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|  | FORMATION d’ adultes : On retiendra « UN ADULTE A TOUTES  LES CAPACITES COGNITIVES POUR MENER A BIEN
  DES ETUDES », |  | ||
|  | Ce qui était « inconcevable » avant les
  années « 70 » , on prétendait (
  les pseudo- scientifiques )  qu’une fois l’école finie il était
  impossible de reprendre des études.  Ce
  qui était entièrement honteusement faux. |  | ||
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|  | Préalables :  Les élèves (qui  ne sont pas adultes)  n’ont pas toutes les capacités cognitives
  pour réussir . Pour tout compliqué : tous les élèves
  ne se développent  pas au même rythme , ils n’ont pas tous les mêmes capacités ,à une
  date fixée. Ce qui est rassurant : tous
  parviendront à posséder  ces
  capacités ; toutes les capacités qui sont requises pour « prendre-
  comprendre- apprendre -et capitaliser 
  en synchronie et diachronie les connaissances scolaires et plus…. En formation  d’ élèves dans
  le système éducatif (école – collège – lycée ) : Un élève en échec est un élève qui n’a pas
  encore acquis le niveau visé . ( rien n’est irréversible) Les difficultés scolaires  et les origines de l’
  échec à un devoir noté sont dû 
  à :  1°)  
  Des lacunes : 
  c’est donc à un manque de connaissances pré requis  , à des savoirs non acquis , des savoirs
  non maîtrisé ( compétences évaluées non validées ) , c’est peut être aussi  dû  
  à un manque de  méthodologie
  pour travailler un cours ou apprendre . ( parce
  qu’il faut avoir appris  à  savoir apprendre
  à apprendre). 2°)  
  Des disfonctionnements neurologiques (détectable avant l’ âge de 3ans) , dans ce cas la progression (hypothétique
  )  risque d’être très ralentie.    3°) Au manque  de maturation cérébrale  ou de développement cognitif au moment où
  il est demandé de mettre en œuvre des capacités « pas encore
  disponible » chez l’ apprenant , (ce type de
  situation d’ échec concerne  les élèves
  n’ayant pas atteint l’adolescence« Piaget » capacité cognitive pas
  encore acquise). C’est généralement le cas des élèves en difficultés au
  collège ou à l’entrée au lycée. 3°) 
  A un Refus d’étudier, d’apprendre , on
  parlera de manque de  motivation ou  inexistence aucun geste d’intentionnalité) |  | ||
|  | En formation d ’adultes.  on  considérera que les capacités cognitives
  sont disponibles et que  la motivation
  « à progresser » est réelle. ste à faire
  comprendre que des devoirs sont obligatoires pour vérifier si la progression
  est réelle sinon pour  aider  à reprendre des partie
  de formation à compléter pour que le niveau soit réellement atteint. Rappel : le diplôme ne garantit pas la réussite
  des études dans un niveau supérieur, seule la validation de la formation peut
  attester qu’un individu à le niveau requis pour
  poursuivre des études de niveau immédiatement supérieur. Aussi : a) L’ examen  « réussi »  débouche sur un diplôme  qui  certifie
  un niveau de compétences . Il va permettre 
  de négocier un certain niveau de rémunération .
