
 Et si  « ENSEIGNER » n’était pas qu’une simple activité
salariée !!!!
                   Et si  « ENSEIGNER » n’était pas qu’une simple activité
salariée !!!!   
ENSEIGNER est un métier « militant » , ce devrait être
une vocation , un envie de transmettre des connaissances.
                                                                                      
La qualité  d’un enseignant  réside dans sa qualité d’être à l’écoute de
chaque  l’élève.
           
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| L’échec scolaire est l’échec d’une pratique éducative ;
  parce que celui qui à la charge de transmettre des connaissances n’a pas su diagnostiqué
  ce qui aller l’élève  en situation
  d’échec.  Le terme d’échec scolaire culpabilise l’élève qui n’a pas
  réussi.    Il est rare qu’un professeur se sente responsable de l’é chec
  de son élève, rarement il se croit 
  obligé de se remettre en cause après donné une mauvaise note .    Souvent les arguments qui justifie les raisons de l’échec
  condamne l’ élève  : « élève qui 
  a beaucoup de retard ; 
  élève qui a  des lacunes ,
  l’élève  manque de méthode , élève qui
  il a  à de grosses difficultés de compréhension
  , élève qui ne travaille pas assez ….)  Ces arguments  servent
  trop souvent d’ alibi au professeur pour ne rien entreprendre qui pourrait
  aider l’élève à sortir de cet état d’échec. Les remède restent lapidaires : élève qui aurait du
  redoubler , élève qui devrait à songer une réorientation   ( ????)  Trop de professeur semblent penser qu’après avoir
  « distillé » une information ( appelée : cours) et fait une
  batterie d’exercices pensent que ont fait leur travail , aux  élèves ensuite de se débrouiller pour
  réussir .  Il semblerait qu’en formation , ne devrait travailler que celui
  qui se forme , ce qui est  absurde . Dans tous les cas le professeur est responsable de l’échec ou
  de la réussite de l’élève qu’on lui confie . « Si
  « informer » est un art, former est une science . » Œuvrer pour mettre un individu en situation de réussir implique
  le professeur, ses compétences et sa 
  motivation voir sa conscience professionnelle, pour chaque élève il va
  devoir modifier ou adapter sa pratique de « Pédagogue ». Les devoirs qui situent 
  l’élève en échec  constatent et
  sanctionnent. Les devoirs formatifs , en vue d’une recherche de réussite,
  posent des problèmes à l’élève mais aussi aux professeurs .Comment faire pour
  cet élève atteigne l’objectif recherché ?. « WARMATHS »
  possède une banque de données gérée par un
  didacticiel informatisé. L’élaboration de  « WARMATHS »  est le fruit
  de   plus  de 18 années de  travail de recherche sur la  formation et le suivi individualisé en
  mathématiques. C’est en autre des travaux :  -        
   d’expérimentations de pratiques
  formatives  avec des publics  différents. 
   -        
  ,de mises aux points d’activités spécifiques
  de  régulation et d’adaptation pour
  sortir chaque élève  d’une
  « situation d’échec » , pour 
  proposer des activités de remédiation 
  , -        
   de 
  mise au point de  nouvelles  stratégies éducatives ( nouvelle forme de
  la gestion du temps et de l’espace ) , -        
  de capitalisation  sur informatique d’outils pédagogiques de
  formation et de suivi  destinés à
  individualiser la formation ; l’interaction de tous ces travaux permettent
  de garantir une formation de qualité 
  centrée sur la réussite.   Ce que l’expérimentation a montré :  La confrontation  individualisée   avec chaque élève en difficulté, pour
  l’aider à progresser  et le mettre en situation de réussite : à mis en
  évidence :   - Qu’il  fallait 
  tenir compte du développement cognitif de l’individu, (se souvenir des
  stades piagétiens) , que les premières remédiations  étaient d’ordre  méta cognitives ( développement  des mécanismes de pensée, imprégnation des
  notions et concepts abordés en primaire non acquis)      - Qu’il fallait
  apporter, à l’entrée en formation , une aide pour « apprendre à
  apprendre » : gérer son temps , son classeurs , identification des
  étapes en phase d’apprentissage ; -  Qu’il fallait
  accompagner l’élève dans son Apprentissage et ses apprentissages, dans
  l’étude d’une leçon. (décomposition des étapes, respecter l’ordre des
  activités, s’auto évaluer, s’auto contrôler,…, le mettre en situation de
  réussite) -  Que c’était une erreur
  de  mesurer  « exclusivement »  des compétences ;qu ‘il n’était pas
  suffisant « d’évaluer » 
  lorsque l’élève était en phase «d’éducation  formative »,
  parce que chaque compétence prend appui sur un savoir
  « capitalisé » .   - qu’il fallait  , à la
  fois ,  « contrôler » et
  « évaluer » c’est à dire qu’ il faut  vérifier si l’ élève a appris  (capitalisation  des savoirs)  et 
  s’assurer qu’il sait mettre en œuvre 
  ( c’est à dire
  « évaluer »  le niveau de
  « mise en œuvre »  et de
  « maîtrise »)    de ces savoir.
