2011 : ce
travail sur la recherche d’un process
destiné à la lutte pour la réussite scolaire à permis d’ aboutir à la pratique suivante : Un professeur doit , pour une
étude ( une leçon , un cours)
; définir un objectif et
des compétences à atteindre . Pour parvenir à atteindre cet objectif ,on établira un document pour aider l’élève dans
ses apprentissages appelé « les travaux auto formatifs » ; pour valider ces apprentissages on fera
passer ( et réussir) une épreuve appelé « devoir formatif » .
Restera à faire
certifier la formation . ( hors
centre de formation , et dans lequel , le formateur n’est pas intervenant )
HISTORIQUE : Résumé du travail de recherche , sur l’enseignement des mathématiques en lycée
professionnel qui a conduit à l’élaboration de « WARMATHS », ou
« la réussite pour tous ».
WARMATHS c’est : la mise en
pratique , au quotidien , d’ INNIVATIONS
PEDAGOGIQUES centrées sur « les apprentissages » et les OUTILS POUR
« REALISER » l’accompagnement et le suivi individualisé.
1986 : début du TRAVAIL DE RECHERCHE -
ACTION : sur la lutte contre l’échec scolaire en mathématiques
. Le but étant d’identifier les paramètres sur
lesquels il faudrait agir pour permettre la « réussite scolaire pour
tous » en mathématiques
. Publics concernés : a) tous les
élèves quittant le collège fin de cinquième
et entrant en formation professionnelle pour préparer un CA P en 3 ans (
niveau V) avec possibilité d’une
poursuite d’études de niveau IV ( minimum : bac prof.) . b) tous les
élèves quittant le collège fin de
troisième et entrant en formation professionnelle pour préparer un CA P en 2
ans ( niveau V) avec possibilité d’une
poursuite d’études de niveau IV ( minimum : bac prof.) . 2005 : Résultats de ce
travail « expérimental » et testés en situation réelle. Prés de 100 % de réussite
à l’examen et un capital de connaissances en mathématiques
suffisant pour continuer des études de niveau IV. ; ou reprendre des
études en cycle long. 88888888888888888888888888888888888888888888888888 Ces travaux de
recherche m’ont conduit à imaginer des nouvelles
formes d’organisation pour
faire exister la relation
« individuelle » qu’il faut
mettre en place entre le formateur ( professeur
) et l’apprenant ( élève et adultes) durant toute la durée de la
formation : Pour réaliser cette démarche personnalisée , il a fallu « inventer » et créer
des travaux compatibles avec l’objectif de formation visé et ensuite . Donner
des « devoirs » et prendre
appui sur l’erreur . C’est l’analyse de « l’erreur » qui va
permettre la mise place d’une pédagogie individualisée et différenciée
pour persévérer dans les activités
d’apprentissages. C’est alors qu’il a fallu penser à mettre au point une nouvelle façon de
penser et d’
organiser les apprentissages
et individualiser la gestion du temps et
des durées d’apprentissages . Cela à
obligé à organiser des
nouveaux espaces en lien avec la formation pour faire atteindre et
valider « à tous » le niveau intégral recherché. En résumé : la réussite de chacun passe
par la mise en place du SUIVI INDIVIDUALISE « continu et en
continu » . En parallèle : - La formation individualisée : Pour
faire face à l’hétérogénéité , il a fallu répondre aux besoins en
formation de chaque individu « en instantané » et « en
continu » . pour redescendre de
niveau ; pour progresser , ou pour dépasser le
niveau visé . - Rythme et
disponibilité : Pour assurer le
suivi et valider le niveau acquis il a fallu mettre au point des travaux
spécifiques pour faire « vivre » les apprentissages de chacun ,
pour le guider , l’ accompagner , pour imposer un dialogue avec celui qui
cherche à atteindre un niveau visé . - Accès aux contenus de cours , aux outils qui vont permettre le
suivi , et organiser chaque formation individuelle :
il a fallu créer , inventer , mettre au point une banque de données
interactives , l’élaboration de TRAVAUX
FORMATIFS : pour que le niveau de
validation de formation en fin de cycle soit incontestable. , Validation d’une formation : débouchant
sur la certification de la formation. |
TRAVAIL
DE MEMOIRE : WARMATHS : Les résultats, les conclusions,
aboutissement et applications.. |
WARMATHS : EMERGENCE |
Lecture suivante : |
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Après obtenu un certificat d’études à 14 ans , un CAP mécanique général en 1968 , un CAP dessinateur industriel en 1970 ,
Détecté ,
à l’armée (via des tests) comme n’ayant
pas les diplômes au regard des performances cognitives dont je dispose ;
je quitte le bureau d’études des ponts et chaussées (boulevard lundi –reims ) pour « entrer en formation » .comme
« étudiant salarié ».
Cette
expérience étant cofinancée par l’Armée et le ministère du travail ; sans
limite dans le temps :
condition : vous êtes financés tant que vous serez en
situation de réussite , sans limite de niveau à atteindre ; on nous
demande d’aller « le plus haut possible » en terme de diplôme )
Ainsi :j’ai participer à
titre expérimental et après sélection
nationale à une formation pour adulte de mise à niveau bac , ces études
été financées par le ministère du travail
et le ministère des Armées , supervisées par le ministère de l’ E.N . Le
financement de ces études était subordonné à la réussite aux épreuves (examens, concours) sans limite
dans la durée des études. C’est ainsi qu’en 1975 j’obtenais le D.U.T. Génie mécanique.
Pour des
raisons familiales , je stoppe mes études et je
commence la rentrée scolaire de
Septembre 1975 : je suis recruté
comme maître auxiliaire au lycée
Technique de Saint Quentin 02 .
Je prépare
les concours (CNED) . En 1976, je passe et réussi un
concours externe.De ce fait j ‘entre à l’ Ecole. Nationale. Normale .d’
Apprentissage (E NNA) .de Saint
Denis pour une formation de deux ans au métier de Professeur en Enseignement
Technique Professionnel. (PTEP) . Ces études sanctionnées par un
diplôme : le C.A.E.L.E.T.
En
1983 ; J’exerce comme Professeur en
Enseignement Technique Théorique. (PE TT en
dessin Industriel)
En 1987 ; j’entreprend une reconversion,
après une formation en ENNA à Anthony,
je suis nommé P.E.G. Lycée Professionnel.
en Maths sciences.
Tout au
long de ces parcours de formation j’ai du déployer des stratégies pour m’
informer , me former , compléter ma
formation, pour combler des lacunes de connaissances ( ?) , inhérentes au
parcours « anormalement »
suivi .Pour franchir chaque obstacle , pour réussir il a fallu que je
recherche pourquoi je me trouvais en
situation de « blocage » dans une progression qui semblait accessible
à d’autres , que savaient -ils que
j’ignorais ? Que fallait- il que je sache pour savoir faire ce que les autres réussissaient ?
Je ne
devais pas douter ,en plus d’une forte
motivation , les «instigateurs » de ma mise en
« expérience » en formation
continue, sans limite de niveau à atteindre , m’ont seulement informés
et assurés que je n’avais pas à douter de mes capacités intellectuelles,
que j’étais capable de poursuivre des études.