  Mais  lors d’un examen on vérifie que
  l’on possède la maîtrise de « certaines » compétences
  , pas toutes. Généralement lors d’une épreuve d’examen
  , on ne peut vérifier qu’une infime partie de  toutes les compétences à maîtriser. ( ce diplôme ne garantit pas que celui qui possède  ce certificat  possède ‘intégralité du niveau  nécessaire 
  (le minium de pré requis ) pour poursuivre des études de niveau
  supérieur.  b)   La « validation »  d’une formation atteste qu’un  un niveau de savoirs et savoirs faire  sont acquis en tout point d’un
  programme.  Seule cette validation  peut 
  servir de point de départ pour entamer une formation de  niveau supérieur .(
  au risque d’échouer) . Remarque
  sur mon expérience personnelle : J’ai eu l’occasion de poursuivre des études , je n’ai jamais pu réussir , tant que je n’ai pas
  pu combler les lacunes qui m’empêcher de continuer à progresser .  Pour 
  chaque cycle de  formation il
  faut  définir  un programme et élaborer un référentiel  de compétences à atteindre.  Ces
  compétences doivent  être validées   en formation et certifiées en fin de
  formation. La validation est accordée  après passage  et 
  correction des travaux formatifs 
  ( pendant la formation ) , est concerné le
  formateur. Le niveau sera  confirmé 
  ( certifié)  
  par des travaux certificatifs. Est concerné un organisme indépendant
  qui fera passer des épreuves ( U . E ) ou U V.  ,
  « certificatives »  qui par
  capitalisation  A la suite desquelles  « réussites »  ces épreuves permettront de remettre un diplôme . Slogan :   Oui  
  à la liberté pédagogique,  non à
  la liberté  des programmes. ;  Oui 
  à la réussite, à la renégociation des erreurs,  non à l’ échec.  « Pour » l
  ’élaboration  d’une liste de
  compétences  à valider obligatoirement  , l’ensemble débouchant sur un Diplôme  « reconnu »   obtenu par capitalisation de certificats
  ponctuels.     Pour obtenir un diplôme il faut
  satisfaire   à un certains
  nombre d’épreuves . FORMATION d’ adultes :
   Informations destinées aux formateurs. A)  Protocoles
  d’accord : signé  entre  celui qui se forme et celui qui forme.   |  | ||
|  | B) Description : |  | ||
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|  | Première
  phase  |  | ||
|  | Dans la première phase  on
  entreprend  des activités destinées à
  développer ou « réactiver » les capacités cognitives chez chaque
  individu. C’est  ,
  entre autres ,:  - A apprendre à apprendre . -  A s’arrêter dans une
  progression programmée et  reprendre
  des activités de médiation ou de remédiation , avant
  de continuer ;…. - A Apprendre: -       
  à gérer  ses documents (informations
  papiers :  liste
  de cours et informations cours ) parce que l’on  travaille en simultané en calcul numérique
  et géométrie et  plusieurs objectifs à la fois ,  -       
  à gérer  son temps : savoirs gérer et
  répartir les temps destinés aux apprentissages ;    -       
  identifier et utiliser les espaces géographiques
  destinés à la formation, à la prise d’information ,
  à l’évaluation et la certification (lieux distincts pour activités
  distinctes)    L’ensemble de ces activités destiné à 
  revoir ou découvrir les méthodes liées aux  apprentissages sont   menées 
  en parallèle. Elles  prennent
  appui sur  une   formation en arithmétique et les bases en
  mathématiques.  Préalable : On considèrera que  les
  potentialités cognitives nécessaires pour réussir dans la formation sont  totalement disponibles chez chaque individu
  entre en formation après la 3ème  , qui a dépasser le stade de
  développement  dit formel ( Piaget) . |  | ||
|  | Méthode. Atelier de rééducation cognitive , et  d’éducabilité cognitive  est destiné à
  faire acquérir des  méthodes  pour travailler seul   sur  
  des  activités en autoformation
  et auto apprentissage , en formation individualisée et différenciée.. |  | ||
|  | Contenu de la formation : - L’éducabilité cognitive en prenant appui sur les bases et les
  concepts ( activité de métacognition) en
  mathématique , dans les domaines 
  calcul numérique  géométrie
  algèbre calcul mental et arithmétique..  |  | ||
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|  | Le système éducatif ne pourra pas évoluer tant que l’on se
  questionnera et dissertera  sur  les raisons qui sont la cause de l’échec
  scolaire d’un élève . Le système éducatif  évoluera
  lorsque l’on apportera  des
  propositions qui permettront de  mettre
  l’élève  en situation de  réussite scolaire. L’élève doit réaliser
  des travaux , pas n’importe quels travaux , pas à
  n’importe quel moment , et dans tous les cas un dialogue s’impose , pour que
  le maître diagnostique ,comprenne et propose une activité en lien avec
  l’objectif recherché. Le terme d’échec scolaire culpabilise l’élève, protège et
  déresponsabilise trop souvent  le
  professeur, qui la plupart du temps « constate »
  , l’échec constaté le déculpabilise en faisant
  « retomber »  la
  responsabilité à d’autres  qui ont
  laissé  passer l’élève avec « ses
  lacunes »  . Par contre : 
  La réussite scolaire 
  implique le professeur , ses compétences et sa  motivation voir sa conscience
  professionnelle . Pour chaque élève il peut « constater »  mais 
  il va devoir modifier ou adapter sa pratique de
  « Pédagogue » à chaque situation formative . Il se refusera de situer 
  l’élève avec des devoirs qui  le
  catégorise   en « état  d’ échec ».
