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« Former
-valider » mais pas
« former -certifier » . |
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Pour des
raisons de bon sen, d’impartialité et d’honnêteté intellectuelle, Le
formateur qui à en charge de former un individu n’ a pas le droit de le « certifier » . « Certifier» un individu n’est pas valider la qualité d’une formation
, « certifier » ce n’est pas
valider la qualité du travail
et du suivi de celui qui à la charge de le former. Dans une
formation « celui qui forme » et « celui qui se forme »
sont directement impliqués et
responsables dans la recherche de
la « réussite » en qualité
et en quantité. La réussite de l’un c’est la réussite de l’autre. En formation
, l’un doit s’approprier toutes les
compétences décrites dans un référentiel ; l’autre doit tout mettre en
œuvre , en terme de moyen, de suivi et
d’activités pédagogiques « individualisés » pour que ces
compétences soient intégralement acquises
et maîtriser. · Le passage de ces épreuves de certification doivent avoir lieu dans un
espace neutre . · La possibilité de se présenter à ces épreuves ponctuelles doivent se
faire avec l’aval et l’accord circonstancié du formateur qui
peut certifier , preuve à l’appui ,que la personne
qui se présente et apte à passer et réussir ces épreuves. « On ne
peut être à la fois « juge et partie prenante » » Ne pas
confondre : « CCF » :
Contrôle Certificatif en cours de Formation : ce contrôle consiste à faire passer des épreuves « certificatives » en cours de formation et qui si elles
sont réussies vont permettre
d’attribuer un diplôme ou des
Certificat . Ce diplôme devrait sanctionner une période effective de
formation. , complète et en qualité d’une formation. « CCFISI » :
Contrôle Continu en Formation
individualisée et Suivi Individualisé. DESCRIPTIF : Formations individualisables : Actuellement , les formations que j’ai rendues
« individualisables », en mathématiques
,concernent les : -
Toutes les mises à
niveau et remédiation pour les élèves de collège niveau BEPC et entrant en seconde, -
Préparations des CAP, B
E P. (niveau V) -
Mises à niveau pour entrée en
formation Bac Prof. -
Préparations de concours ou reconversion. (remise à niveau
VI ; V et IV), -
Préparations concours
IUFM et pour formation des Maîtres en IUFM. Les bénéficiaires implicites: J’ai la certitude que ce processus innovant et cette banque de données va intéresser : -
les responsables des organismes qui
financent des actions de formation et
qui veulent connaître les performances réalisées par ceux qui organisent les formations -
les responsables
des entreprises ou établissements de formation qui veulent garantir la
qualité de la formation et avoir un regard sur les activités des
formateurs et de ceux qui se forment ; -
les formateurs ou
professeurs qui vont pouvoir intervenir
efficacement dans leur activités pédagogiques .
(un didacticiel interactif permet de mettre en cohérence les objectifs visés,
les cours à traiter et les cours de rattrapage, et les situations d’évaluation ), et identifier et corriger les échecs . -
les personnes (élèves ou adultes) qui se forment et qui vont pouvoir disposer de tous les outils qui
vont les aider à « se former » et
« progresser » tout en étant
en situation de réussite. Les utilisateurs ou bénéficiaires potentiels de ce
contenu informatisé et interactif
pourraient être :
- Tous les élèves en
difficultés ou qui veulent progresser seul
à partir de la primaire. - Les collégiens qui
entrent au Lycée avec un déficit de connaissances (ou lacunes) et qu'ils
n'auront pas l 'occasion de combler s’ils
n’ont pas ce logiciel. - Les étudiants ou adultes qui doivent effectuer une remise en mémoire
de leurs connaissances de base. - Les formateurs ou professeurs qui doivent " homogénéiser" ou "remettre à niveau" ,de façon
individualisée (formation et suivi ) ,
un groupe de personnes ou une classe
d'élèves avant de
"démarrer" un nouveau cycle
de formation . - Les entreprises de formation qui cherchent des
outils pour effectuer le suivi de la formation , la formation et les
'évaluations destinés à l'accompagnement d' adultes qui doivent ou
veulent suivre une formation ,une mise ou remise à niveau (VI , V bis , V et IV ) ou autres
formations individualisées telles les : formations « coup de
pouce » ou autres formations non
diplômantes et préparant à des concours administratifs en lien avec
ces niveaux . - Il s'adresse, aussi ,à toutes les personnes qui ne peuvent pas ( pour cause d' handicap
moteur , auditif ;…milieu carcéral ;….)se joindre à un groupe
