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   Pas de « méta savoir » sans « métacognition »     ( pour
  l’appropriation des connaissances). Pas de méta savoir sans didactique. ( pour donner du sens logico -mathématique à la
  construction du savoir).  | 
  
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   La
  métacognition ou :  « apprendre à conduire
  consciemment sa pensée »  | 
  
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                             Faire de la
  métacognition c’est   éprouver le
  besoin d’ « analyser et réfléchir sur la démarche cognitive »  
  et la « capacité de mettre en œuvre consciemment un raisonnement » Ce qui implique :  1°) 
  première étape : la prise de conscience  par l’enseignant d’une structure du savoir
  et de son élaboration afin de guider l ‘élève par l’acte pédagogique
  dans la construction de son savoir.   (
  l’élève est - au mieux- imprégné par les démarches qui lui permettent
  d’acquérir des connaissances au niveau de l’abstraction et de la
  généralisation mais ne saurait les dégager seul pour une utilisation
  autonome.) 2°) Deuxième étape :        L’ acte
  pédagogique appelé :       métacognition. Conduire les élèves à prendre
  conscience des « méthodes de pensée » qui leur permettent
  effectivement de réussir pour qu’ils puissent 
  les mobiliser volontairement 
  dans une situation d’apprentissage ultérieur. Avant 
  de débuter le programme de la formation diplômante. Il est nécessaire
  de travailler sur des activités de métacognition. Ces activités vont permettre d’aider
  chacun a se découvrir, à
  se connaître. A s’approprier de nouveaux concepts
  ou redéfinir  des concepts mal perçus
  ou à peine esquissés ou   abordés.  Ces activités auront l’intérêt d’ homogénéiser le groupe classe . Et donc de partir sur
  les mêmes bases , avec les mêmes chances pour
  réussir.  La méthode utilisée à
  pour but de donner ou faire acquérir des méthodes dans l’organisation de
  l’espace et le temps, ainsi qu’ à faire acquérir ou
  faire découvrir des méthodes pour l’auto apprentissage (par l’utilisation d’
  activités auto formatives ) , et pour aider celui qui se forme à s’approprier
  une méthode pour apprendre à apprendre.  | 
  
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   REUSSITE
  SCOLAIRE  ou une NON REUSSITE   SCOLAIRE (qui va conduire à l’ECHEC
  SCOLAIRE d’un élève en formation)  | 
  
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   Chercher
  à faire réussir un élève oblige le maître à s’interroger avant d’interroger
  l’élève. Il est
  plus difficile de Réfléchir sur « la 
  comment mettre en situation de 
  réussite scolaire »  d’un
  élève  que de s’interroger sur  l’échec scolaire de cet élève. L’un pose le problème du
  « remède » , l’autre pose le problème du
  constat. Le maître
  doit faire passer un ensemble de connaissances ,
  dont le niveau de performance est décrit dans un référentiel : Dans la
  pratique : Le problème pour le formateur ne se pose pas pareil lorsqu’il
  donne un devoir noté et dans son interprétation de la note
   : On analyse
  une performance « notée » :  a)  l’élève à 10 / 20 : on reporte la note , on passe au cours suivant ,  est - ce un bon élève ?  il sait ?  b ) l ‘élève
  à 10/20 : pourquoi lui manque - t- 
  il  « 10
  points » ? est ce handicapant  de le laisser avec ses manques ?   | 
  
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   Relation entre : META SAVOIR   - 
  METACOGNITION - DIDACTIQUE-  | 
  
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   Attention , à l’utilisation de ces mots ; Le scientisme dans ce domaine , rend service à ceux qui  cataloguent les élèves.    Le méta
  savoir :  Capitaliser
  des savoirs déclaratifs  « objet »  et des
  savoirs faire  ne suffissent pas . Il est
  nécessaire de capitaliser des savoirs
  procéduraux qui vont donner du sens et mettre en lien les savoirs objets . Chaque
  spécialité (matière) a  la  charge  
  de transmette des savoirs ( et les
  capitaliser ) et des savoirs faire ( mettre en œuvre dans des applications
  ces savoirs) , il est nécessaire de s ‘interroger sur la transférabilité
  de ces acquis. Par delà
  chaque matière, la maîtrise de ces savoirs exige  encore que l’apprenant  donne une signification aux savoirs
  « élaborés » , pour parfaire un
  apprentissage , il importe que ce dernier en prenne conscience. Pas de méta savoir sans
  métacognition  ( pour l’appropriation des
  connaissances); Pas de méta savoir sans
  didactique. ( pour donner du sens logico
  -mathématique à la construction du savoir)  | 
  
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  On fait appelle au la métacognition pour « acquérir des
  savoirs ». Le
  maître ne sait pas comment fonctionne l’élève :  Métacognition :
  acquisition des  concepts et des
  notions ,sur lesquels prend appui la construction  cognitive « du savoir élaboré »
  .(la métacognition  est une activité
  qui va aider  à  chercher à comprendre par soit même ,  pour soit même, pour se connaître , pour
  savoir comment on parvient a capitaliser et
  maîtriser des savoirs et des savoirs faire ). 
  De  l’idée  que l’on se fait de ce concept ( exemple
  « table » ) et des 
  mécanismes qui fait que l’on comprend , mémorise ,(métacognition
  ou  savoir apprendre à apprendre )  pour ensuite « réfléchir » ( mise
  en lien logique des savoirs ». On fait appelle
  à  des caractéristiques   , « visuelles » ,
  « auditives » , , « kinesthésiques »,
  « olfactives » , « gustatives »  …….pour «qu’ individuellement »
  ,dont on a conscience qu’elles existent. Le
  maître sait comment est construit ce savoir ,
  comment  il est appliqué : Ce  méta savoir : c’est aussi une science.
  Ce méta savoir , il va donner du sens , une
  signification au savoir élaboré. Le méta savoir prendre appui sur la didactique . C’est la mise en évidence d’une construction
  logico mathématique du savoir .   La didactique permet de mettre en évidence
  qu’il existe toujours « un pré requis » ou  une forme d’antériorité  , à chaque fois que l’on mettre en
  œuvre ou exercer un geste 
  « mental » ou « manuel ».     | 
  
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