  Ces devoirs  ne serviront pas  à sanctionner .
  Ces devoirs ,seront donnés , dans le but
  d’accompagner dans la  recherche de
  réussite . Ces devoirs vont poser des problèmes à l’élève mais aussi aux professeurs . La question clef :  Comment faire pour que cet élève
  atteigne le niveau exigé par le programme pour chaque étude d ‘un objectif recherché ? On devra : 
  Rechercher « à valider le niveau » en vu d’obtenir une « certification » . S’intéresser à la réussite scolaire c’est déjà savoir que : -  l’élève doit  « savoir » ,   mais qu’il 
  ne pouvait pas apprendre n’importe quoi à n’importe quel moment .
  Cela  implique que le professeur  doit 
  réfléchir sur la construction des savoirs (prendre appui sur les pré
  requis)   et  qu’il doit 
  connaître parfaitement  la
  didactique et les méta savoirs  en lien
  avec  la matière enseignée et  leur implication  dans d’autres domaines
  (interdisciplinarité)  . Accompagner l’élève c’est mettre en place   un suivi individualisé  de l ‘ élève dans sa progression
  dans  une progression  parfaitement balisée .
  Cette pratique  est fondamentale   . cela signifie que le parcours
  , le programme ,le référentiel , 
  le niveau de chaque compétence (handicap à satisfaire) , les
  conditions de la validation « en formation »  sont  
  tous  connus , communiqués , et
  clairement énoncés.     Qui dit  accompagnement, dit
  production d’écrits. Ces travaux sont 
  des « devoir s» dit « épreuves »
  . Le niveau de réussite 
  est  fonction des erreurs
  constatées. C’est l’ erreur  « constatée » dans  un devoir 
  écrit ou oral ,   qui permettra,
  au professeur, d’agir.    C’est  l’analyse de l’erreur  qui 
  déterminera  le choix de l’activité
  que  proposera le professeur à l’élève
  pour le mettre  en situation de
  « réussite ». Celui qui forme doit savoir  reconnaître le type d’erreur  et 
  anticiper chaque erreur pour qu’ à  chaque situation , celui
  ci  intervienne  efficacement . Il doit donc savoir ou
  pouvoir  « interroger » et
  « s’interroger ». Il doit identifier  les 
  causes de l’arrêt de la progression, mesure  l’écart 
  qu’il reste  à combler  pour passer de  l’échec 
  à une   situation de réussite.  De nombreux paramètres peuvent gêner 
  une personne dans sa progression : ce peut être  lié au stade  de développement  cognitif 
  (il se peut que le  niveau de
  compétences exigées est trop élevé par rapport au niveau de capacité
  « cognitive » disponible )  ,
  ce peut être des lacunes , accumulées parce que l’élève a été  obligé de 
  continuer  dans une progression
  alors qu’il n’arrivait  « 
  pas  à suivre » , pour une ou
  plusieurs raisons , il a décroché , et 
  ………, dans ce cas le niveau proposé semble trop haut  ,  ce
  peut être en lien avec un manque de 
  méthodologie « pour apprendre »  parce que l’élève qui n’a jamais appris ou
  a qu’ il a cesser d’apprendre le jour ou l’on a jamais vérifié si il avait appris.  Peut être
  que le professeur a  tout juste vérifié
  (au cours d’un devoir « loto » surprise » que l’élève  n’avait 
  pas ou rien compris parce qu’il n’avait pas ou rien appris
  . Dans ce cas  les activités
  seront  en lien avec les apprentissages
  « pour apprendre » , voir pour
  essayer  de développer le geste
  d’intentionnalité  ou  de développer la  motivation à réussir, avec des devoirs qui
  « sanctionneront »  par une
  « belle note »   une
  réussite………   J’ai mis au point une méthode 
  et une banque de données permettant de mettre en place   à la sortie du collège une formation de
