« multiplié »
 En algèbre ,
le signe « multiplié » n’existe plus 
(il  n’apparaît plus) parce
qu’une  expression  ,en algèbre , s’écrit avec des lettres et des
nombres associés.
            
Exemples:              On n’écrit
pas   a x b ; on écrira  ab  on
dira « a » fois «  b »
                                       On n’écrit
pas :         3 x x ; on écrira   3x  on
dira « 3 » fois « ixe »
                                     
On n’écrit pas :         2 x a x b ;mais on écrira :  2ab ;
on dira 2 fois « a » fois « b »       
On retiendra :
 En
algèbre :pour indiquer la multiplication 
du nombre « a » par le nombre « b » : on ne met pas
la croix  ; on n’écrira pas    « a x b »  mais   
« ab » : 
                    
la  « x
 (croix)  »  étant
réservée  à la lettre  « x  (ixe)»
En algèbre :pour indiquer la
multiplication  du nombre « a »
par le nombre « a » : on ne met pas la croix  ; on n’écrira pas    « a x a »  mais   
« a² » : 
En algèbre :pour indiquer la
multiplication  du nombre « x »
par le nombre « x » : on ne met pas la croix  ; on n’écrira pas    « x x x »  mais   
« x² » : 
         Voir
le cas ou deux parenthèses   « se
tournent  le dos »      ....... 
)   (.......... , 
dans ce cas il faut savoir qu ‘entre ces
parenthèses il devrait exister   le signe
« multiplié » , par convention ce signe n’est pas  écrit. ( toujours pour les mêmes raison que
précédemment, ne pas le confondre avec la lettre « x » appelé
« variable ».
Ainsi :
On n’écrit pas 
(  a + b) x ( a + b)  mais 
(  a + b) ( a + b)  et on lit : (  a + b) facteur de  ( a + b) 
ou écrit alors  ( a + b) ²  et alors on dit alors « a »+
« b » entre parenthèses au carré 
On n’écrit pas 
(  a - b) x ( a - b)  mais 
(  a - b) ( a - b)  et on lit : (  a - b) facteur de  ( a - b) 
ou  ( a - b) ²
on dit alors « a » - « b »
entre parenthèses au carré 
On n’écrit pas 
(  a + b) x ( a - b)  mais 
(  a + b) ( a - b)  et on lit : (  « a » plus « b ») facteur
de  ( « a » moins
« b »)  
( on reverra cette écriture lorsque l’on fera le
cours sur les Identités remarquables , ou on peut dire aussi sur les produits
remarquables.)
| LE NOMBRE RELATIF « SIMPLIFIE »  |  | 
La forme 
simplifiée du  nombre relatif est
souvent une source d’erreur, lorsque l’on passera des calculs
« arithmétiques » à l’exécution des calculs algébriques.
Rappel : 
lorsque l’on fait des calculs en arithmétique les nombres  ordinaires 
dits « positifs »,  en
calcul algébrique les nombres sont  ou positif
ou négatif ;……Ce qui ne pose pas de problème si l’on connaît les règles de
calculs.
Il faut vous retenir le texte qui est suit : 
Tout nombre relatif dit 
« simplifié »  peut se
mettre , et doit se remettre ,  sous forme relative.  (
voir le cours  chapitre « 3 °»
sur la transformation d’une expression en somme algébrique )
IMPORTANT :
Procédure de
réécriture d’un « nombre relatif simplifié »  sous   
en forme « relative » 
cas  1 :  le  nombre est 
seul (il n ’ est composé que de
chiffre(s) avec ou sans virgule ) :
     
Faire précéder le nombre sans signe par le signe
"plus"  (1)   et ensuite encadrer le tout par les
parenthèses (2) . Placer ensuite le signe plus de l’addition.(3)  devant la parenthèse .
Exemples :
       3     devient  
(1)   + 
3     ; puis   (2)   (
+ 3)  , 
enfin   (3)    + ( +3 ) 
     -
5,7    devient     +  ( - 5,7)
cas 2 :: suite de nombres séparés par des signes
« + » ou « - » :
Une suite de
nombres, constituée de valeurs arithmétiques entourées par des signes
opératoires  "+" ou
"-" peut se mettre sous forme d'une suite  d’additions 
de nombres relatifs :
         pour cela il suffit 
   a)  de placer le 
signe + en tête d’expression.
   b)  de
mettre ce signe + et la première  
valeur 
" absolue " entre 
des parenthèses .
   c)   placer le signe suivant et la valeur absolue
dans des parenthèses
   d)   
séparer le premier nombre relatif et le deuxième nombre relatif par le
signe + ; 
   e) et ainsi de
suite.
  
Exemple :   écrire
sous forme de nombres relatifs  l’expression suivante :   3 
+  5,6 - 8 
 1°)     + 
3  + 5,6 - 8                         (on met le signe + en
tête d’expression)
 2°)     (+3) …( + 5,6) ….( - 8)           ( mettre chaque nombre dans des parenthèses , avec son signe qui le
précède )
 3°)    (+3) + 
(+5,6)   + ( -8)             ( mettre des signes
« + » entre  chaque nombre mise
entre parenthèse .)
donc l’expression
algébrique  :    3  + 5,6 - 8 
devient  la somme algébrique   (+3) + (+  5,6) + ( -8)
|  |  | 
 
| A )   INDICE |  | 
      Le nombre ou lettre placé « à
cheval » sur la ligne d'écriture (en
bas à droite d’un nombre donné ) (exemple :  3 )  le 
« 2 »  porte le nom
"d'indice".
  )  le 
« 2 »  porte le nom
"d'indice".
 L'indice sert à ordonner des
nombres ou lettres écris  sur la ligne
d'écriture. 
 