  (On  pourrait dire que l’on doit  mesurer 
  des savoirs faire, dont la mise en œuvre  s ‘appuie   sur 
  des savoirs objets et des savoirs procéduraux, - Qu’il fallait 
  « contrôler »  et
  « Evaluer » pendant toute l’activité « formative », c’est
  à dire  utiliser ces travaux  de contrôle et d’évaluation  pour parfaire ou terminer l’apprentissage
  pour un objectif recherché, c’est ensuite qu’il apparaît utile  ( par jeu) de travailler et de raisonner
  sur des activités  interdisciplinaires.
   - qu’il fallait tenir compte des vitesses d’acquisition et des
  niveaux « acquis » pour chaque élève.     - Qu’il  fallait mettre
  en place, (pour les élèves en difficultés) 
  des plages horaires « proposant » des activités de
  médiation  (rattraper ou compléter un
  devoir formatif),  dont les bons
  résultats confirmeront et 
  valideront  la formation. (par
  une note,………)   - Qu’il  fallait mettre
  en place , (pour les élèves en très grande difficulté) des plages horaires
  destinés aux  activités de
  remédiation  ( revenir en arrière pour
  compléter les manques , combler des 
  lacunes  , ces pré requis
  indispensables  pour  pouvoir 
  continuer à progresser. ), et  
  dont les bons  résultats
  confirmeront et  valideront  la formation. (par une note,………)    c’est ensuite qu’il
  apparaît utile  (par jeu) de travailler
  et de raisonner sur des activités 
  interdisciplinaires.     -        
  que l’on ne pouvait pas apprendre n’importe
  quoi à n’importe quel moment ; qu’il fallait réfléchir sur  la didactique et les méta savoirs , qu’il
  fallait  s’interroger en continu sur
  les raisons qui ne permette pas de mesure une situation de réussite.   -        
   Pourtant il suffisait de mesurer l’efficacité  d’une pratique , de mesurer ce qu’elle
  apportait de bien dans  la pratique
  quotidienne d’un professeur et des élèves en formation. Je peut certifier que dans le système éducatif , la mauvaise
  fois est de mise , à tous les niveaux de ceux qui sont chargés de réfléchir
  sur la réussite scolaire. Et que les intérêts particuliers priment sur
  l’intérêt de l’élève ou de celui qui se forme. Centré sur le « formatif » :  « Individualiser mais ne pas isoler ».
  « homogénéiser et gérer l’hétérogénéité », « contrôler et
  évaluer pour aider , guider , accompagner ». L ‘apprentissage  passant
  pour chaque objectif- cours  par le
  respect d’une procédure qui repose sur les activités d’antériorités
  maîtrisées (progression suivant la technique du  yo-yo  et le feed bak)   processus  : « informer  (prendre ), questionner  pour « s’informer » (comprendre)
  , corriger , remédier ,  réguler   (apprendre) ,   valider et certifier Il n’existe aucune banque de données ,sur le marché ,  qui propose à la fois les documents , et la
  méthode pour exploiter ces documents | 
| Cette
  banque de données interactives, est 
  destinée au formateur et aux personnes qui se forment ,  dans ou hors du système éducatif
  traditionnel . Elle
  contient  tous les  documents « papiers » qui vont
  permettre la mise en place, gérer et assurer une  formation individualisée et l’aide
  « en ligne ». De
  l’utilisation judicieuse et rigoureuse de ces outils et du suivi et
  respect  des conseils fournis dépend la
  qualité de la formation.  Ce
  logiciel  contient tout qu’il faut  pour assurer une formation de qualité.