  remédiation, destinée à combler les lacunes accumulées depuis le début d’une
  scolarité. . Une première  formation
  propose  des  travaux auto formatifs qui sont des  activités
  de métacognition, destinées à revoir 
  et s’approprier les premières bases. Ces travaux  vont 
  aider celui qui se forme à s’auto -évaluer, et à apprendre à
  apprendre. La formation proprement dite : elle traite tout  le niveau V .  Ce travail d’élaboration de ce processus de formation à demandé  plus 
  de 18 années : -       
  de recherche action , -       
   d’expérimentations pour mettre en situation
  de réussite . 
   -       
   de mise au
  point  d’outils de régulation  (contrôle et évaluation ) -       
   d’outils 
  d’adaptation destiné  aux
  activités de médiation (en cas de problème à progresser dans le cours étudier ) et de 
  remédiation (en cas ou l’on constate des
  problèmes de lacunes ) ces outils on pour but de
  sortir les élèves  des
  « situations d’échecs » ,   -       
   de
  pratiques éducatives ( nouvelle forme de la gestion
  du temps et de l’espace ) , -       
   de
  formation personnelle en université pour apporter la contradiction et
  parfaire mes connaissances en psychologie, en sociologie  et autres sciences de  l’éducation  , -       
   de
  capitalisation  sur informatique
  d’outils pédagogiques  de formation et
  de suivi  destinés à individualiser la
  formation ; ( avec interactivité) -       
  pour 
  proposer des activités de remédiation,  Ce processus de  formation est centré sur la réussite
  scolaire,  tant dans le qualitatif que
  le quantitatif . Quelques  mots sur  ce que l’expérimentation a montré :  « Former » c’est donner des travaux  auto formatifs  et des devoirs formatifs renégociables
  . C’est  mettre en place  des devoirs de  contrôle et l’évaluation en continu , individualisés et individualisables. « former » n’est pas « dresser ».  le devoir  c’est  2
  parties  indissociables dans la mise en
  application  une stratégie formative :  -       
  Le contrôle  
  qui mesure des  quantités de
  « savoirs » réciter par écrit  
  et -       
   l’évaluation 
  qui évalue le niveau  de « savoir-faire »
  dans l’application de savoirs capitalisés. Il 
  permet de  vérifier  si 
  les savoirs sont  appris , compris et savamment exploités   Ce devoir est   donné 
  à passer 
  « individuellement » 
  à chaque élève , sans que cela implique que
  tous les élèves passent en même temps ce devoir.  Sérieusement corrigé il est 
  repassé, en tout ou partie,  si
  l’objectif n’est pas totalement atteint.  Pas de formation sans qu’il ne soit 
  passé  un devoir  Il  doit 
  exister à chaque fois que l’on veut faire acquérir  une connaissance , lorsque l’on veut que
  l’élève doit  capitaliser  un nouveau savoir  . Il est 
  systématiquement passé, par chaque élève, corrigé ,
  discuté ……….  Le contenu du devoir est élaboré 
  après avoir parfaitement -       
  identifié les savoirs que l’on mettra en œuvre
  pour « réaliser »  et  -       
   critèrié
  les savoirs faire (référentiels) pour 
  mesurer et obtenir  le niveau de
  compétence exigé. Cette méthode appliquée tout au long de  la progression  permet de favoriser   la confrontation  de 
  élève  avec ses connaissances en
  cours d’acquisition , de le responsabiliser , ;de développer l’envi de
  réussir .   Ces devoirs  donnés  en formation ,  en simultané,   permettent de détecter si l’élève est en
  difficulté. Après le corrigé il faudra activer immédiatement une activité qui
  sera soit de médiation soit de remédiation. Ces devoirs permettent d’identifier 
