google.com, pub-1129869842108177, DIRECT, f08c47fec0942fa0 2010- prog Bac prof_ classe terminale

Baccalauréats professionnels  WARMATHS  2010    mise  en lien début 2010

 

Bac. Pro.  3 ans

 

- Mathématiques -

Programme de mathématiques de la classe de terminale professionnelle page 17

 

1. STATISTIQUE ET PROBABILITÉS

1.1 Statistique à deux variables (groupements A, B et C)

L’objectif de ce module est d’étudier un lien éventuel entre deux caractères d’une même population et, lorsqu’il est pertinent, de déterminer une équation de

droite d’ajustement pour interpoler ou extrapoler. Cette étude est à relier aux travaux pratiques de sciences physiques (caractéristiques d’un dipôle linéaire,

détermination expérimentale de l’indice de réfraction d’un milieu transparent...) et aux domaines professionnels.

Capacités Connaissances Commentaires

Représenter à l’aide des TICE un nuage de points.

Déterminer le point moyen.

Série statistique quantitative à deux variables :  nuage de points, point moyen.

Le point moyen a pour coordonnées ( x , y ).

Déterminer, à l’aide des TICE, une équation de droite qui exprime de façon approchée une relation entre les ordonnées et les abscisses des points du nuage.

Utiliser cette équation pour interpoler ou extrapoler.

Ajustement affine.

L’ajustement est réalisé à partir de l’équation affichée par une calculatrice ou un tableurgrapheur, sans explication des calculs.

La méthode d’obtention de cette équation (méthode des moindres carrés) par les instruments de calcul n’est pas au programme.

Constater graphiquement que la droite obtenue passe par le point moyen.

Le coefficient de corrélation linéaire n’est pas au programme.

Selon les besoins, aborder des exemples d’ajustements non affines fournis par le tableur.

1.2 Probabilités (groupements A, B et C)

L’objectif de ce module est d’entraîner les élèves à décrire quelques expériences aléatoires simples à mettre en oeuvre, et à calculer des probabilités. Tout développement théorique est exclu. La notion de probabilité est introduite en s’appuyant sur l’observation de la fluctuation d’échantillonnage d’une fréquence et sur la relative stabilité de cette fréquence lorsque l’expérience est répétée un grand nombre de fois. Les études menées s’appuient sur des exemples simples issus du domaine technologique ou de la vie courante. Les capacités figurant au programme de première professionnelle, concernant la fluctuation d'échantillonnage, restent exigibles.

Capacités Connaissances Commentaires

Passer du langage probabiliste au langage courant et réciproquement.

Expérience aléatoire, événement élémentaire, univers, événement.

Réunion et intersection d’événements.

Événements incompatibles, événements contraires.

Se limiter au cas où l’ensemble des événements élémentaires est fini.

La connaissance des symboles È (réunion), Ç  (intersection) et la notation A (événement contraire) est exigible.

Calculer la probabilité d’un événement par addition des probabilités d’événements élémentaires.

Reconnaître et réinvestir des situations de probabilités issues d’expériences aléatoires connues : tirages aléatoires avec ou sans remise,  urnes.

Calculer la probabilité d’un événement contraire A .

Calculer la probabilité de la réunion d’événements incompatibles.

Utiliser la formule reliant la probabilité de AÈB et de AÇB.

Probabilité d’un événement.

Événements élémentaires équiprobables.

Événements élémentaires non équiprobables.

Faire le lien avec les propriétés des fréquences.

Les tirages simultanés sont exclus.

Entraîner les élèves à utiliser à bon escient des représentations pertinentes (arbres, tableaux, diagrammes) pour organiser et dénombrer des données relatives à une expérience aléatoire. Ces représentations constituent une preuve.

Toute utilisation de formules d’arrangement ou de combinaison est hors programme.

La généralisation à des cas où les événements élémentaires ne sont pas équiprobables se fait à partir d’exemples simples.

La notion d’indépendance est hors programme.

Consultation sur les nouveaux programmes du baccalauréat professionnel - mathématiques 18/ 25

2. ALGÈBRE – ANALYSE

2.1 Suites numériques 2 (groupements A, B et C)

L’objectif de ce module est de renforcer les notions vues en première professionnelle et d’entraîner les élèves à résoudre un problème concret, issu du domaine professionnel ou de la vie courante, dont la situation est modélisée par une suite numérique. On accorde ici une place importante aux séries chronologiques. En fin d’étude, l’enseignant propose la lecture critique de documents commentant l'évolution de certains phénomènes.

Capacités Connaissances Commentaires

Appliquer les formules donnant le terme de rang n en fonction du premier terme et de la raison de la suite.