  « A celui qui se forme de jouer ! ». | 
| « Il  faut donner 
  du temps au temps pour apprendre » : PRINCIPE
  de FORMATION : 
  « Se former » c’est être confronté seul avec ce qu’il faut savoir
  et savoir -faire. Il faut faire un 
  travail sur papier (lire à l’écran pour s’informer davantage) Ñ        
  prendre un dossier cours à partir de la liste proposée. Ñ        
  Travailler ce cours (fondamental :il faut  utiliser les travaux auto formatifs.) Ñ        
  Corriger (seul en utilisant le « corrigé »), demande
  d’aide , vous avez deux solutions : redescendre de niveau( pour
  « se mettre au niveau « pré requis »), demander une
  explication directement. Ñ        
  Passer le devoir formatif  , pour faire valider votre travail. Ñ        
   « Se former » demande du temps et
  prend du temps.Ñ        
   Un dossier « cours » c’est, au
  minimum,  1 heure de lecture.Ñ        
  La
  formation commence après cette première lecture. Il faut accomplir un travail
  «d’ autoformation». Ce travail s’effectue avec l’aide des questionnaires
  et exercices  qui accompagnent chaque
  cours. Ce sont  des activités de
  recherche  et d’ analyse du texte
  « info- cours » et de mise en 
  œuvre de ces savoirs . C’ est un travail qui demande beaucoup de
  sérieux et  il s’effectue en plusieurs
  étapes , qu’il faut répartir sur une semaine. Il n’y a pas de modèle de
  gestion de ce temps, cela dépend des capacités et des rythmes de chacun ainsi
  que des acquis et du temps disponible. 
  Ñ        
  Ce
  travail doit être corrigé,en cas d’incompréhension,il suffit de demander
  une  information ou une explication
  complémentaire. Ce complément est généralement disponible sur le logiciel. Ñ        
   Si le travail est satisfaisant et s’il est
  jugé suffisant : vous « comprenez » et vous savez faire les
  exercices et problèmes , il vous reste une tâche  importante à accomplir: c’est un
  travail exclusivement « personnel » , il faut  « apprendre », parce qu’il y a
  toujours quelque chose à apprendre et à retenir et que ces connaissances
  feront l’objet d’un contrôle systématique en devoir écrit .Ñ        
  Lorsque
  vous pensez que vous « savez », vous conviendrez d’un rendez -vous
  , avec le formateur,  pour passez (et
  réussir) le devoir écrit.           Si vous avez un
  problème : « allez » sur le site intranet, le cours que vous
  étudiez  est interactif !!!
  il  peut vous aider soit pour revenir
  en « arrière », faire une mise à niveau  ou vous donner des informations
  complémentaires. En début
  de formation « devoir 
   apprendre » est une activité solitaire, très difficile,qui
  doit s’étaler sur plusieurs jours, 
  cela peut paraître long pour pouvoir tout retenir , mais retenez
  qu’  Il 
  faut donner  du temps au temps
  pour apprendre ! c’est la clef de la réussite ! Nous
  sommes différents face à la façon d’apprendre, cela n’est facile pour
  personne. Pour « retenir » c’est 
  à vous de trouver une ou  la
  méthode qui vous convient le mieux . Réciter  sur papier ou à un pair  et s’auto évaluer (faire le plus
  d’exercices possibles ) est une activité qu’il faudra apprendre à pratiquer
  systématiquement , afin de limiter les devoirs « contraignant » de
  « rattrapages ».  : IMPORTANT:Le
  formateur n’est pas un censeur. Les travaux 
  formatifs ne servent  qu’ à  baliser une progression Quelque
  soit le  profil de celui qui se forme (
  homme , femme , jeune , adulte ; niveau d’entrée ,….) , toute formation
  entreprise , toute progression identifiée, 
  tout objectif « ponctuel » ou « global »
  atteint  doit être à  validée.  Pour y
  parvenir  on acceptera  de 
  chacun  qu’il ait  son rythme et  ses difficultés propres  pour parvenir au niveau.  C’est le
  dialogue par l’écrit qui permettra au formateur d’apporter une aide ou une
  solution pour que la formation soit réelle et de qualité. Pour mettre
  en place  cette relation, un travail