  immédiatement l’endroit  qui
  pose problème à l’élève ., en difficulté. « remédiation »  Cette
  formation « complémentaire » à pour but
  de  l’aider à progresser  et de le
  remettre en situation de réussite : Ce travail en recherche action 
  en direction des élèves entrant en lycée professionnel  à mis en
  évidence :   - Qu’il  fallait 
  tenir compte du développement cognitif de l’individu, (il faut se
  souvenir des stades piagétiens). Que les élèves au sortie du collège avaient besoin de  premières « remédiations » . Qu’ elles   étaient d’ordre  méta cognitives ( développement  des mécanismes de pensée, imprégnation des
  notions et concepts abordés en primaire non acquis)     - Qu’il fallait apporter  , aussi , apporter   une aide pour  les rendre capable de savoir « apprendre
  à apprendre » : c’est en autre 
  les apprendre à  gérer son
  temps(respecter des dates , découper et prévoir  des périodes (identification des étapes en
  phase d’apprentissage ) 
  d’apprentissage , savoir 
  gérer  son classeur , ses
  documents  « cours » , ses
  travaux  « écrits » ,………….. -  Qu’il fallait accompagner
  l’élève dans son Apprentissage et ses apprentissages  , lui montrer que dans l’étude d’une leçon
  on doit  connaître et identifier les
  principales étapes qui se répartissent tout au long d’une étude d’une leçon,
  qu’il faut donc répartir dans le temps 
  ces activités , pour prendre comprendre , savoir et savoir faire , …..ce qu’il lui est demandé pour  que soit validé cette étude
  . Il est nécessaire de  lui
  faire respecter l’ordre chronologique 
  des activités (lire , écrire) , s’auto
  évaluer , s’auto contrôler,…, demander de l’aide pour se  mettre en situation de réussite. -  Il n’y  a 
  « Pas de « savoir faire » qui
  ne repose sur un « savoir » déclaratif ( objet
  ou procédural) . Que c’était une erreur de se contenter de   mesurer 
  « exclusivement »  des
  compétences (savoirs faire) . Qu ‘il n’était pas suffisant « d’évaluer »,
  qu’il fallait  aussi contrôler (pour
  comparer ce qui est su avec ce qui doit être su ) ,
  surtout  lorsque l’élève était en phase
  «d’éducation  formative » .    - qu’il fallait 
  « contrôler » et « évaluer » en même temps , au même moment . Il faut   capitaliser des savoirs et   en même temps on doit  pouvoir 
  évaluer  si l’on a compris , De là  on
  identifie le niveau de mise en œuvre 
  et de maîtrise de ces savoirs . ( se souvenir
  que l’ on  doit mesurer  des savoirs faire  ,dont la mise en œuvre  s ‘appuie   sur 
  des savoirs objets et des savoirs procéduraux ). - Qu’il fallait 
  « contrôler »  et
  « Evaluer » pendant toute l’activité « formative » et
  pour chaque nouvelle étude  ou nouvel
  objectif recherché . - C’est ensuite qu’il apparaît utile  ( par jeu) de
  travailler et de raisonner sur des activités 
  interdisciplinaires.  Tenir compte de celui qui se forme :   - qu’il fallait tenir compte des vitesses d’acquisition et des niveaux
  « acquis » pour chaque élève .    - Qu’il  fallait mettre en place , ( pour les élèves en difficultés)  des plages horaires « proposant »
  des activités de médiation  ( rattraper
  ou compléter un devoir formatif),  dont
  les bons résultats confirmeront et 
  valideront  la formation. (par
  une note ,………) 
   - Qu’il  fallait mettre en place
  , (pour les élèves en très grande difficulté) des plages horaires destinés
  aux  activités de remédiation  ( revenir en arrière pour compléter les
  manques , combler des  lacunes  , ces pré requis indispensables  pour 
  pouvoir  continuer à progresser.