Ces
expériences personnelles m’ont permises
de mettre en évidence :
Pourquoi le
contrat « devoir » formatif,
composé d’un contrôle et d’une
évaluation, était un« outil de
formation » fondamental.( Si l’apprentissage repose sur le développement
de capacités et compétences intellectuelles on est seul ,face à soit, dans ce
que l’on appelle l’ Apprentissage
cognitif, et que le professeur dans un
devoir sommatif ne mesure pas une performance
« écrite » et surtout pas le parcours intérieur de celui qui
se forme ni le
niveau qui est atteint dans un apprentissage.
L’évaluation
formative va permettre à celui qui se forme
de mesurer l’écart entre ce qu’il sait et ce que l’on attend de lui .
A lui de corriger ses erreurs, au pédagogue de
l’aider dans sa démarche.
Ce travail
de « renégociation intérieure» étant à faire seul ou avec un tiers.
A
l’institution, et non au professeur qui forme (le pédagogue) de mesurer le
niveau de performance atteint en fin de
cycle chez celui qui a entrepris la
formation.
Le travail
du professeur est de réduire l’écart qu’il y a entre les connaissances que possède celui qui se forme et les connaissances qu’il doit acquérir pour valider
la formation entreprise. La progression doit être continuelle .Le niveau
ne doit qu ‘ augmenter et constater, le niveau attendu doit être
atteint, on ne doit pas fixer la date à
laquelle il doit être atteint.
Dans une formation le niveau à atteindre ne doit pas dépendre du paramètre
« temps ». La durée d’un « apprentissage » est différente
d’un individu à l’autre. Les objectifs sont communs à tous. Tous devraient
atteindre le niveau !!!
J’ai
cherché à mettre en place la stratégie « formative » pour aider chaque élève « à
progresser » . Cette stratégie je l’avais élaboré , mis au
point et appliqué lorsque j’ai enseigné
en formation professionnelle « dans
les apprentissages pratiques à l’atelier » . J’ai ensuite transféré la méthode à l’enseignement
théorique ( la technologie professionnelle et générale ) .
C’est « le devoir formatif
» qui utilisait comme
« outil de formation » permet de mettre en place une
pédagogie innovante sur l’enseignement
individualisé ( suivi , aide , accompagnement ,…..)des
mathématiques ?
Première assertion : Tous les élèves ou
adultes peuvent réussir .
Il suffit de se référer à
« Piaget » :
si le stade formel ( PIAGET) est
atteint par l’élève, (ce stade étant
atteint par les adultes ) la
formation professionnelle pratique et technologique peut être dispensée individuellement .
Deuxième assertion :
Dans la
partie professionnelle, aucun pré requis n’est exigé. Aussi lorsque l’on entre en
formation en enseignement professionnel technologique et pratique on remarque
qu’il n’y a pas de problèmes d’ hétérogénéité (
âge , et capital culturel) .
Les
premiers contenus de formations sont nouveaux pour la majorité.
La première
période de formation est centrée sur l’ acquisition de
nouvelles connaissances qui sont communes à tous. Ces connaissances portent
sur les codes et les outils de
communication ( dessin industriel - plan et symbole de
représentation) par la nécessité d’un langage commun, autre que les mots.
A
l’atelier, on débute la formation par
l’exécution d’opérations élémentaires ( on réalise des formes géométriques en trois
dimensions avec des outils, on mesure ,
on compare ….) . On apprend la
connaissance du milieu ( on nomme les lieux
, on définit les rôles, les fonctions ) . On identifie et apprend à maîtriser tous les outils ( intellectuels et manuels) qui permettront , à tous , de
réaliser un objet matériel en respectant les consignes technologiques et
matériel ,on cherchera à rester dans la limite des tolérances imposées pour
considérer que chacun à réalisé un objet
conforme aux objectifs fixés. ( Objet qui se devrait « identique » et qui ne le sera pas , voir jamais) .
Ainsi
prenons dix élèves qui doivent réaliser un même objet à partir d’un plan, avec les mêmes
matériaux , les mêmes outils , les mêmes moyens de vérification et de contrôle
en cours de fabrication, et aussi précis sera les contraintes pour réaliser
l’objet , les mesures finales mettront en évidence des différences.
De ces
différences constatées en découlera une
décision pour déterminer si « l’objet est conforme ? » ou « pas
conforme ».
On
vérifiera que les erreurs
constatées se trouvent à l’intérieur des limites de tolérance fixées par le contrat « plan ».
Le
concepteur de cet objet à déterminer la fonction de celui - ci
, dans un cadre donné , si la fonction est conforme , on peut considérer
que l’objet est conforme.
En
formation professionnelle (technologique et pratique) chaque objectif à atteindre , dans
la réalisation , ne peut s’opérer que dans un processus d’auto -
évaluation , évaluation , mesure , et d’auto - régulation et régulation.
La
réalisation d’un objet ( matériel ou intellectuel) met
en œuvre un processus qui repose sur
l’analyse intellectuelle :
- Inventaire qui est préalable à l’action), on détermine des
contraintes d’antériorités , en respectant un ordre logico - mathématique , qui
n’est rendu possible que par l’
accumulations successives de savoirs et
savoir - faire techniques et
technologiques .
-Inventaire
en cours d’action. Il faudra connaître
et savoir utiliser les moyens de mesure , de
vérification et de validation qui permettront de réguler l’action pour parvenir à la conformité .
Ainsi
chaque formation intègre dans son
processus d’acquisition un apprentissage associé à des éléments régulateurs. (d’où les rôles déterminants du contrôle et de l’évaluation par le processus de
développement , et de la recherche du but à atteindre).
Donc,
l’évaluation formative structure l’Apprentissage, à l’intérieur de l’ Apprentissage on trouvera des phases d’apprentissages
(identifiables par des actions telles que : mise à niveau , médiation,
autoformation, auto- évaluation , auto - contrôle,renégociation ,….)
La
formation dans un cadre donné est
réalisée si celui qui se forme rempli entièrement et seul, avec les moyens qui lui son propre, un
contrat critèrié avec des limites
d’acceptabilité. ( Il propose le minimum requis
)
Commentaire :
C’est en 1988 que j’ai entrepris, en
mathématiques, de travailler sur la conception, la réalisation et l’utilisation d’évaluations formatives.
La gestion
de l’hétérogénéité passe par
l’individualisation de la formation et
de son suivi individualisé.
C’est de façon « militante » que
j’ai entrepris ce travail. (avec tous les problèmes
que cela représente ). Je voudrais ne
plus me souvenir des joutes verbales avec les collègues de la spécialité qui
menaient des « expériences pédagogiques , financées « grassement »
alors que leurs innovations étaient déjà classés comme anti- pédagogique , j’ai
du me démener avec le corps des
inspecteurs (de cette période) qui voyait d’un mauvais œil la mise en place de
nouveaux travaux de recherche
pédagogique qui ne correspondaient
pas à leur
« philosophie » et qui allaient à l’encontre de leur courant de
pensée……Tous ce beau monde a toujours refusé de confronté , par une ou des évaluations
, nos élèves respectifs , et tirer les conclusions du bien ou mauvais faits de
ces travaux « concurrentiels ».
