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ENVIRONNEMENT
du dossier:
TEST |
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COURS
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Construction d’une alilade |
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On peut construire une alilade avec une réglette plate de 15 à 20 cm de
long , sur laquelle on plante deux pointes fines
sans tête faisant office de pinnules . La planchette est munie d’une flèche . |
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Construction d’un goniomètre |
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Cette alilade est montée sur une axe vertical ,
planter au centre d’un rapporteur circulaire
(horizontal) de 20 cm de diamètre . Nous avons obtenu un cercle gradué horizontal appelé
« goniomètre » , précis au demi
degré ; |
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Construction d’un niveau gradué |
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Fixons , sur
la face verticale d’une planchette assez épaisse placée sur champ un rapporteur
muni d’un petit fil à plomb issu de son centre . On a obtenu un niveau gradué , permettant de
mesurer une inclinaison donnée . On
pourra évider le pourtour du rapporteur pour donner toute liberté au fil à plomb . |
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Un rapporteur analogue , fixé sur la face
verticale d’une réglette mobile autour d’un axe horizontal avec deux pinnules
plantées sur les divisions 0 et 180° ,
constitue un demi- cercle gradué vertical permettant de mesurer la hauteur
angulaire du point visé à l’aide des pinnules . |
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Prévoir la fixation , à l’ aide d’un étrier
vissé , à l’extrémité de deux ou plusieurs épaisseurs de verre ou plexiglas
fumé pour mesurer la hauteur angulaire du soleil . |
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Les
cercles gradués horizontal et vertical pourront être perfectionné à l’aide
d’un tube de visée muni d’un œilleton
central de 1 mm de diamètre à une extrémité et d’une réticule formé de deux
fils fins rectangulaires tendus à l’autre extrémité .En combinant les deux
appareils on peut réaliser un théodolite que l’on pourra rendre orientable
autour d’un pied vertical
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Description : Le goniomètre est une équerre
–graphomètre divisée |
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L’équerre
d’arpenteur est
un instrument en cuivre ayant la forme d’un prisme droit octogonal de 7 à 8
centimètres de hauteur , qui set à élever des perpendiculaires
sur le terrain et à tracer des alignements . L’équerre est percée de 8 traits de scie formant des fentes ou pinnules placées à 45 degrés l’une de l’autre . L’équerre est portée sur un
pied « L » d’environ
60 centimètres de longueur ; une des extrémités du pied s’adapte à
l’instrument par le moyen d’une douille « M » placée au centre . ( pied : pieu
cylindrique ) Avant de servir d’ une équerre , il est
important d la vérifier . Pour cela , on place deux
jalons dans l’alignement de deux rayons visuels donnés par les
pinnules ; on fait planter deux autres jalons perpendiculairement
aux deux premiers en visant par les
pinnules à angles droits ; ensuite , sans déplacer l’équerre , on lui fait faire un
quart de tour et on vise de nouveau les quatre jalons . Si on les aperçois
comme précédemment , l’équerre est juste ; dans le
cas contraire , elle est fausse . |
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Graphomètre : |
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Il sert à mesurer des angles sur le terrain. Le graphomètre est un demi-cercle « A » en cuivre , divisé en 180° . Ce demi- cercle se nomme le « limbe »
du graphomètre. Au centre « B », il y a un pivot autour duquel
tourne deux règles . D et D appelées « alidades » . Chaque alilade est
munie à ses extrémités d’une lame de cuivre qui s’élève perpendiculairement
sur l’ alilade . Ces lames sont percées d’une
fenêtre appelée « pinnule », à travers laquelle
passe , dans le sens de la hauteur , un fil très fin
. |
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L’une « C » de
ces alidades est fixée invariablement au limbe du graphomètre , et prend le nom d’ alidade fixe ; la
direction de ses fils coïncide avec le diamètre du limbe ; la ligne
donnée par la direction du diamètre du limbe et de l’alidade fixe se nomme ligne de foi .L’autre
alidade « D » , qui est mobile , se meut autour du pivot
« B » et prend le nom « d’ alidade mobile ».Ces deux
alidades , l’une fixe et l’autre mobile , peuvent prendre la direction de
deux lignes jalonnées , et , en mesurant sur le limbe l’écartement des deux
règles , on reconnaît l’écartement des deux lignes jalonnées , c’est à dire
l’angle donné par ces lignes . Le graphomètre s’adapte au moyen d’une douille « G » posée
sur un trépied à branches M,N ,O terminées par des
pointes de fer et mobiles autour de leur origine commune , de telle sorte
qu’on peut placer l’instrument dans une position quelconque et à une hauteur
convenable . La douille est surmontée
d’un genou « H » fixé sous le centre du limbe .
Ce genou est composé d’une tige « H » sphérique ,
de deux mâchoires « I » , entre lesquelles la boule est engagée ,
et d’une vis « J » , qui permet d’écarter les mâchoires . |
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Planchette
et alilade : |
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La planchette se compose d’une table rectangulaire « A » , fixée avec des vis sur un châssis en cuivre ou en fer
. Ce châssis est soutenu comme un graphomètre
par un genou sphérique « D » , avec
une douille « E » pour recevoir un trépied « B ». L’alidade ,
dont on se sert pour lever un plan à la planchette ,se compose d’une règle
plate « C » , terminée à
chaque bout par deux montants « H » perpendiculaires. Chaque
montant est percé d’une pinnule « I » . Le
milieu « J » de la règle est percé d’un trou circulaire destiné à
recevoir un pivot , que l’on enfonce dans la
planchette. |
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Pour
prendre des alignements , on peut , au lieu de
l’alidade ci dessus , se servir d’une simple règle
épaisse , que l’on place de champ sur la planchette . Rien de plus simple que
cet instrument , et aucun ne présente autant de
facilité pour tracer sur le papier un
angle égal à un angle donné sur le terrain . |
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