I) LES
BENEFICIAIRES « implicites » :
Les bénéficiaires implicites sont les acteurs économiques, la société, les employeurs et les employés
ou l’organisme « financeur ».
L’ Education Nationale .
1°) constats :
- les métiers évoluent, se transforment,
disparaissent, le salarié se doit d’évoluer au risque de ne plus avoir
d’emploi.
- De plus en plus de personnes doivent
envisager une reconversion, ou une adaptation à un nouveau poste de travail.
- Ces formations ne peuvent avoir lieu que
dans le cadre d’un parcours personnel
et individuel .
Ces constats
montrent bien que la formation en générale et professionnelle en particulier
est dépendante du contexte économique
et qu’une mobilité ou une adaptabilité
du salarié est indispensable pour conserver ou avoir un emploi.
Le seul moyen de retrouver un emploi dépend
dans un premier temps du niveau de
formation que l’on possède et des
capacités à pouvoir et vouloir s’adapter.
La formation
individualisée, permet de répondre
immédiatement au demande de formation ,formulée par les employés , l’entreprise, les
institutions , en garantissant la faisabilité et la qualité de la formation
sans en limité le niveau qui peut être atteint.
LES BENEFICIAIRES : (explicites)
Les
bénéficiaires de la mise en place du processus de formation
individualisée et de la pratique du
suivi individualisé sont :
-
L’
élève , ou l’adulte ; tous ceux qui entreprennent
une formation et tout ceux qui pour une raison ou
une autre sont dans l’incapacité d’intégrer une « classe ».
-
Les parents.
-
L’institution
ou l’organisme de formation.
-
Le
professeur ou formateur
.
-
et indirectement :Les professeurs des autres matières qui ne peuvent ou ne veulent envisager cette méthodologie,
mais qui profiterons des « méthodes de travail » acquises.
· Les élèves (ou adultes en formation)
· On garantit à l’élève la réussite ; et on
lui assure que tout est fait pour qu’un minimum de facteurs extérieurs
ne perturbe sa progression :
· « Apprendre
à apprendre » :
Une première « formation » à la méthode est
indispensable, la durée de cette
formation est variable , et dépend de celui qui va se former.
En début
d’entrée en formation : les premiers « travaux formatifs »
vont servir de support, ils auront
pour fonction d’apprendre à apprendre , c’est à dire:
-
auto - évaluer son niveau de culture en
mathématique.
-
Corriger, si nécessaire ses erreurs.
-
Compléter les manques
-
Savoir
rechercher des informations manquantes, et indispensables à la
progression.
-
Correspondre par l’écrit (maîtriser et comprendre)
-
Apprendre à apprendre, et apprendre à s’auto - évaluer.
-
Apprendre
à s’organiser dans la gestion
du temps et de l’espace. ……
· Il
a la garantie que tous les
travaux demandés ,ne
sont validés que lorsque ceux sont réussis………………
Suite à ce
travail de pré formation : L’ élève , après
avoir réussi , les épreuves des
premiers objectifs , devient conscient qu’il possède des
« potentialités » qu’il peut développer et qu’il peut les utiliser
pour obtenir le niveau
« scolaire » qui le défini comme étant « bon
élève et au niveau »
*Les mises à
niveau systématiques et les rattrapages ( considérés
comme étant parties intégrantes de l’apprentissage et comptés comme tels ),
sont les garants d’un « bon niveau ».
·
Les
parents :
Les
« parents » sont informés,
en continu ; des progrès
de leur enfant. (dans tous les cas : il n’y a ni retard , ni échec …)
L’institution : (ou
l’organisme de formation)
La garantie que tous les
élèves sont en situation de réussite..
Cette méthode responsabilise
l’élève dans son processus et
sa prise en charge de sa formation.
Elle rend « acteur » l’élève et
modifie son comportement. La réussite
positive et facilite les
rapports et les relations avec l’ensemble du personnel éducatif
et pédagogique .
·
Le
professeur :
Cette
méthode améliore, en qualité et en
efficacité, la pratique du professeur :
-
Il gère, avec rigueur, et sans
difficulté, l’hétérogénéité de sa classe. Le suivi individualisé permet de savoir ce que chaque élève a appris et retenu ( ce
qu’il sait) et mesurer ce qu’il sait faire de ce qu’il a appris (
l’élève doit réussir des exercices ou
situations problèmes en lien avec le niveau de compétences qu’il doit
atteindre obtenir pour valider ce niveau
).