La mise au
point d’une méthode destinée à individualiser le suivi et accompagner chaque
élève ainsi que la constitution d’une
banque données, pour assurer une
formation individualisée de niveau V , a demandé plus
de 8 années ( en prenant appui la mise
en place d’une pédagogie par objectifs et le contrôle continu ) .
Les
expériences sur le « contrôle continu » sont abandonnées. Le niveau des élèves est
contas trophique. Aucun élève ne
possèdent les connaissances « pré requises » pour entrer en classe de
niveau IV ( Bac Professionnel) .
Seuls mes élèves , pouvaient suivre. Toutes mes demandes pour
faire valider mon travail de recherche
en matière de pédagogie innovante ont été censurées par l’administration locale
et le corps des inspections.
Malgré cela , j’ai continué à me battre, à perfectionner et
améliorer ma méthode et mes outils « pédagogiques ».Depuis des années
, je propose des heures pendant le midi , pendant le soir , aux élèves qui ont
des difficultés et qui veulent faire valider leurs acquis .Je n’ai pratiquement
jamais bénéficié de moyens supplémentaires : en heures supplémentaires
payées , en moyen matériel ou
informatique.
J’ ai
demandé et je me suis vu refusé , par
l’inspecteur de l’époque, des moyens
financiers et en décharge d’heures pour me former , pour améliorer ce travail
d’innovation. C’est à mes frais (transport, frais d’études ….) que j’ai
poursuivi sur mon temps des études en sciences de l’Education à Nanterre ,
alors que je continuais à assurer mon service dans mon établissement alors que j’appliquais ce que j’avais appris.
Cette banque de données a été complétée pour permettre aux élèves d’obtenir le niveau
V dans son intégralité pour entrer en formation niveau IV (
Bac professionnel) et plus de 8
années pour mettre au point une banque donnée qui est destinée à la pédagogie
par module et pour assurer une formation continue dont le contenu couvre toutes
les mathématiques enseignées en primaire, collège et lycée professionnel.
Pour mettre
au point ce processus (documents et méthodologie) remettre en cause les
pratiques institutionnelles et approfondir ou compléter l’ensemble de mes connaissances, en
particulier, sur :
I ) L’
épistémologie et la didactique en mathématique.
Avec la
mise en évidence de la maîtrise :
-
de
la graphophonologique portant sur les savoirs « objets » et
savoirs « procéduraux » déclaratifs.
-
Des
identifiants et leur misent
en œuvre dans des savoirs faire ( travail sur
l’ invariance du signifié sous certaines modifications du signifiant).
II )
L’approche clinique :
a) élaborer une nouvelle gestion du
temps et de l’espace.
b) Travail sur la relation pédagogique.
c) Travail sur les connaissances du
fonctionnement cognitif portant sur :
-
La
pensée logico mathématique.
-
L’intelligence
artificielle
-
Les
fonctions neuronales et phénomènes physico - chimiques.
III)
Elaboration d’une méthode innovante
prenant appui sur un travail de recherches et
d’études sur les différentes pratiques
et courants pédagogiques.
Dans le
même temps, et en fonctions de mes investigations j’applique ces
connaissances :
1) j’élabore une banque de données,
contenant les connaissances qui sont
abordées sur l’ensemble du parcours
scolaire de la primaire jusqu’ au niveau V (CAP - BEP) .
le niveau recherché est défini par les textes , pour la durée de formation en deux ans , pour
chaque objectif , il est prévu distinctement , une information cours écrite et
l’évaluation formative.
2) Je redéfinis, en accord avec les
élèves, les contraintes de temps et d’espace pour favoriser le déroulement de
l’apprentissage individualisé.
3) J’institutionnalise le droit à l’erreur, comme
partie prenante et intégrante de la formation. Elle correspond un palier
identifié dans l’apprentissage, il est « personnel », et il est
considéré comme nouveau point de
« reprise » de la formation.
Commentaire :
1°) Il faut
que l’erreur soit pronostiquée par celui
qui participe à la formation, elle est
donc identifiable elle doit être
identifiée par le formé. Cette erreur, si elle est
commise, doit être tolérée ou admise
dans une phase d’apprentissage, elle ne doit pas être admise en phase
d’évaluation sommative (en fin de formation) .
Pour limiter ce risque
d’erreur dans un devoir il faut proposer
pendant la phase des apprentissages, l’auto -évaluation et l’auto
-régulation et des outils qui puissent aider à ces fonctions.
2°) en
fabrication, on apprend à maîtriser l’erreur, sur les machines ou avec des outils on anticipe celle ci.
La perfection ,
la cote idéale n’existe pas , l’outil ou l’instrument de mesure étant construit lui même avec une marge d’erreur. Pour chaque
« opération » , action , objectif , des contraintes sont fixées , des tolérance accordées ,
l’étape finale de réalisation est précédée
d’une ébauche ,puis d’une
première mesure , d’une analyse entraînant une décision (on peut
continuer !!) puis on effectue une demi - finition suivie
d’une autre série de :
mesure ou contrôle, recherche de
l’erreur ou pas , analyse ,
décision ; puis vient la phase normative : le résultat attendu est
obtenu . Un dernier contrôle ou évaluation permettra à l’évaluateur qui n’est
pas celui qui se forme, de prendre la décision :
La pièce (ou l’évaluation) est
bonne ; On continue la progression,
on passe à une autre difficulté
La pièce est
« mauvaise » ou « pas terminer ».
En
fabrication suivant le cas, les mesures sont mauvaises :
a) il reste de la matière alors on peut
décider que l’on peut encore agir sur la
pièce, on la reprend pour
« terminer le
travail », il est encore possible d’atteindre l’objectif (cela aura pour
conséquence d’avoir mis plus de temps que prévu)
b) il ne reste pas assez de matière, on
ne peut plus agir, ni faire de retouche,la pièce est
éliminée , la matière est recyclée, il faut reprendre la formation , au début de l’objectif, a - t- on fait l’impasse sur les pré requis ? Est ce le manque de connaissances liées à la façon dont on a utilisé l’outil
de mesure, est- ce
un manque de connaissances globales ou dans la procédure ?
J ‘ai
décidé de transférer cette méthodologie
à l’enseignement des mathématiques et sciences. Sans imaginer ou cela
allé me conduire :
-
mise
en évidence de redescendre le niveau , pour reprendre les élèves en
difficulté , voir grande très
difficulté .
-
travail
pharaonique pour construire une banque de données exploitable immédiatement,
-
Conflit de tout ordre :
- avec les
collègues, qui n’ont pas voulu changer
leur pratique et croire que chaque élève
pouvait progresser et arriver au niveau
- avec les
inspecteurs qui n’ont pas voulu prendre le soin de chercher à comprendre.
L’individualisation et la réussite scolaire n’étant leur priorité,seules les activités liées à « l’occupationisme »
, « distraire » et « gérer les états d’âmes » de nos élèves
semblent susciter de l’intérêt et alors ils interviennent pour faire accorder des moyens en « argent »
et en « temps libre » pour de
ces « professeurs - animateurs ».
- avec
l’administration locale , qui a étouffé tous les
projets ou contre projets ,qui demandé
des moyens .
-
Les
seuls conflits qui ont été agréables à gérer ont été ceux provoqués chez les
élèves, qui cherchaient « à réussir » et qui voulaient obtenir « des bonnes notes » et donc une bonne
moyenne.