Expression du terme de rang n d’une suite arithmétique.

Expression du terme de rang n d’une suite géométrique.

Dans les énoncés de problèmes ou d’exercices,

les formules sont à choisir dans un formulaire donné en annexe.

Pour les sections du groupement C, les exemples traités peuvent porter sur les thèmes suivants :

- intérêts composés : capital, intérêts, valeur acquise ;

- capitalisation et amortissement : annuités, valeur acquise, valeur actuelle ;

- emprunt indivis : annuités, intérêts,

tableau d’amortissement.

La formule de la somme des n premiers termes d'une suite arithmétique ou géométrique est donnée si nécessaire.

2.2 Fonction dérivée et étude des variations d’une fonction (groupements A, B et C)

L’objectif de ce module est d’étudier les variations de fonctions dérivables afin de résoudre des problèmes issus des sciences, du domaine professionnel ou de la vie courante.

Capacités Connaissances Commentaires

Utiliser les formules et les règles de dérivation pour déterminer la dérivée d’une fonction.

Fonction dérivée d’une fonction dérivable sur un intervalle I.

Fonctions dérivées des fonctions de référence

x

a a x + b (a et b réels), x

a x2, x

a

1

x ,

x

a x et x

a x3.

Notation f '(x).

Dérivée du produit d’une fonction par une constante, de la somme de deux fonctions.

Étant donnée une fonction f dérivable sur un intervalle I, la fonction qui à tout nombre x de I associe le nombre dérivé de la fonction f en x est appelée fonction dérivée de la fonction f sur I et est notée f ’.

Dans les énoncés de problèmes ou d’exercices, les formules, admises, sont à choisir dans un formulaire spécifique donné en annexe.

Appliquer ces formules à des exemples ne nécessitant aucune virtuosité de calcul.

Les formules sont progressivement mises en oeuvre pour déterminer les dérivées de fonctions polynômes de degré inférieur ou égal à 3.

Étudier, sur un intervalle donné, les variations d’une fonction à partir du calcul et de l’étude du signe de sa dérivée. Dresser son tableau de  variation.

Déterminer un extremum d’une fonction sur un intervalle donné à partir de son sens de variation.

Théorème liant, sur un intervalle, le signe de la dérivée d’une fonction au sens de variation de cette fonction.

Les théorèmes liant le sens de variation d’une fonction et le signe de sa dérivée sont admis.

Le tableau de variation est un outil d’analyse, de réflexion voire de preuve.

Constater, à l’aide de la fonction cube, que le seul fait que sa dérivée s’annule ne suffit pas pour conclure qu’une fonction possède un extremum.

Consultation sur les nouveaux programmes du baccalauréat professionnel - mathématiques 19/ 25

2.3 Fonctions exponentielles et logarithme décimal (groupement C)

L'objectif de ce module est de découvrir les fonctions exponentielles simples et la fonction logarithme décimal.

Capacités Connaissances Commentaires

Sur un intervalle donné, étudier les variations et représenter graphiquement les fonctions x

a qx

(avec q =10 et q =

2

1 ).

Fonctions exponentielles définies sur un intervalle donné par x a qx (avec q strictement positif et différent de 1).

Propriétés opératoires de ces fonctions exponentielles.

Les fonctions exponentielles sont à présenter comme "prolongement" des suites géométriques de premier terme 1 et de raison q strictement positive : elles sont introduites par interpolation de la représentation graphique d’une suite

géométrique de raison q strictement positive et différente de 1. L'utilisation des TICE est obligatoire.

L’étude des fonctions exponentielles, pour x < 0 sera ensuite menée en utilisant les TICE.

Se limiter à l’étude de trois exemples dont celui où q = 10.

Toute virtuosité dans l’utilisation des propriétés opératoires est exclue.

Étudier les variations et représenter graphiquement la fonction logarithme décimal, sur un intervalle donné.

Exploiter une droite tracée sur du papier semilogarithmique.

Fonction logarithme décimal x  a log x.

Propriétés opératoires de la fonction logarithme décimal.

La fonction logarithme décimal est introduite à l’aide des TICE à partir de la fonction x a 10x.

La relation log 10x = x est admise après des conjectures émises à l’aide des TICE.

Les propriétés algébriques de cette fonction sont données et admises.

Étudier des situations conduisant à l’utilisation du papier semi-logarithmique en liaison avec les sciences physiques ou le domaine professionnel.

Résoudre des équations du type qx = a et log x = a ou des inéquations du type qx ³ b (ou qx £ b ) et log x ³ b (ou log x £ b).