pour participer, dans un cadre donné ,
à un cycle de formation. - Il s'adresse à
ceux qui ne désirent plus "subir" une
formation traditionnelle (parce que ces personnes ont quitté le système
scolaire traditionnel en état d'échec et qui ne peuvent plus ou ne veulent
plus le réintégrer) . - Enfin Il s'adresse à
toutes les associations et les
personnes : parents , formateurs , artisans ayant
des apprentis ; qui veulent accompagner ,
suivre , guider , tester, contrôler et évaluer une personne en
formation., (par exemple: association d'aide ou de lutte contre l'échec scolaire ) Description d’un processus de formation qui va
« INDIVIDUALISER » POUR NE PAS EXCLURE OU ISOLER. « Individualiser » : -
C’est faire varier le
temps en formation ( s’arrêter plus longtemps sur un
cours , aller plus vite sur un autre) -
C’est faire varier la durée de la formation
(pouvoir se former et faire valider ses acquis en 6 mois ,
8 mois , un an , 2 ans ….) -
C’est proposer
différentes formes d’informations pour
se former -
Etc. ………… Ces démarches et stratégies
pédagogiques, sont appliquées en simultanée avec l’aide d’ un
logiciel que j’ai réussi à mettre au point et qui contient une banque données
interactives destinées à la formation , l’organisation et le suivi. Cette banque de données est elle même gérée par un didacticiel interactif. Le logiciel permet de : - D’ avoir des information pour « se former », à tout moment
, sans avoir besoin d’un « expert ». - Différencier le parcours de formation - Individualiser les stratégies d’aide - Adapter les outils
d’évaluation et de contrôle . - Personnaliser le suivi - Adapter les formes et les durées de formation dans les
apprentissages - Il permet de faire
fonctionner dans un établissement d’enseignement scolaire et professionnel
, pendant toute l’année , en continu
et à tout moment , un atelier de formation et de remédiation en mathématiques .Ce peut être
aussi un atelier de mise à niveau pour
combler des manques et des lacunes. - Il permet de garantir la qualité de la formation ,et
d’assurer l ‘ organisation et le suivi . - Il permet d’individualiser la formation en tenant
compte du niveau réel de celui qui se forme et de sa disponibilité. -
Il permet de différencier les lieux et les moyens
pour s’informer et s’auto former -
Il permet de distinguer l’espace
« informations » et le lieu destiné à évaluer le suivi dans la progression. - Il permet de valoriser
l’erreur,. En effet on va prendre l’erreur et s’en servir de tremplin pour
proposer des activités de rattrapage ou
pour combler des lacunes . Ce pourra être une
formation complémentaire de mise à niveau et
de remédiation . - Il permet d’utiliser la pédagogie du contrat - Il permet de tenir compte des
compétences de chaque individu , Il va aider à les développer en même temps que se
développe les capacités propres à
l’individu - Il permet de montrer qu’il a
nécessité de capitaliser des savoirs déclaratifs et acquérir des savoir faire pour
pouvoir posséder des
connaissances. - Il permet de donner une
chance réelle et œuvrer pour que
« tous et chacun » puissent
atteindre les mêmes objectifs terminaux » et « pouvoir
traiter l’intégralité du programme à son rythme » indépendamment du
rythme d’un groupe ou d’une classe. Pourquoi faut-il posséder
cette banque de données ?. Il faut une banque de données pour mettre en place l’individualisation
qui vise une formation centrée sur
l’acquisition et la validation des connaissances. Il faut une banque de données interactive pour Individualiser pendant toute la durée
d’une formation et pouvoir assurer
le suivi « individualisé »
pendant les apprentissages il faut une banque de données interactive gérée par un didacticiel
interactif pour pouvoir disposer
« instantanément » et « au bon moment » toutes les informations nécessaires à la
mise en œuvre cette pratique. Je possède cette banque de données interactives. En effet depuis plus de 15
ans je crée et « alimente »
en informations interactives une banque de données. Elle contient en
particulier toutes les informations indispensables à la formation (cours, évaluation, contrôle ;
corrigés, travaux d’auto formation et d’auto évaluation, tests
, retour en « arrière »,……. ) . Ces données couvrent toutes les mathématiques
enseignées en milieu scolaire , de la primaire
jusqu’à l’entrée en seconde (avec remédiation en seconde) ou de la primaire à
la formation CAP / BEP (entrée en bac prof) . C’est ainsi que l’on peut « entrer » en formation, à tout
moment, l’arrêter ou la reprendre à partir de
la leçon « non validée ». Exemple : On peut
à partir du programme C. A .P.