Ce que j’ai
cherché , en développant cette pratique , est de permettre à l’élève ( chaque élève qui le souhaite) de rentrer en
formation et de s’intégrer dans un processus d’ Apprentissage, en mathématique
, tout en s’inscrivant dans un processus de formation qui sera validé (tout au
long de sa scolarité) et qui sera confirmé
( ou pas) lors de l’épreuve
normative ou certificative qui a lieu pendant ou en fin de cycle de formation (
examen).
2°) POSITION DE SOIT .
L’échec
scolaire est l’échec d’une pratique éducative et l’échec d’une forme de mesure du développement cognitif qui se satisfait d’un constat pour conclure un
« apprentissage ».
La non
mesure des étapes synchroniques dans un objectif visé ,
surtout chez des élèves en développement
, ne permet pas aux professeurs
d’analyser précisément les raisons ou les causes d’une réussite ou d’un
échec.
Les
expériences que j’ai mené tendent à
montrer que « l’échec scolaire » d’un élève ou adulte n’est qu ‘un retard
« conjoncturel », et qu’en
aucun cas on peut assimiler « échec
scolaire » à « déficience
cognitive » ou « désordre
ou handicap mental ou neurologique ». Ce retard peut être comblé si
l’on accepte de bien vouloir « accompagner l’élève » dans une sorte
de remédiation. La première forme de
médiation est une négociation avec celui qui se forme sur la
nécessité d’ une remise à niveau.
Il existe
des outils « fondamentaux » qui s’ils ne sont pas acquis font
barrage à tout développement (savoir lire écrire et compter !!!!)
Mon but est
d’agir pour « la réussite scolaire »
et non de lutter « contre l’échec scolaire ». A l’heure
actuelle, toutes mes expériences ont été
menées avec des élèves qui ont été orientés, vers la formation professionnelle, suit à une succession d’échecs scolaires (à 90 %).
Constater
un échec, c’est mesurer un état de développement à un moment donné. Pour
l’avoir vécu et l’avoir vérifié dans des matières différentes que tout n’est
pas fait pour éviter l’ échec (Certains formateurs sont conscients que « l’erreur » est inévitable parce que l’élève ne possède
déjà pas les pré requis qui …….).
Pour ce qui
est des mathématiques, la formation
technologique et professionnelle, ne
peut pas se satisfaire du déficit des connaissances
des bases constatées à la sortie du collège et en
faire abstraction. L’hétérogénéité des
élèves et de leur niveau est telle qu’
avant d’entreprendre la formation proprement dite, on doit, redonner
« espoir » et « confiance »
et entreprendre une phase de remise à niveau.
Aussi e
st-il nécessaire de faire un constat ,
concernant l’hétérogénéité des élèves entrant en L.P. est constituant une
classe .
-
l’âge :
de 16 à 22 ans.
-
Origine
scolaire : CFA , SEGPA, une 3ème
,, une seconde ( redoublée parfois) , une première ( parfois redoublée) ,d’une
réorientation CAP , d’une classe Bac Pro. ….auxquels ont ajoute parfois des
adultes en contrat de formation,….
-
nombreux
sont ceux qui posent des problèmes relationnels, ou autres désordres affectifs.
-
Beaucoup
ont des problèmes de méthodologie, et
sont en conflit ouvert avec la société et les lois qui la réglemente.
-
La
majorité de ces élèves ont un grand rejet concernant les
mathématiques.
On ne peut pas
échapper à cette hétérogénéité.
On ne peut
plus ou
pas gérer une classe
, en utilisant une méthode qui ne tiendrait pas compte de ces
différences , au risque de ne plus pouvoir enseigner . Le cours
« magister » devient insupportable pour les élèves comme pour le
professeur.
J’ai
eu la chance de faire
deux formations différentes en
ENNA ( l’une comme Professeur Technique en Enseignement Professionnel , l’autre
comme Professeur en Enseignement Général ) , j’ai appris à élaborer du matériel
didactique et audio visuel et expérimental , pour compléter ma démarche
pédagogique , ces formations ne suffisent plus au regard du public concerné.
En 1988,
J’ai décidé de pratiquer autrement.
Je suis
parti des hypothèses suivantes :
1) Tous les élèves possèdent les potentialités qui doivent
leur permettre d’avoir le niveau de connaissances, pour continuer des
études et pour obtenir le CAP , soit par examen final , soit par Contrôle Continu, en
mathématiques.
Rappel : sur les avantages et les inconvénients de
l’attribution du diplôme par C.C.
Le Contrôle Continu défini un minimum de savoir faire
« à passer » et
« valider »pour atteindre le niveau minimum (niveau bien inférieur
aux exigences du programme).
Pour ce faire, les professeurs ont donc élaboré des épreuves
certificatives. Mais ils les ont utilisé
comme outil d’évaluation en formation.
Les professeurs étaient « juges » et
« partis ».
Lorsque les élèves de LP ont eu la possibilité de poursuivre
des études , on s’est
aperçu des effets pervers de la méthode utilisée.
Le niveau atteint par les élèves qui obtenaient le CAP était « catastrophique ».
De ce fait, sans analyse des raisons de cet état, les professeurs ont décidé
d’abandonner la délivrance du CAP par
C.C.
Il fallait distinguer
« le certificatif » du « formatif »
Le référentiel défini des « savoirs - faire ».
Le référentiel fait
abstraction des « savoir » qui
devraient être
« capitalisés » parce qu ils sont nécessaire et pré requis
pour envisager une poursuite d’études de niveau supérieur.
Ainsi les enseignants qui
ont voulu former les élèves en utilisant comme objectifs à atteindre :les points du référentiel, ont remarqué que ce minima était devenu le maximum de travail fait par l’élève.
Le « Contrôle Continu » au désespoir des
élèves a été abandonnée lorsque les
professeurs se sont aperçus , que des connaissances n’ avaient pas été abordées
, sues et maîtrisées , pour les élèves qui voulaient préparé un bac pro .
2°) La
remédiation ou remise à niveau. (Pour
homogénéiser le groupe à un vocabulaire et outils commun).
Le seul
moyen de gérer l’hétérogénéité est de reprendre, pour tous, les bases ; (pour effectuer cette
remédiation ou mise à niveau des évaluations formatives (contrats) sont remis) .
L’élève part de ses présupposés acquis,
le but est de combler les manques.
Décisions
prises pour atteindre le résultat
escompté :
-
Découper
la liste « programme », en
objectifs de formation.
-
Pour
chaque objectif donner un contrat précisant : les savoirs et les savoirs
qu’il faut savoir et maîtriser.
-
vérifier
que chaque objectif est atteint par « chacun ».
-
admettre
l’erreur, refuser l’échec sanction eu proposant une ou plusieurs
renégociations.
-
admettre
chaque individu comme apte à réussir, et pour que cela se fasse, je décide
de lui laisser le choix sur :
La façon de « se former » et
« apprendre » (le lieu et le moment)
Lui laisser le choix sur la
façon d’obtenir les informations
Lui fixer une seule contrainte : le lieu où se passera le passage de l’épreuve « écrite » à
une date limite maximale
. (Pour vérifier que le travail
des apprentissages de formation est
en cours ou si il est effectivement terminé . )
Pour mettre
en place ce processus je suis, seul :
- A avoir
élaboré ces évaluations formatives : les contrôles portant sur les savoirs
et l’évaluation des savoirs faire
comportant 3 niveaux de difficulté. - A
utiliser ces évaluations formatives.