  écrit est  nécessaire.  Ce
  travail est appelé : « DEVOIR FORMATIF ». Il ne certifie
  rien, il ne juge pas la personne, il 
  sert de « constat » et de diagnostique  sur un niveau  atteint à un moment donné. Il permet
  d’établir un bilan intermédiaire, il est 
  une étape  dans l’apprentissage
  entrepris, dans l’acquisition des nouvelles connaissances à
  « capitaliser » et à « maîtriser ». Il sera
  repassé (une ou plusieurs fois), on 
  « constatera » 
  forcément une progression, on mesurera 
  une réduction de l ‘écart entre le niveau constaté et le niveau à
  atteindre.  Par exemple : pour un objectif de formation  (cours) , il faut préparer le devoir
  formatif  , le passer, si le devoir
  n’est pas entièrement réussi, il faudra le repasser . L’écart mesurer ( par
  une note ) entre le « premier » 
  devoir noté et  le même devoir
  repassé  doit  diminuer 
  jusqu’à ce que le devoir est correct . Alors le niveau recherché est validé
  .  , Passer
  ce  devoir formatif   est 
  donc « obligatoire » : « le
  devoir écrit  » est  un moment
  fort , c’est une activité 
  indispensable  qui a lieu  en cours 
  d’apprentissage de 
  «formation » dans  une
  leçon .   La
  date  prévue peu être reculée  si 
  celui qui se forme : « ne se sent pas près à passer
  l’épreuve ». « Exigé » :  Passer cette épreuve ( devoir
  formatif)  sera  « exigé » pour un premier bilan ,
  si l’on veut  instaurer un dialogue en
  vue de venir en aide efficacement .  Dans le cadre
  d’une formation , la non réussite au « premier » devoir d’une leçon
  , ne permet pas de conclure à un échec . C’est un
  début d’échec si on ne se satisfait que d’un constat. Le maître
  « forme », il doit être capable 
  de diagnostiquer les raisons de l’échec et il doit pouvoir  proposer la bonne activité , pour remédier
  au manque de formation  par une
  formation appropriée . Si  le niveau recherché  ne peut pas être atteint il y a
  « échec » . On considérera que 
  l’échec de celui qui se forme doit être aussi considéré comme un échec
  (au bon sens du terme) du formateur qui n’a pas trouvé le remède. Le maître
  formateur est impliqué au même titre que celui qui se forme dans la formation
  individualisée ,voulue et entreprise. IL N’ A PAS LE DROIT de   « CERTIFIER » la formation de
  son élève.  Le formateur  doit,
  en  formation individualisée ,  être capable de  déterminer si le niveau recherché pourra ou
  ne pourra pas être atteint en fin de formation. Il doit avoir les compétences
  et la volonté pour rechercher et mettre en œuvre les moyens pour faire
  progresser la personne « identifiée » : en difficulté.  L’efficacité
  et les compétences et la qualité  d’un
  formateur se mesurent  à ce stade de la
  formation « savoir donner le bon devoir d’évaluation et de contrôle »,
  savoir le corriger , savoir utiliser 
  la correction et l’exploiter pour faire progresser celui qui se forme
  , jusqu’à ce que celui ci  ait rempli
  le « contrat » et valider les « apprentissages ». Le
  formateur accompagne, une personne dans son développement. L’échec de l’un
  est l’échec de l’autre. Le
  formateur doit détecter le plus tôt possible si la personne dont il a la
  charge  et la responsabilité de former
  est capable de progresser.  Le
  formateur  doit identifier, à partir
  des erreurs contenues dans les  travaux
  rendus, les raisons de l’échec.  Il est
  souvent nécessaire de  pouvoir
  proposer  une activité de
  formation  de niveau inférieur pour
  reprendre la formation prévue initialement. Cette  formation complémentaire devra être  validée par la réussite au  devoir formatif  spécifique à cette formation. Si celui
  qui se forme reste en situation de blocage, et ne peut plus progresser, le
  formateur doit signaler le cas, réorienter 
  la personne sur une formation de niveau inférieur.  La
  formation s’appuie sur une pédagogie de la réussite, quelques  soient les délais mis pour atteindre un