Processus de résolution d’équations du type qx = a et log x = a et des inéquations du type qx ³ b (ou qx £ b ) et log x ³ b   (ou log x £ b).

2.4 Fonctions logarithmes et exponentielles (groupements A et B)

L’objectif de ce module est d’entraîner l’élève à étudier et exploiter ces fonctions, modèles de situations concrètes, et d’utiliser leurs propriétés algébriques.

Capacités Connaissances Commentaires

Étudier les variations et représenter graphiquement la fonction logarithme népérien, sur un intervalle donné.

Fonction logarithme népérien x a ln x.

Définition du nombre e.

Propriétés opératoires de la fonction logarithme népérien.

La fonction ln est la fonction définie pour x > 0, qui s’annule en 1 et dont la dérivée est la fonction inverse.

L’étude des variations est conduite à l’aide de la dérivée.

Ces propriétés sont conjecturées à l’aide de la courbe représentative de la fonction logarithme népérien ou à l’aide de la calculatrice.

Toute virtuosité dans l’utilisation de ces propriétés opératoires est exclue.

Étudier les variations et représenter graphiquement la fonction logarithme décimal,sur un intervalle donné.

Exploiter une droite tracée sur du papier semilogarithmique

Fonction logarithme décimal x a log x.

Propriétés opératoires de la fonction logarithme décimal.

La fonction logarithme décimal est introduite à partir de la fonction ln.

Les propriétés algébriques de cette fonction se déduisent de celles de la fonction logarithme népérien.

Étudier des situations conduisant à l’utilisation du papier semi-logarithmique en liaison avec les sciences physiques ou le domaine professionnel.

Interpréter eb comme la solution de l’équation ln x = b.

Étudier les variations et représenter  graphiquement la fonction x a ex sur un intervalle donné.

La fonction exponentielle x a ex.

Propriétés opératoires de la fonction exponentielle de base e.

Conjecturer, à l’aide de la calculatrice, que ln (eb) = b.

L’unicité de la solution est montrée à l’aide de la courbe représentative de la fonction logarithme népérien.

La représentation graphique de la fonction x  a ex  est obtenue à l’aide des TICE.

Ces propriétés sont conjecturées à l’aide de la courbe représentative de la fonction logarithme népérien ou à l’aide de la calculatrice.

Consultation sur les nouveaux programmes du baccalauréat professionnel - mathématiques 20/ 25

Capacités Connaissances Commentaires

Étudier les variations des fonctions x a eax (a réel non nul).

Dérivée des fonctions x a eax (a réel non nul).

Illustrer le cas a = 1 à l’aide des coefficients directeurs de quelques tangentes.

Dans les énoncés de problèmes ou d’exercices, la formule, admise, est à choisir dans un formulaire spécifique donné en annexe.

Les fonctions x a qx (avec q =10 et q = 21 ) sont étudiées selon les besoins du domaine professionnel ou des autres disciplines.

Résoudre des équations du type eax = b et des inéquations du type eax ³ b (ou eax £ b).

Résoudre des équations du type ln (ax) = b (avec a > 0) et des inéquations du type ln (ax) ³ b (ou  ln (ax) £ b) (avec a > 0).

Processus de résolution d’équations du type eax = b et d’inéquations du type eax ³ b (ou eax £ b).

Processus de résolution d’équations du type ln (ax) = b (avec a > 0) et des inéquations du type ln (ax) ³ b ou du type ln (ax) £ b (avec a > 0).

3. GÉOMÉTRIE

3.1 Géométrie dans le plan et dans l’espace : consolidation (groupement B)

L’objectif de ce module est de revoir et renforcer, à partir d’activités, les connaissances et compétences de géométrie étudiées dans les classes précédentes (sans révision systématique).

Capacités Connaissances Commentaires

Représenter, avec ou sans TICE, la section d’un solide usuel par un plan.

Identifier un solide usuel dans un objet donné, à partir d’une représentation géométrique de ce dernier.

Lire et interpréter une représentation d’un solide.

Isoler une figure plane extraite d’un solide à partir d’une représentation.

Utiliser les définitions, propriétés et théorèmes mis en place dans les classes précédentes pour identifier, représenter et étudier les figures planes et les solides cités dans ce paragraphe.

Solides usuels : cube, parallélépipède rectangle, pyramide, cylindre, cône, sphère.

Les sections obtenues sont des triangles particuliers, des quadrilatères particuliers ou des cercles.

Les solides étudiés sont des objets techniques issus de la vie courante ou professionnelle. Ils sont constitués à partir de solides usuels.