- A être,
totalement, impliqué dans ce dispositif d’apprentissage et de formation et de
suivi.
- la progression
des élèves est incontestable.
Pourtant,
malgré cela, j’ai fait l’objet d’une censure systématique de la part des réseaux
internes financés par l’E .N.
Aucun des projets que j’ai déposé n’a abouti ,
alors que d’autres ayant la même vocation ont été financés et doté de moyens en
heures pour ceux qui se lançaient dans ce type d’expérience de remédiation
cognitive,aucun n’ont abouti , les moyens ont été donnés sans aucunes
contreparties.
Je
rappelle que pour reprendre
les bases, j’ai d’ abord utilisé
la méthode traditionnelle, je m’adresse à la classe : « cours - exercices
- devoir ».Le niveau « paraît » trop bas pour les élèves
qui suivent, ces cours ont été déjà vus,
revus. Les meilleurs s’ennuient, les
moyens essaient de suivre, les autres, qui n’osent pas dire qu’ils ne
comprennent « rien », supportent difficilement l’écoute du cours, ne
suivent pas la correction, n’ont pas envi
de savoir et encore moins d’apprendre .Malgré tous les efforts
entrepris : les forts restent fort, chez les moyens et les autres
aucun progrès n’est constaté.
Je suis
passé ensuite, à la seconde
méthode : proposer une remédiation individualisée afin de responsabilisé
l’élève et l’obliger à faire le
« geste d’intentionnalité » pour se former. J’ai donné les questions
du devoir, avant de faire cours, ce contrat étant remis , il ne reste plus qu’
à attendre que le premier devoir écrit se fasse. Après la correction, on décide ou négocie, avec chaque individu, de
la stratégie à mettre en place pour compléter et terminer l’apprentissage.
Contenu des informations
remis aux élèves.
Ce contenu est élaboré à partir des directives
ministérielles décrivant les
objectifs terminaux et à partir des
référentiels du contrôle continu qui
définissent les minima de « savoir-faire ».
La liste
des objectifs est communiqué
aux élèves (ou adultes).
Ces
informations sont classées dans des
domaines.
Ces
Informations sont contenues dans un
dossier « objectif de formation » :
- Une fiche
contenant la liste des informations
d’ordre pédagogique (dont les pré requis, l’objectif précédent, l’objectif
suivant, les objectifs de l’objectifs ;…..
- Une
information « cours ».
- Le
contrat : son contenu intégral.
Ces
documents sont des documents papiers ( statiques) et
informatiques ( accessible sur CD Rom interactif )
LES NORMES AUXQUELLES JE ME REFERE.
1°) Les sciences de l’éducation montre que plus
de 98% du public scolaire en formation à les capacités cognitives pour assimiler et digérer
l’intégralité des savoirs et savoirs - faire
qu ‘il est supposé avoir « capitalisé » à la formation fin de la 3ème. Evidemment , chaque
individu possède son propre rythme
et le développement cognitif d’un
individu ne peut correspondre à une norme qui dépend de l’âge. Pour un temps
donné certains élèves développerons des capacités que d’autres atteindront
« plus - tard ».
A l’âge de
l’adolescence,le stade formel ( défini par Piaget) est
atteint , le développement cognitif est
parvenu à un stade tel que les fonctions cognitives (structure mentale)
sont suffisantes pour pouvoir traiter intégralement les contenus du programme de
formation en CAP BEP. (niveau V).Il est
évident que pour que ces contenus soient intellectuellement accessibles , une
mise à niveau, voir une réorganisation des acquis , est nécessaire à chaque nouvelle étape du
programme , d’une leçon , d’un objectif , quelque soit la matière. Cette mise à
niveau n’est pas nécessaire lorsque l’on aborde une « nouvelle
matière », c’est ce qui se démontre très bien en formation professionnelle
pratique et technologique ; ou les élèves vont mettre en jeu ces
capacités, dans l’apprentissage du métier .
2°)
L’éducation nationale doit emmener 80% des élèves d’une classe d’âge au
« bac ».
Les métiers
évolues, des emplois disparaissent
d’autres se créent.
L’adaptabilité à l’évolution des sciences et des techniques
entraîne les personnes concernées par ces transformations, à une
plus grande mobilité et une plus grande compréhension et acceptation de l’organisation sociale.
Cette « mobilité » matérielle, voir
intellectuelle, et cette adaptation à
une nouvelle forme d ‘organisation de vie (appelée : sociabilité) implique un minimum de connaissances.
Constat :
en mathématique
La majorité
des élèves quittent le collège, soit en
état d’échec scolaire, soit avec des
lacunes, en culture mathématique, telles que cet échec apparaîtra
dès les premiers devoirs, en seconde.
Les élèves
de L.P. sont à plus de 80% des élèves en difficultés, certain sont déjà en très
grande difficulté en fin de cinquième, mais ils restent au collège. Ces collèges font de la rétention pour
maintenir leur effectif.
Les
professeurs ne modifient pas leur pratique « pédagogique », et gèrent voir
« amplifient » l’état d’échec. Ainsi
nous arrive- t-il des élèves résignés, dans un état mental tel que ceux
- ci acceptent comme une fatalité leur échec , qu’il
semble pratiquement impossible de les convaincre que l’on peut renverser cette
situation. Aucun, n’envisage une « réussite scolaire » en
mathématique, et pourtant !c’est une nécessité !!
Tout élève
doit, dans notre société , posséder un niveau de
culture général lui permettant de pouvoir choisir une activité professionnelle
en fonction de ses goûts et capacités.
Je ne pense
pas utopique qu’il soit possible de parvenir à 80% des enfants d’une classe
d’âge au niveau « bac » , il importe que l’on doit avoir une
nouvelle approche dans la formation de l’individu.
Avant :
Dans les L.P. nous nous satisfaisons d’amener les élèves au plus haut niveau
possible, en améliorant ou modifiant quelque peut notre pratique, par exemple
en prenant appui sur les nécessités et impératifs dans l’exercice du métier.
Nous nous en sortions : le but étant d’amener les élèves au
C.A.P. en leur expliquant que s’ils
n’avaient de bons résultats en enseignement général, l’enseignement
professionnel compensera cet
handicap.
Rares sont ceux qui arrivaient au niveau, ceux
qui l’obtenaient l’avait déjà avant de rentrer dans l’établissement, d’ailleurs
la note à l’examen (
CAP) dépassait rarement le 10 /20.
Une
nouvelle forme de délivrance du C.A.P.
Histoire
sur la pratique du C.C. et
l’individualisation de la délivrance du diplôme CAP en formation initiale.
L’introduction
du Contrôle Continu dans la délivrance du diplôme devait nous aider à améliorer ces
performances. Le contrôle continu devait permettre aux élèves les plus faibles
d’obtenir le niveau sur un minimum de
savoir faire, niveau minimum évalué par
le maître et « entériné » par
un jury réuni pour la cause en fin du
cycle de formation. (Ce qui posait des problèmes puisque le maître était juge
et parti)
Malheureusement,
les évaluations ponctuelles certificatives qui devaient être utilisées pour
« valider le niveau minimum »
ont été détournées, pour servir
d’évaluations en cours de formation.
