Pré requis:
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ENVIRONNEMENT du
dossier :
Objectif
suivant : 1°) résoudre
une équation du premier degré. 3°) Factoriser ;
développer
ensuite niveau + : plusieurs termes contiennent « x ». |
Tableau |
DOSSIER
: LE
CALCUL ALGEBRIQUE :
La soustraction en calcul algébrique :
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Devoir Contrôle |
Devoir évaluation |
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TEST sur le pré requis
vocabulaire :
Vous devez connaître la
définition des mots suivants :
premier membre , deuxième membre ; terme ;
facteur ; neutraliser ; équation du premier degré.
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Nous
avons déjà vu comment on indique, par signes,
l'addition, la soustraction, la multiplication division des quantités
algébriques, et c'est l'emploi de ces
signes qui a donné naissance aux expressions littérales que nous avons appelées monômes et polynômes
. Mais ces quantités littérales elles-mêmes, avec leurs signes, leurs
lettres, leurs coefficients et leurs exposants sont
soumises à leur tour aux quatre opérations fondamentales, d'après des règles qui constituent le calcul
algébrique. Ces opérations rappellent en général mêmes
idées qu'en arithmétique, et comportent mêmes définitions. |
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La soustraction algébrique |
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régie : Pour
effectuer une soustraction algébrique,
II faut changer les signes de la quantité à sous traire et l'écrire à la suite de l'autre
quantité. Supposons que de a on
veuille retrancher la quantité b
— c; la soustraction sera effectuée en écrivant a — b + c, |
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Démonstration : En
effet, admettons d'abord qu'on retranche de a la
quantité b seulement,
on posera alors a — b; mais en soustrayant
de a la quantité tout entière b ,
on retranche plus qu'il ne faut, puisqu'on ne voulait diminuer a que de la différence
qui existe entre b et
c ; en
sorte que le reste ci-dessus
a — b est trop petit de toute la valeur
de c. donc la véritable différence cherchée est
a
— b + c. Cette règle s'applique à deux monômes. Supposons
que de a on veuille soustraire — b ; je dis qu'on aura a + b. Pour le
démontrer, il suffit d'observer que la quantité a est la même chose que a + b - b, et que si l'on retranche - b, il reste a + b. Un
exemple numérique rendra cette règle sensible aux
élèves : soit à soustraire 7— 3 de 16, ce qui revient à diminuer 16 de 4 ( = 12); si l'on retranche d'abord de 16 le nombre 7 tout entier, le reste 16 — 7 ( = 9) sera évidemment trop faible des trois unités qu'il fallait
auparavant enlever à 7 ; donc la vraie différence est
16 — 7 + 3. Dans la soustraction algébrique on peut, comme dans l'addition,
rencontrer des termes semblables, et, dans
ce cas, on en opérera la réduction comme nous l'avons indiqué plus haut. Par exemple, si de 8 a² — 4ab + 7 b ²
on veut soustraire 5as
— 2ab + b² , on changera les signes de ce dernier polynôme en l'écrivant au-dessous du
premier, et l'on opérera la réduction, ce qui donnera |
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8 a² — 4ab +
7 b ² |
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5a ²
— 2ab + b² |
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Différence …. |
3 a
² — 2ab + 6 b² |
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Remarque. Au lieu d'effectuer la soustraction algébrique, on se contente quelquefois de
l'indiquer en plaçant le polynôme à
soustraire entre deux parenthèses et
faisant précéder la première parenthèse du signe — ainsi,
pour exprimer que la quantité a2 — 2a b + b² doit être retranchée du binôme m + n , on
écrit : m + n — (a ² — 2ab +b² ). · Les
élèves doivent bien se rappeler que le signe —, placé
devant la parenthèse, affecte tous les termes qui y sont renfermés, et non pas le
premier terme seulement. |
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C'est ainsi que l'expression a - (m — n) est
la même chose que a — ( + m — n) laquelle
se réduit, en effectuant
l'opération, à « a — m + n
). De
même a — (— x + y)
donne a + x - y. |
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CONTROLE:
Relire le cours…
( soustraction de deux
nombres algébriques)
Exercices
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1°) . Du polynôme 9 a
+ 3 b
- c retrancher 7 a – 5 b |
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2°) Effectuer la soustraction indiquée 5 a² - 2 a – ( 3
a² - 8 a – 4 ) |
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3°) De 15m3
— 8 n 2 + 5 ôter
9m3 + 4 n2 — 7 n
- ¾ |
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4°) De
- 6 x3 + 7 x² - ½ x
retrancher 5 x 3 +
1/3 x² + 9 x – 12 |
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5°) A quoi se réduit l'expression suivante
: 13 a 4 + 3 a 3
b – 7 a² b² + b 5 - ( 7 a 4 + 12
a 3 b – 6 a² b² +
8 a b 3 - 5 ) |
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6°) Prouver
que l'expression 8 a 3 —
4a² b + 6 a b ² - 7 b 3
est égale à cette autre 8 a 3 — (4 a2 b — 6 a
b ² + 7 b 3 ), ou bien encore à : 8a3 - 4a²
b - ( - 6 a b² + 7 b 3 ) |
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Problèmes : |
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1° ) x exprimant
l'âge actuel d'une personne, quel était
son âge il y a 13 ans? |
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2°) La
somme de deux quantités est s , la
plus petite x ; exprimer la plus
grande ! |
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3°) L'un
des angles d'un triangle vaut a
degrés, l'autre vaut b degrés; exprimer la valeur du troisième. |
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4°) On
a mis dans un sac pendant 9 fois une somme a et l'on en a retiré à cinq reprises différentes une
somme b;
exprimer ce qui reste dans ce sac. |
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A Multiplication
algébrique.
33. Nous avons dit (n»3) que l'emploi des
lettres nous dispensait d'écrire le signe X pour indiquer
le produit des divers facteurs qui entrent clans un
monôme, c'est-à-dire que 8ttb revient à 8 X « X b. Nous
nous rappelons aussi l'emploi des exposants par
lequel asbsd égale aaaaa x bbb X c.
Nous savons, de plus* que le produit de
plusieurs facteurs reste le même dans quelque ordre qu'on
effectue la multiplication; par exemple, que aXbXc = bx.<t
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