Les figures planes et les représentations des solides sont construites à l’aide des outils de géométrie ou de logiciels de géométrie dynamique.

3.2 Vecteurs 2(groupement B)

L’objectif de ce module est d’aborder le repérage dans l’espace ainsi que des notions vectorielles simples. Le passage du plan à l’espace se fait de façon intuitive.

Capacités Connaissances Commentaires

Calculer la norme d’un vecteur dans un repère orthonormal dans l’espace.

Dans l’espace muni d’un repère orthonormal :

- coordonnées cartésiennes d’un point ;

- coordonnées d’un vecteur ;

- norme d’un vecteur.

 

Consultation sur les nouveaux programmes du baccalauréat professionnel - mathématiques 21/ 25

3.3 Trigonométrie 2 (groupement A)

L’objectif de ce module est de fournir aux élèves quelques outils spécifiques. Leur introduction s'appuie sur des exemples concrets issus du domaine professionnel.

Capacités Connaissances Commentaires

Établir des liens entre le vecteur de Fresnel d’une tension ou d’une intensité sinusoïdale de la forme  a sin(w t + j) et la courbe représentative de la fonction qui à t associe a sin(w t + j).

Représentation de Fresnel d’une grandeur sinusoïdale.

Les valeurs instantanées des tensions ou intensités électriques sinusoïdales servent de support à l’étude de ces notions.

Placer sur le cercle trigonométrique les points "images" des réels – x, p – x,

2 – x, et p + x

connaissant "l’image" du réel x.

Utiliser le cercle trigonométrique pour écrire les cosinus et sinus des réels

– x, p – x,

2 – x,

2 + x et p+ x en fonction des cosinus et sinus du réel x.

Angles associés : supplémentaires, complémentaires, opposés et angles dont les mesures sont différentes de p.

Courbe représentative de la fonction cosinus.

La relation cosx = sin(x +

2 ) permet d'obtenir la courbe représentative de la fonction cosinus.

Mettre en oeuvre les formules exprimant cos (a + b) et sin (a + b) en fonction de cos a, cos b, sin a, sin b.

Formules exprimant cos (a + b) et sin (a + b) en fonction de cos a, cos b, sin a, sin b.

Les formules sont admises.

Résoudre les équations de la forme cos x = a,  sin x = b et sin(w t + j) = c.

Estimer, à l’aide d’un tableur-grapheur ou d’une calculatrice, la (les) solution(s), dans un intervalle donné, de l’équation f (x) = l avec l  réel donné et f (x) = cos x ou f (x) = sin x et de l'équation sin(w t + j) = c.

Équations de la forme cos x = a et sin x = b et sin(w t + j) = c.

Utiliser le cercle trigonométrique en se limitant aux cas où les réels a, b et c ont pour valeur absolue 0, 1,

1

2

,

2

2

ou

3

2

.

Dans le cas où l n’est pas une des valeurs citées  ci-dessus, donner une valeur approchée de la (les) solution(s) cherchée(s).

Consultation sur les nouveaux programmes du baccalauréat professionnel - mathématiques 22/ 25

PROGRAMME COMPLÉMENTAIRE DE MATHÉMATIQUES  EN VUE D'UNE POURSUITE D'ETUDES EN STS

Produit scalaire de deux vecteurs (groupements A et B)

L’objectif de ce module est de fournir aux élèves des outils spécifiques utilisés dans le domaine professionnel. L’introduction des notions s'appuie sur des exemples concrets issus des sciences physiques ou domaine professionnel.

Capacités Connaissances Commentaires

Définition du produit scalaire de deux vecteurs. Les trois expressions du produit scalaire de deux vecteurs sont les suivantes :

r

u .

r

v =

2

1

u v

r r + 2 - u

r

2 - v

r

2 .

si

r

u ou

r

v est nul alors

r

u .

r

v = 0.

si

r

u et

r

v sont tous les deux différents du vecteur

nul alors

r

u .

r

v = u

r

´ v

r

´ cosq,

avec q = (

r

u ,

r

v ).

si, dans un repère orthonormal, les vecteurs

r

u et

r

v ont pour coordonnées respectives (x , y) et

(x' , y’) alors

r

u .

r

v = xx’ + yy

Formules exprimant sin (a + b) et cos (a + b) en fonction de cos a, cos b, sin a, sin b.

Deux des trois expressions du produit scalaire de deux vecteurs sont utilisées pour élaborer la formule donnant cos (a - b).

Utiliser les trois expressions du produit scalaire de deux vecteurs pour déterminer des longueurs et des angles.