Ainsi, ce
minima de savoir faire C.C. , participé à faire baiser
le niveau des élèves. Les objectifs du programme n’était
pas atteint, certaines leçons n’étaient pas traitées.
Pour chaque
élève , nous passions notre temps à évaluer et
réévaluer des savoir - faire minimum, qui
au cours de l’année réduisait
notre principale activité à gérer, et corriger des documents contenant un maximum d’exercices et tests, pour tenter de certifié le niveau.
Il était
devenu impossible de savoir où en été le niveau de l’élève et de la classe dans
ses apprentissages. Des informations « cours » été données au gré et
à la demande de l’élève.
Cette
pratique de « désorganisation » n’avait pas d’incidence grave, le
professeur ne jugeait la formation de
l’élève qu’à partir des épreuves que celui - ci avait passé. Le professeur constituait un dossier par élève. Ce dossier
étant communiqué au jury « extérieur à l’établissement » qu’à la demande de celui -ci
et parce que le professeur n’avait pas voulu donnait le « niveau » à son élève.
Autrement la décision du professeur était
entérinée, sans autre remise en cause.
Ainsi le
jury n’étudiait que les dossiers des
élèves à problème , faute de temps !!!
Ce faisant,
les élèves n’étaient pas dupes et n’axaient leur activité qu’autour des
évaluations diplômantes (ne contenant que des exercices de même niveau).C’est
ainsi que la fraude s’était institutionnalisée, les premiers élèves ayant passé
une première épreuve, se l’étant faite validée, communiqués les résultats aux
autres élèves. Des centaines d’exercices sur papier, ont été rédigées, sans
parvenir à améliorer les performances des élèves.
La
délivrance du CAP en C. C. est abandonnée !!!!
Par intérêt ou par manque de compétences on a confondu « suivi et formation
individualisée en Contrôle Continu » et « délivrance du diplôme CAP par unités capitalisable en Contrôle
Continu ».
Au lieu de
faire monter le niveau , celui n’a jamais progressé
par faute d’évaluation capable de
mesurer cette progression.
Ainsi,
quand il s’est s’agit de mettre en place un formation « bac prof »,
l’ensemble des collègues qui ont fait la confusion entre le
« tout - certification » et le « rien - formation » ;se sont aperçus que les meilleurs élèves ne possédaient pas le niveau minimal de culture mathématique
nécessaire pour appréhender le début du
programme imposé par les textes.
Par manque d ‘informations, et d’évaluations
formatives sur les savoirs à
capitaliser, les élèves ne se sont pas appropriés ces bases théoriques exigées
pour la poursuite d’étude.
La méthode
proclamée « motivante » , mais
infantilisante du C.C. parce que mal utilisé .
La
diffusion de l’information « cours » remis aux élèves sous la forme d ‘ informations
« semi - programmées » , forme
inadaptée à des élèves qui ont déjà des difficultés de lecture ( Il est impossible de compléter un cours « à
trou » avec des mots qui ne sont
pas communiqués ), cette information indigeste étant souvent accompagnée
d’un cours magistral adapté au niveau des élèves , à leur vocabulaire ( pour se
mettre à leur portée , pour que ça passe mieux comme dit un collègue ).
Cette
pratique, à réunie toutes les conditions pour « cultiver » et
« entretenir » l’échec scolaire,et par
conséquence , qu’il n’y aurait plus rien à faire pour ces élèves en
difficultés.
« Quelque
soit la méthode,ils n’arrivent à rien » disent la
plupart des collègues qui ont été impliqué dans ce C.C.
J’ai décidé
de ne plus revenir au système de formation traditionnel (exercices - cours
magistral - devoir ponctuel « noté pour la cause » et un peut d’aide et de soutien
éventuellement, a gré des moyens en heures attribués par le chef
d’établissement)
La
note est uniquement utilisée pour
conclure et pour confirmer que les
« bons sont bons », mais rares, les moyens ont la moyenne,
« peuvent faire mieux », et le majorité de « mauvais » sont
« mauvais »,ils le resteront, «ils sont
fainéants », « ils n’apprennent pas leur leçon ».
(Cher
collègue : soyons sincère ;
rare sont les professeurs qui font apprendre une leçon et qui vérifie si
celle - ci a été comprise et
apprise) alors que l’on sait pertinemment que ces savoirs « à
capitalisés » sont ou seront
définis comme étant des pré requis indispensables pour la compréhension
du cours suivant.)
Je décide
de reprendre l’intégralité des leçons du programme, d’analyser le contenu de
chaque chapitre, et d’accompagner chaque élève dans son développement tant au
niveau des savoir - faire à maîtriser
et des savoirs qu’il faut
nécessairement capitaliser.(ce travail se met en place en accord avec les élèves , je fais
comprendre que je vais interroger chaque
élève sur la leçon , que nous somme en formation et que les exercices ne sont
qu’une partie des exigences , je tente
de justifier qu’en math comme dans les
autres matières il y a des choses à savoir , à apprendre,…
De cette
démarche va émerger : l’évaluation formative comme outil fondamental de la
formation individualisée.
Quels seront LES BENEFICIAIRES :
(déjà vu : ils sont explicites et implicites)
Explicites pour :
-
ceux
qui entreprennent une formation.( élève , ou adulte)
-
les
parents.
-
L’institution.
-
Le
professeur.
Les
élèves (ou adultes en
formation)
On lui
garantit la réussite et on
lui assure que tout est fait pour qu’un minimum de facteurs extérieurs n’interviennent dans
son échec éventuel et pour cela :
Une
première « formation » à la méthode est indispensable, elle est
différente en durée, et dépend de celui qui va se former.
Il a la garantie qu il sera évalué
à leur « juste valeur » ( il possède
le contrat )
Les
premières « évaluations formatives » vont servir de support, elle
auront pour fonction d’apprendre
à :
-
auto
- évaluer son niveau de culture en mathématique.
-
Corriger,
si nécessaire ses erreurs.
-
Compléter
les manques
-
Savoir rechercher des informations manquantes, et
indispensables à la progression.
-
Correspondre
par l’écrit (maîtriser et comprendre)
-
Apprendre
à apprendre, et apprendre à s’auto -
évaluer.
-
Apprendre à
s’organiser dans la gestion du temps et de l’espace. ……
L’
élève , après avoir réussi , les
épreuves des premiers objectifs ,
devient conscient qu’il possède des « potentialités » qu’il peut développer
et qu’il peut les utiliser pour obtenir le niveau « scolaire » qui le défini comme
étant « bon élève et au niveau »
Les mises à
niveau systématiques et les rattrapages ( considérés
comme étant parties intégrantes de l’apprentissage et comptés comme tels ),
sont les garants d’un « bon niveau ».
Le passage
obligé de toutes les évaluations formatives de tous les objectifs de formation,
validées sans compromission sur les
exigences, permet à l’élève qui se forme
d’avoir la garanti qu’il possède la culture mathématique, qui lui
permettra d’envisager, avec plus de
sérénité, son avenir.