   
 
  
   
   
              
_______________________________
 __A
               __A _________35
 _________35 __________B
 __________B ______
 ______
autres exemples :
                              a ; a
 ; a ;a
 ;a ; a
 ; a ; a
 ; a :
 : 
| a |            
  on lira « a » indice « 1 »  | 
| a |            
  « a » indice « deux »  | 
| a |            
  « a »indice « trois »  | 
| a n | ainsi de suite 
  ………« a » indice « ène» . | 
       
 
..................le « a »
indice "un" étant le
premier « a » ; le « a »
indice "deux" étant le deuxième « a » ;   ainsi de
suite  ……….  
       
L’indice sert à classer ,ranger , ordonner des objets ou nombres identiques.
(     3 fois
3 fois 3 égal ;  s ’ écrit      3 3
3 3
3 =   )
=   )
|  |  | 
 
 
 
___________________________________
 ;   3
        ;   3 ; 3
 ; 3 _____3
_____3 _____B
_____B ___  _
___  _   
1 ; 2 ;3; n ;    sont    
appelés "exposant"
                             Un nombre (
1 ;2 ;3 ; ..)ou lettre (n, p..)     écrit en haut à droite d’un  nombre (ou une lettre ) alors ce
nombre  ( 1 ;2 ;3 ; ..)ou
lettre (n, p..)     s'appellera "exposant" .
Cet exposant
indique la « puissance » d’un nombre .La « puissance » d’un
nombre correspond à  la  multiplication  de ce nombre par lui même.
    Le signe
« puissance » est une 
simplification de l’écriture de la multiplication d’un nombre par lui
même, « n »fois.
Exemples : 
3 correspond  à 
l’écriture  3
    correspond  à 
l’écriture  3 3
3 
 
3 correspond  à  l’écriture 
3
 correspond  à  l’écriture 
3 3
3 3
3 =
=
3 correspond  à  l’écriture simplifiée    3
 correspond  à  l’écriture simplifiée    3 3
3 .3
.3 3
3 3
3 3
3 3
3 =
=
Des EXEMPLES de
nombres ;…….:  
1°) Nombres entiers.                  Exemples             5 ; 7 ; 45 ;
56 ; 89
2°) 
Nombres  entiers positifs.    Exemples    
(+5) ; (+6) ; (+9) ; (+13 ); (+87 )
3°) Nombres entiers négatifs.     Exemples       (-5) ; (-6) ; (-9) ; (-13
) ;  (-87 )
4°) Nombres entiers relatifs.       Exemples     (-5) ; (-6) ; (-9) ;
(+13) ;  (+87 )
5°) Nombres décimaux. :             Exemples              5,2 ; 7,6 ; 45,452 ;
56,58 ; 89,001
6°)  Nombres
décimaux positifs. 
                                      
Exemples  (+5,2 );
(+7,6) ; (+45,452 ); (+56,58 ); (+89,001)
7°) Nombres décimaux négatifs.
                                       Exemples   (-5,2 ); (-7,6) ; (-45,452 );
(-56,58 ); (-89,001)
8°)  Nombres
décimaux relatifs.
                                       
Exemples   (-5,2 );
(-7,6) ; (-45,452 ); (+56,58 ); (+89,001)
9°) Valeur absolue de:
           la
valeur absolue de  ( + 15,4)
est :      
                           réponse :  la valeur absolue de  + 15,4 
est le nombre   15,4
                
la valeur absolue de    (-
15,3)     ?  
                            
réponse :  la valeur absolue
de  - 15,3  est le nombre 
15,3
                 
la valeur  absolue du nombre
«  56,8 » ?
   réponse  impossible ; le nombre décimal  « 56,8 » n’est pas un nombre
relatif ; mais un nombre décimal « ordinaire »
10 °) Exercices :
     on peut écrire  que :         =    4,8         ;
=    4,8         ;  =  14,83
  =  14,83
attention !!!!!!      exercice
« piège » :  =  impossible 
parce que  « 4,8 » n’est
pas un nombre relatif
  =  impossible 
parce que  « 4,8 » n’est
pas un nombre relatif
11°) Recherche de 
la valeur arithmétique de:
         (+14,8)       réponse :   14,8
        
(-67,9)        réponse :    67,9
       
123,75         réponse    123,75
          
12 °) 
Traduction  de   52   et    
52     
52   
:    on doit  lire « 5 au carré » ; « 5
puissance 2 » ; « 5 exposant 2 »  c’est une écriture simplifiée  de l’ opération  «  la multiplication d’un nombre par lui
-même » soit « 5 fois 5 »  
ou  « 5 ´ 5 »  
 52     lire   
« 5 »   indice
« 2 »      ; le « 2 »
donne la position , le rang dans un ordre de rangement des nombres
Donc :      
Le premier  «52 »    informe qu’il y a une opération à
faire ; le deuxième  « 52 »       indique le rang du nombre dans une suite de
nombres.
| Info élève :A la fin de cette lecture vous
  devez  demander les travaux  AUTO – FORMATIFS  ou le devoir formatif | |
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