  niveau.  On doit
  se poser ces questions :   « WARMATHS »   fournit des outils pour ne pas rester sur
  « un constat d’ échec »  Et l’
  intervention du formateur- professeur est déterminante : il doit,
  obligatoirement, pour chaque objectif ponctuel de formation visé,   mesurer le niveau de celui qui se forme. « WARMATHS »   fourni tous ces travaux (corrigé compris) « Informer »  oralement, par écrit ou par cassette,
  « n’est pas former ». « WARMATHS »   fournit toutes les « informations
  cours » , et en amont et en aval de l’objectif ou la leçon traitée.  Dans
  notre société et notre système d’organisation « en formation de
  masse » le principal outil de communication entre « le maître et
  l’élève »  est l’écrit : le
  « dialogue » passe par l’écrit ; cet écrit prend ,
  généralement le nom de « devoir ». Le
  travail du professeur ne se limite pas à donner une information (au tableau ,
  ou sur un document écrit ) , à une date donnée à un temps donné,  prévu dans son emploi du temps. « WARMATHS »   est, lui, consultable pour un information
  à tout moment du jour ou de la nuit.   Le
  travail du professeur doit  savoir
  après avoir donné un écrit, identifier, si l’information qu’il doit
  « faire passer » est réellement acquise et applicable. Sans  devoir il est  impossible de savoir si les apprentissages
  sont réalisés , et à quel niveau de réussite se situe celui qui se forme . « WARMATHS »   propose à chaque objectif des travaux auto
  formatifs et d’auto évaluation. Le devoir
  reste une activité  important et
  incontournable ; mais la correction l’est d’autant plus.  Le
  professeur doit être capable d’analyser les raisons de l’échec ou des
  manques, il doit être capable de dialoguer et d’apporter une réponse ou
  information  qui va permettre à celui
  qui se forme  de ne pas rester en
  situation d’échec ou de blocage, ces informations doivent permettre de
  faire  progresser jusqu’à ce que le
  niveau soit atteint. Ce travail est indispensable voir obligatoire  auprès de 
  chaque individu  prit en charge.
  autrement. Le
  professeur ne peut pas être à la fois « formateur » et
  « certificateur », les travaux que donne l’un  ne doit pas avoir la même fonction que
  l’autre. Pour un
  formateur : les travaux servent à faire progresser.  Pour un
  certificateur les travaux servent à sanctionner un niveau de compétence. Un devoir
  ne doit pas être donné à partir de présupposés  acquis. Pour
  chaque objectif  un devoir  sur  les
  savoirs et savoirs faire  pré requis
  doit avoir lieu : sinon il faut « redescendre de niveau » et
  sur la nécessité de capitaliser ces pré requis. « WARMATHS »   propose, instantanément et pour chaque
  objectif à travailler,  de redescendre
  sur   « objectifs  pré
  requis », qui possède, eux aussi , des travaux et outils de contrôle et
  d’évaluation, pour un devoir éventuel ;ce qui permet de mettre en
  place  l’aide individualisée , de
  mettre en place une remédiation ou une mise à niveau. « Mise
  à niveau » signifie que « WARMATHS »   , met à la disposition de celui qui le
  désire , des informations  qui lui
  serait impossible d’aller chercher seul , par manque de compétence , de temps
  , de connaissances, ou tout simplement parce ce qu’il n’est pas possible à tout
  à chacun de posséder et garder tous les livres qui ont étaient
  « prêtés » pendant la scolarité (livres de primaire, collège ,
  lycée ,…..).     Le niveau
  dans un cours donné est atteint si la totalité des exigences définies par les
  textes sont atteintes. La qualité de la formation 
  dépend  des travaux écrits, et
  de la qualité des corrections (et de ce qu’on fait de cette correction)  de ces devoirs.  Il en découle de cette
  correction  des explications  (analyse des erreurs ou fautes)  . | 
| CONSEILS :
  Extraits de Conseils pratiques en direction de celui qui se  forme |