Les
parents : ( ou l’organisme
« financeur »)
Les
« parents » sont informés, en
continu et de façon permanente sur
l’évolution de leur enfant. Ils peuvent avoir l’assurance du suivi de la formation que tout est fait pour
permettre à leur enfant de réussir.
L’institution : (ou
l’organisme de formation)
La garantie
que tous les élèves sont évalués à leur « juste valeur », et que la
réussite n’est pas un vain mot.
Que la
formation dispensée est favorable à tous les usagés du système éducatif :
Cette
méthode responsabilise l’élève dans son
processus et sa prise en charge de sa formation. Elle rend « acteur »
l’élève et modifie son comportement. La
réussite positive et facilite les rapports
et les relations avec l’ensemble
du personnel éducatif et pédagogique .
Le
professeur :
Cette
méthode améliore, en qualité et en
efficacité, la pratique du professeur :
-
Il
gère, avec rigueur, et sans difficulté, l’hétérogénéité de sa classe.
-
Elle valorise son rôle de Pédagogue.
-
Elle lui permet d ‘intervenir efficacement, au
moment propice, puisqu’ après avoir suscité le besoin d’apprendre il
n’interviendra que sur sollicitation de l’élève.
Cette
méthode déclanche chez l’élève « le geste d’intentionnalité ».(lire : La Garanderie)
Les
bénéficiaires implicites :
Les
professeurs des autres matières qui ne peuvent envisager cette méthodologie,
mais qui profiterons des « méthodes de travail » acquises.
Mais
aussi : les acteurs économiques ;
la société , les employeurs et les employés.
1°)
constat : les métiers évoluent, se transforment, disparaissent, le
salarié se doit d’évoluer au risque de ne plus avoir
d’emploi.
2°) De plus
en plus de personnes doivent envisager une reconversion, ou une adaptation à un
nouveau poste de travail.
Ces formations ne peuvent avoir lieu que dans
le cadre d’un parcours personnel et individuel .
Ces
constats montrent bien que la formation en générale et professionnelle en
particulier est dépendante du contexte économique et qu’une mobilité ou une adaptabilité du salarié est indispensable pour conserver
ou avoir un emploi.
Le seul moyen de retrouver un emploi dépend dans
un premier temps du niveau de formation
que l’on possède et des capacités à pouvoir
et vouloir s’adapter.
La
formation individualisée, utilisant
l’évaluation formative , permet de répondre
immédiatement au demande de formation
,formulée par les employés , l’entreprise, les institutions , en garantissant
la faisabilité et la qualité de la formation sans en limité le niveau qui peut
être atteint.
5°) Passation de l’évaluation formative et interprétation
des résultats
(Voir « jugement de valeur » et interprétation,
et voir notre façon d’interpréter le
résultat)
L’évaluation
formative est un document qui comporte
deux parties ( contrôle et évaluation) , elle est
remise à l’élève en début d’apprentissage.
Elle joue
le rôle de « contrat » elle informe l’élève sur ce qui doit savoir
(et déclarer) et savoir faire (avec
plusieurs niveau de difficultés croissantes, et dont le premier niveau
correspond au minimum à réaliser et valider ). Cette évaluation va avoir plusieurs fonctions
dans la phase des apprentissages de l’individu. A chaque fonction , au vu des
performances atteintes, une analyse est faite , et une décision sera prise ,en concertation avec celui qui
veut se former.
Les
fonctions de l’évaluation formative :
1°)
L’évaluation est diagnostique.
Il se
teste, l’élève vérifie s’il possède les connaissances requises.
-
il
contrôle s’il sait répondre aux savoirs déclaratifs et procéduraux.
-
Il
teste ses compétences de mis e en œuvre de ces savoirs
, à travers les « savoirs - faire »Il vérifie son degré (ou niveau ) de compétence :
Niveau référentiel.
Niveau programme CAP.
Niveau entrée BEP / seconde
L’élève ,
à partir de ce qu’il pense savoir et savoir - faire , va définir une
stratégie :
-
se
satisfaire de ce qu’il sait et sait faire et attendre la date limite maximale
fixée pour passer cette épreuve sous forme d’un devoir sur table.
-
Il
doute de ses compétences et entreprend un travail de recherche personnel ou en groupe.
Après une
heure de travail, l’élève peut consulter le document « corrigé ». et ainsi comparer ses résultats et les attentes .
2°)
l’évaluation diagnostique devient évaluation d’ auto -
apprentissage .
l’élève
veut vérifier et compléter le contenu de son document rempli.
Décision
élève :
L’élève ,
sur la recherche de l’information manquante ou complémentaire ; peut , au
choix travailler :
a) à partir des cours que l’élève
possède des années antérieures.
b) A partir de livres,
c) A partir d’une leçon écrite.
d) A partir du CD ROM interactif.
e) A partir d’une fiche
« objectif- cours »
f)
Avec une aide personnalisée (
copain , surveillant , répétiteur , professeur,…)
Pour ce
travail de recherche, un délai de une semaine est accordé , l’élève pouvant
bénéficier d’un créneau horaire hors emploi du temps , pour interroger le
professeur.
Décision
professeur : la semaine écoulée une proposition de réponses est proposée à
la classe entière, cours magistral
centré sur les attentes du questionnaire.
Pour la
partie contrôle (
relatif au savoir) une négociation sur la rédaction de la réponse attendue est mise en place.
Concernant
la partie « évaluation des savoirs faire » ,
la façon dont sont obtenus les résultats
sont proposés à ceux qui le désire ( onse
focalisera sur la démarche , et la mise en œuvre des savoirs plus que l’exactitude
du résultat numérique)
Un cours magistral pourrait être donné à
l’ensemble de la population d’un même niveau en formation ,
des exercices peuvent être traités. Le nombre d’auditeurs n’a pas besoin d’être limité pour ce genre d’activité. !!
Troisième
temps dans l’apprentissage.
L’élève est
face à lui -même , il passe à la phase de maturation
de l’information. Après avoir compris l’information , il doit apprendre en prenant appuie sur les documents qu’il
possède et plus particulièrement en s’aidant des questions « contrôle et
évaluation » et des réponses obtenues.
Quatrième
temps : la semaine suivante, soit quinze jour après la remise du contrat)
L’évaluation
devient « évaluation sommative » :
L’élève
passe, à la date fixée, cette épreuve par écrit.(environ
1/2 heure )
La correction s’effectue aussitôt après. ( celle ci peut se faire en groupe, dans ce cas un élève
corrige une copie )
La décision
à prendre sera fonction des deux notes obtenues ( contrôle
/ évaluation)
a) Contrôle : les réponses « référentes » et
« référées » doivent se superposer. Par réponse bonne on
attribue un « A » , pour une réponse
incomplète un A- (moins), pour une réponse fausse « B ».
La note attendue est proche de 20/20.
Une note
est donc attribuée, le total des points informe l’élève sur sa performance à
restituer une information. La note
rentre dans le cadre d’un dialogue pédagogique elle informe sur la
différence entre la note obtenue et la note à obtenir.
Analyse :
quel est le «manque ou retard »
qu’il faut combler ?