, accéder à toutes les leçons à traiter .Dans chaque chapitre de leçon, on peut en cas de
difficultés ou de lacunes , redescendre, par interactivité , par palier
successif , jusqu’aux notions abordées
en primaire et vice versa . On peut donc reprendre une formation
complémentaire de mise à niveau ou de remédiation si l’on est en situation de
blocage. Ainsi on peut
partir du programme BEP / CAP (niveau V) et redescendre pour chaque leçon sur
la leçon correspondante , de niveau immédiatement
inférieur « vu » en : 3e :4e :5e : 6e :CM2 :CM1:CE2:CE1 : CP . Inversement il
est possible de compéter une formation
sur un point précis d’un chapitre de leçon de niveau V de progresser seul sur
la partie de leçon correspondant du programme
CAP1:CAP2:BEP1:BEP2 ; ou:2e :……. La faisabilité et l’originalité
de cette démarche repose sur l’accès en ligne de toutes ces données interactives. Le logiciel contient un didacticiel : Ces données sont facilement accessibles parce qu’elles sont
gérées par un didacticiel,
lui - même, interactif. Cette seconde interactivité est destinée à
« diffuser » des informations de façon simple et rapide. Ce didacticiel interactif est
programmé de telle sorte qu’il va guider celui « qui forme » ou
« qui se forme » dans sa progression (ou retour en arrière ) sans être obligé de demander ou d’attendre l’aide d’un « expert ». Ainsi : on obtient instantanément, au moment qui
convient le mieux
, les informations « cours », les activités de remédiation ou de mise à niveau, les
travaux destinés à l’aide et le suivi individualisé et personnalisé. Une pratique innovante : Avec l’aide d’une banque de données sur informatique, il devient
possible d’organiser la durée de toute la formation
, de gérer différemment le
temps , le suivi et l’espace de
formation de chaque individu, d’ adapter la technique de diffusion de
l’information au nécessité de chacun. Ce qui signifie qu’un élève , un adulte , peut
tout en appartenant à un groupe
homogène ou hétérogène d’élèves ou d’adultes, étudier seul , hors
d’une salle de classe, gérer son temps dans l’apprentissage d’un cours,
s’auto évaluer . Cette méthode
d’individualisation permet de proposer à une personne, pour chaque leçon
étudiée des « parcours de formation
différents », des durées d’études ,pour chaque cours, adaptée à
l’individu , tout en gardant , pour
tous , la nécessité d’atteindre les
mêmes objectifs et le même niveau d’exigences définies par les
référentiels. A chaque leçon un contrat est remis , il
liste toutes les connaissances (savoirs et savoir - faire) qu’il faut
capitaliser et maîtriser pour obtenir
et valider le niveau. Le suivi est « individualisé » : Le suivi est individualisé .Pour chaque cours, pour chaque personne,
on mesure et valide le niveau de
connaissances acquises pendant et à la fin de chaque leçon. Ces travaux (devoirs obligatoires) sont de deux ordres : -
c’est un contrôle qui
porte sur la capitalisation des
savoirs déclaratifs , procéduraux ou non , à posséder (ces savoirs servent à détecter et évaluer le niveau
des capacités individuelles à
assimiler des connaissances ) . -
c’est une évaluation sur la maîtrise des savoir faire ; Exercices et situations problèmes en
lien avec ces savoirs. ces travaux mesurent le niveau et le degré de
compétences à mettre en œuvre ou transférer
« ces savoirs » . Valorisation de l’erreur : Ces devoirs sont passés
systématiquement, corrigés C’est à
partir de l’analyse des erreurs, Est ce un problème de
connaissances pré requises non acquises ou un problème organisationnel ?