  ), et   dont les bons  résultats confirmeront et  valideront 
  la formation. (par une note ,………)    c’est ensuite qu’il apparaît
  utile  ( par
  jeu) de travailler et de raisonner sur des activités  interdisciplinaires.     La classe un lieu d’études ,  un contrat d’engagement de respect et de
  travail mutuel pour que chacun atteigne le niveau qu’il doit atteindre.; On ajoutera aussi : la nécessité de préserver des aléas
  extérieurs l’élève et   l’endroit où il
  se forme., le lieu « classe » est  « sa classe », un lieu de
  sérénité , où il fait bon vivre.  . On
  créera un climat de respect et de confiance mutuelle. On lui garantira la
  réussite ( la bonne note) , on ne lui promet pas que cela sera simple , mais
  que l’on fera ce qu’il faut pour l’aider à réussir et pour l’aider à
  faire  valider chaque objectif atteint
  , et certifier sa formation , cela , 
  indépendamment du délai qu’il lui aura fallu pour
  « réussir », pace que l’on ne maîtrise pas les événement  extérieurs à l’établissement , et le
  professeur  pourra le
  « reprendre »  . On imposera
  et  respectera un règlement sur le
  fonctionnement de la classe (être à l’heure, avoir son matériel
  , préparer ses travaux auto formatifs 
  …..) . les devoirs « formatifs »  sont à la base du suivi
  ,les 3/4  du contenu  sont communiqués aux élèves , qui peuvent
  les préparer .Ils sont obligatoires , on ne négocie pas le contenu , on
  négocie la date de passage , l’heure , on peut obtenir pour venir le
  compléter « pendant midi » les jours suivant. Il sont corrigés , on analyse les erreurs ,
  tout manque doit faire l’objet  d’un
  rattrapage (médiation) après avoir 
  préparé une   « auto
  correction   »  . Toute demande de la part de l’élève pour
  refaire ou rattraper un devoir portant sur les « savoirs » à
  capitaliser sera «  exhaussée », compléter par des exercices qui
  vont mettre en œuvre ces nouveaux acquis .  Ce que  vous venez de lire   est 
  la pratique  quotidienne  , que je propose à mes  élèves .     Centré l’activité du maître sur le « formatif » :  « Individualiser mais ne pas isoler ». « homogénéiser
  et gérer l’hétérogénéité », « contrôler et évaluer pour mesurer , aider , guider , accompagner , et valider . L ‘Apprentissage demande du temps et 
  passe , pour chaque objectif- cours , 
  par le respect d’une procédure logico mathématique ,  qui repose sur les activités d’antériorités
  maîtrisées (progression suivant la technique du  yo-yo 
  et le feed bak)   processus  : « informer  (prendre ), questionner  pour « s’informer » (comprendre)
  , corriger , remédier ,  réguler   (apprendre) ,   valider et certifier Il n’existe aucune banque de données ,sur le
  marché ,  qui propose à la fois les
  documents , et la méthode pour exploiter ces documents Un « 
  savoir faire » 
  prend appui sur un « savoir » qui  lui même prend
  appui   sur  d’autres savoirs qui ont été précédemment
  capitalisé et « digérés ». pour redescendre aux notions et au concepts auxquels on doit faire appel. Toutes ces
  étapes de construction des savoirs doivent être identifiables. |  | ||
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