Décision :
le niveau n’est pas atteint, un complément de formation s ‘impose, une renégociation , (à passer hors heure emploi du temps ,
pendant midi , ou lors d’un trou dans l’emploi du temps ) est proposée , cette
épreuve qui complétera la formation est indispensable.( le 20/20
obtenu en renégociation est comptabilisé pour le calcul d’une moyenne)
b) notation de l’évaluation du niveau obtenu dans les
savoirs faire/
le
résultat des performances est noté , la note planchée , autorisée , est de 10 /
10 au exigences définies par le référentiel. ( seule
cette partie fera l’objet d’un
rattrapage)
A cela
s’ajoute une note sur 10 qui correspond
aux difficultés qu’il faudrait dépasser, d’après le programme CAP ( ou textes officiels)
Un bonus
peut être accordé si l’élève a réussi l’ensemble des performances précédentes, et
s’il a réussit des exercices dont le
niveau est supérieur au CAP soit (BEP / seconde / première)
.
Autre
décision :
Si le
contrôle est validé (avec ou sans rattrapage) ,
l’évaluation des savoirs faire pourra faire
l’objet d’une renégociation.( ce travail supplémentaire , comptabilisé ,
s ‘effectuera sur la base du volontariat) .
Cinquième
temps : décision qui peut être prise en vu de donner un jugement
« noté » pour établir un bilan
trimestriel :
L’évaluation
formative devient évaluation normative.
Pour les
élèves qui le désire, ou ayant été absent , aura la
possibilité de renégocier tous les contrôles ou évaluations ,ce qui lui
permettra d’authentifier que le
niveau normatif est atteint .
Une moyenne
des notes est calculée pour chaque élève (avec l’obligation
d’avoir satisfait à un minimum de
devoirs, un « 0 » est attribué par devoir non passé, quelque soit la raison).
LES EFFETS PRODUITS PAR LE DISPOSITIF :
Qui
est : La pratique d’une formation individualisée par objectif
, avec un suivi personnalisé, et l’utilisation de « l’évaluation formative » pour
aider celui qui se forma dans ses apprentissages.
Ce dispositif à permis d’établir un dialogue
« individualisé » de grande qualité entre celui qui se forme et celui
qui a la charge de « former » des individus , tous différents.
La
formation qui s’appuie sur une pédagogie
par objectifs dont le contenu s’articule
dans un processus logico mathématique met en évidence l’importance de la
chronologie dans les apprentissages.
Elle garantit à celui qui se forme la
possibilité d’effectuer un remédiation de ses connaissances peu ou mal
acquises.
L’élève ou l’adulte devient conscient que ces échecs
passés peuvent être assimilés à un simple retard, un manque « accidentel,
circonstanciel » et que combler ce
« retard ou absence » engendre
la réussite.
Le premier discours sur la présentation de ce dispositif, ses
avantages et ses inconvénients créent
une forme d’euphorie chez l’élève.
Les élèves
sont alors persuadés qu’il est facile d’avoir le niveau.
En
substance :
Reprise à
zéro de la formation
Pas ou très
peu de cours au tableau.
L’élève
fait ce qu’il veut en cours , seule contrainte d’ordre disciplinaire , le
respect mutuel des gens et des biens, donc pas de bruit pertubateur
, pour cela , je conseille , pour ceux qui seraient tentés de parler , de venir
avec un lecteur audio individuel.
Il est
autorisé pour ceux qui le veulent de faire autre chose que des mathématiques.
Le suivi de
chaque élève est assuré, pour tout travail « minimal » il est exigé
pour tous , un devoir écrit d’une heure par
semaine.
La première
période de formation est une
suite de remédiations des connaissances sur les outils mathématiques qui
ont été abordées de la
sixième à la quatrième.
Pour éviter
toute fraude, tous les élèves prennent
connaissance de l’intégralité des questions et exercices qui peuvent
leur être demandés lors du devoir.
Leur seule
difficulté étant de trouver les réponses aux questions, les exercices étant le
prolongement dans l’application des savoirs.
Si l’élève ne trouve pas la réponse aux
questions posées, je peux lui remettre un document, dans lequel il est possible
de trouver ces réponses.
Si l’élève
ne trouve pas la réponse, il aura en dernier lieu le corrigé du contrôle et les résultats des exercices.
Conclusion,
l’élève peut passer l’épreuve sans crainte.
Si l’élève
échoue, celui-ci peut repasser le même devoir : même questions, même
exercices. (Sorte de renégociation).
Si l’élève est absent, celui-ci peut préparer
et passer le devoir, sans être pénalisé
par cette absence.
Si l’élève,
pour une raison ou une autre ne peut ou
ne veut passer le devoir, il rend une
page blanche, celui viendra la remplir dans la semaine.
Si l’élève
a des difficultés passagères ( ou non), si le nombre d’heures proposées à son
emploi du temps est insuffisant , il peut avoir d’autres heures à sa
disposition , réparties pour lui permettre de
choisir le moment qui lui convient le mieux , pendant un midi ou après
les cours . Si cela ne convient pas, toute discussion est possible pour trouver le moyen, l’heure
qui peut favoriser la réussite dans le devoir.
Seules
contraintes :
Les
remédiations ou renégociations ont lieu hors des heures « emploi du temps
élève », ces renégociation sont obligatoires.
Analyse des performances obtenues en utilisant ces
évaluations formatives et les limites de son efficacité:
Dans ces conditions, qui semble
optimales, on serait tenté de penser que
les résultats des élèves vont être exceptionnellement bons, ce n’est pas le cas
puisque la moyenne des moyennes des classes oscille entre 10,3 et 13,4.
Il faut
entre 15 jours et deux mois pour que le
premier objectif de formation soit
validé par tous les élèves en formation.
(la formation n’est pas interrompu pour autant ,les autres objectifs doivent se succéder à un rythme de un tous
les quinze jours en moyenne. (Voir toutes les semaines pour les objectifs les
plus simples).
Les
premiers objectifs à travailler sont relativement faciles et de niveau
accessible à tous. Le rattrapage est possible
sans prouesse excessive .On profitera
de cet avantage pour creuser les
raisons de ces difficultés « à réussir » et on centrera nos activités sur tout ce qui peut aider l’élève à s’organiser et apprendre , on
tentera d’ agir sur les paramètres qui
l’aideront à mieux se connaître , afin
de mieux progresser.
Ces
paramètres qui posent de réels problèmes à l’élève qui ne réussit pas et sur lesquels il faut agir sont :
-
Devoir
respecter les règles concernant la vie en collectivité .
-
Devoir venir en cours avec tout son matériel.
(feuilles, feuille de brouillon, calculatrice, règle, classeur,…) préparer son
sac !..
-
apprendre à gérer le temps et être prêt au jour du devoir
-
S’imposer
un rythme de travail.
-
Satisfaire
aux exigences et la rigueur dans
l’écriture
-
Vouloir
s’impliquer pour savoir et pouvoir.
-
Trouver
une méthode dans l’organisation et la gestion des documents et du suivi de sa
propre progression.
-
Trouver
une technique pour apprendre à apprendre.
C’est ce
qui ressort des observations qui peuvent
être invoquées pour justifier la non - réussite.
En
conclusion : Il faudra identifier
et agir sur ces paramètres si l’on veut aider
l’élève à se former et lui donner
la possibilité de progresser.