, est ce un problème de temps ou de disponibilité
ou de santé ,…. ?Alors ,
on pourra prendre les décisions
suivantes : -
faire passer un devoir de rattrapage (si il
manque de temps pour apprendre à la date négociée) -
donner une formation
complémentaire pour une « mise à niveau » -
proposer une activité de
remédiation personnalisée pour combler des lacunes. -
Ce peut être aussi la
nécessité un proposer un complément de formation qui
va pouvoir palier aux problèmes organisationnels
(gestion de son temps ) ou méthodologiques (
comme , par exemple « savoir
apprendre à apprendre ») Ces autres travaux de « formations » et de
« mesure »
, prévus par la méthode
sont indispensables et
nécessaires , elles s’intègrent dans un processus de formation
individuelle et s’ajoute
« normalement » à la
formation initialement prévue dans un programme. (les documents sont
disponibles pour répondre à chaque cas). A chacun son rythme : Cette organisation et toutes les informations pédagogiques contenues
dans une banque de données interactives
vont permettre de différencier les parcours de formation
. Puisqu’il n’y a pas de
contrainte « calendaire » il est possible de traiter
« effectivement »
l’intégralité du programme. Il devient possible de penser que chaque
élève ou adulte pourra atteindre le niveau à la fin de chaque cycle de
formation. On peut mettre moins de temps que prévu pour se former. Il est possible d’aller au delà du niveau visé
et de faire valider tous les acquis. Il devient possible de stopper la formation et de la reprendre à tout
moment, sans mettre en cause la qualité de la formation ,
il devient possible de se former sans être tributaire d’un calendrier ou de
la disponibilité d’un formateur . En conclusion : Il m’est difficile de résumer plus de 20 ans de travail en recherche action, d’études en Science de l’Education, d’analyse des
situations d’échec, de réflexion en
vue de trouver des solutions pour aider celui qui se forme , de recherche
de moyens et méthodes qui vont permettre à chaque personne (élève ou
adulte) de progresser en mathématiques
. Je me permettrai de conclure
par ces quelques réflexions : Pour apprendre il faut du temps
et il faut savoir donner du
temps au temps pour apprendre. Mon logiciel et la façon
« de se former » que je propose
n’ a rien de ludique . La réussite dans un
devoir est un facteur
déclenchant et l ‘envie
d’apprendre vient lorsque l’on commence à réussir. Je l’ai mainte fois
constaté avec mes élèves et autres adultes en situation
d’apprentissage. « Apprendre » s’apprend, et c’ est
un travail « individuel et
personnel ». C’est une activité difficile qui demande un apprentissage spécifique et
des mises en situations continuelles d’auto évaluation .Ce logiciel va aider celui qui se forme à trouver sa propre méthode pour apprendre. La méthode que je propose s’ oppose en pratique à tout abaissement du niveau, et à toute forme de vulgarisation. Dans le processus que je propose tout est fait pour que l’on ne puisse
pas transiger sur la nécessité d’apprendre .Il montre, continuellement, que ce qui n’est pas appris « ce jour » va être source de
blocage et d’échec , parce que ces connaissances sont
exigées pour progresser
« demain » . Je peut
prétendre, parce que je l’ai mainte fois constaté ,
que l’échec scolaire est l’échec d’une forme de pratique qui tant à exclure .
L’échec scolaire c’est aussi parce
que « celui qui sait » (le maître)
transige sur les exigences
avec « celui qui ne sait pas » (l’élève). |
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