-
Les erreurs
« constatées » vont permettre au professeur d ‘intervenir efficacement, au moment
propice, il pourra donner une activité
de remédiation appropriée , afin que l’élève corrige
ses erreurs .
-
Tous les travaux sont notés , le
travail de rattrapage est aussi noté ,
on recherche l’obtention de la note maximale ( 20/20) (l’élève est toujours
d’accord pour fournir un effort , surtout si la note de rattrapage est
intégrée dans sa moyenne .
L’objectif global
: Développer chez l’élève l’envie
d’apprendre et de réussir .
On peut
parler de méthode qui déclanche chez
l’élève « le geste d’intentionnalité ».(lire :
La Garanderie)
A
LIRE : Ce sont des arguments pour comprendre le bien fondé à
posséder ce travail ( produit informatique et
méthode) .
Ce sont des
critiques , des constats , mais aussi des solutions.
L’échec scolaire est l’échec d’une « certaine » pratique
éducative.
La réussite
scolaire est la réussite d’une « certaine » pratique éducative.
Ce logiciel libre a pour prétention de fournir les
informations et les outils qui vont
permettre de :
-
Mettre en situation de réussite scolaire tous les élèves ou adultes.
- De
donner la possibilité de réussir scolairement.
- De garantir la réussite.
Ce logiciel
libre a pour but de
« recadrer » voir « recentrer » les activités des
professeurs ou formateurs.
« former
ce n’est pas …….» :
-
Cela ne se limite pas à chercher
des méthodes pour faire passer de l’information.
« à quand la bonne information au bon
moment ?»
« Juger
un élève sur sa quantité et sa qualité de travail ce n’est pas …….. »
-
Ce n’est pas « contrôler » parce qu’il
faut une note pour le trimestre .
-
Ce n’est pas chercher à montrer que l’ élève
a ou n’a pas travaillé et pour cela lui attribuer au devoir une note qui va
permettre de conclure qu’il « a le niveau » ou « n’a pas le
niveau », avec en complément la
culpabilisante phrase « n’append pas ses leçons » alors que jamais ou rarement
il est vérifié si l’élève a apprit .
-
Il y a beaucoup à dire sur
ce jugement « n’apprend pas sa
leçon » et sur le rôle que l’on
fait jouer à la note (On serait bien surpris si l’on cherchait à connaître le pourquoi et les raisons des échecs
constatés).
-
Ce n’est pas donner un seul
devoir « pour voir » qui
peut permettre « un jugement ; un avis ; des préjugés ».
Faire de la pédagogie de la réussite c’est :
· Donner
des travaux formatifs qui porteront sur ce qu’il faut retenir ;
· Des
travaux formatifs qui porterons sur ce qu’il faut savoir et savoir - faire pour être « un bon élève » , pour savoir ce qu’il faudrait connaître pour avoir le
niveau ».
· Des
travaux formatifs qui serviront de
point de départ à une autre activité formative pour compléter et terminer un apprentissage .
Quand utilisera - t on les erreurs
pour parfaire les apprentissages ? :
Quand
utilisera – t- on
les corrections et les corrigés pour aider l’élève à travailler ,
à continuer ses efforts , à le faire
progresser pour qu’il puisse atteindre le niveau dans chaque leçon qu’on lui
demande d’étudier . ?
A la fin de
chaque cours, et plus encore , à la fin de chaque
cycle de formation un individu doit
avoir acquis et fait validé un capital de savoirs et savoirs - faire .
Ces
connaissances doivent être communes à
tous les élèves et doivent être acquises .
Souvenons
nous
que , « par exemple » les
savoirs à acquérir , les
savoirs faire à réussir en niveau
V servent de pré requis en niveau IV ( bac prof.
Aussi pour
un professeur :
· Enseigner
c’est transmettre des connaissances et mesurer au quotidien si il y a
progression ou pas .
· Transmettre
c’est donner la bonne information, pour faire atteindre un objectif. C’est
transmettre des connaissances à celui qui ne les possèdent
pas encore.
Cette nouvelle information prend appui sur des
savoirs et savoirs faire pré requis (état initial) en vu de
capitaliser d’autres savoirs et autre savoirs faire ( état
final) . Il est nécessaire de savoir
mesurer la différence entre l’état initial et l’état final, pour chaque
nouvel objectif à atteindre ou
« comportement » prévu . Cette mesure ( possible à
partir d’un devoir écrit ) doit permettre de mesurer si l’objectif est atteint et d’ analyser
pourquoi cet écart n’est pas entièrement réduit . (pourquoi cette
erreur ?, et comment faire pour qu’elle ne se reproduise pas ? )
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