Propriétés du produit scalaire de deux vecteurs :

R u . r v =

r

v .

r

u

a(

r

u .

r

v ) = (a

r

u ).

r

v

r

u . (

r

v +w

r

) =

r

u .

r

v +

r

u . w

r

Ces propriétés sont admises.

Reconnaître des vecteurs orthogonaux, à l’aide de leurs coordonnées dans un repère orthonormal.

Vecteurs orthogonaux.

Deux vecteurs

r

u et

r

v sont orthogonaux si et seulement si leur produit scalaire est nul.

Deux vecteurs orthogonaux non nuls ont des directions perpendiculaires.

Nombres complexes (groupements A et B)

L’objectif de ce module est de fournir aux élèves des outils spécifiques utilisés dans le domaine professionnel. L’introduction des notions s'appuie sur des exemples concrets issus du domaine professionnel.

Capacités Connaissances Commentaires

Dans le plan rapporté à un repère orthonormal direct (plan complexe) :

- représenter un nombre complexe z  par un point M ou un vecteur ÄOM ;

- représenter le nombre complexe z . Expression algébrique d’un nombre complexe z : z = a + jb avec j2 = - 1. Partie réelle, partie  imaginaire.

Nombre complexe nul. Égalité de deux nombres  complexes.

Nombre complexe opposé de z ; nombre complexe conjugué de z.

Représentation d'un nombre complexe dans le plan complexe.

Représenter, dans le plan complexe, la somme de deux nombres complexes et le produit d’un nombre complexe par un réel.

Effectuer des calculs dans l’ensemble C des nombres complexes ; donner le résultat sous forme algébrique.

Somme, produit, quotient de deux nombres complexes.

Écrire un nombre complexe sous forme trigonométrique.

Passer de la forme algébrique d’un nombre complexe à sa forme trigonométrique et réciproquement.

Module et arguments d’un nombre complexe non nul.

Consultation sur les nouveaux programmes du baccalauréat professionnel - mathématiques 23/ 25

Calcul intégral (groupements A et B)

L’objectif de ce module est de donner un outil permettant de résoudre des problèmes issus du domaine professionnel. Toute virtuosité est exclue. Il convient que l’élève maîtrise les notions de base décrites dans cette partie en résolvant de nombreux problèmes et en expérimentant.

Capacités Connaissances Commentaires

Savoir que si F est une primitive d’une fonction f sur un intervalle, F + k ( où k est une constante) est aussi une primitive de f.

Utiliser un tableau donnant les primitives des fonctions usuelles suivantes :

x

a k, x

a x, x

a x2, x

a x3, x

a xn

et x

a

1

x .

Déterminer, avec ou sans TICE, les primitives d’une somme de fonctions, du produit d’une fonction par un réel.

Primitives d’une fonction sur un intervalle.

Primitives d’une somme de fonctions, du produit d’une fonction par un réel.

Conjecturer cette propriété en déterminant, par expérimentation, parmi plusieurs fonctions données, celles dont les fonctions dérivées sont  égales.

Entraîner les élèves à retrouver ces primitives par lecture inverse des formules de dérivation.

Dans tous les autres cas, une primitive est donnée.

Calculer, avec ou sans TICE, l’intégrale, sur un intervalle [a,b], d’une fonction f admettant une primitive F.

Interpréter, dans le cas d’une fonction positive, une intégrale comme l’aire d’une surface.

Définition de l'intégrale, sur un intervalle [a,b], d’une fonction f admettant une primitive F :

f ( x )dx

a

b ∫ = F (b) - F (a )

Constater que le résultat est indépendant du choix de la primitive.

Se limiter à des fonctions f dont la détermination de la dérivée ne pose pas de difficulté particulière.

Pour les spécialités du groupement A, une primitive des fonctions trigonométriques est introduite pour calculer des valeurs moyennes et des valeurs efficaces.

Primitives (groupement C)

L’objectif est de donner un outil permettant de résoudre des problèmes issus des sciences ou du domaine professionnel. Toute virtuosité est exclue. Il convient que l’élève maîtrise les notions de base décrites dans cette partie en résolvant de nombreux problèmes et en expérimentant.

Capacités Connaissances Commentaires

Savoir que si F est une primitive d’une fonction f   sur un intervalle, F + k ( où k est une constante) est aussi une primitive de f.

Utiliser un tableau donnant les primitives des fonctions usuelles suivantes :

X  ; a k, x ;  a x, x  ;   a x2, x  ;   a x3, x  ; a xn  et x a .

Déterminer, avec ou sans TICE, les primitives d’une somme de fonctions, du produit d’une fonction par un réel.

Primitives d’une fonction sur un intervalle.

Primitives d’une somme de fonctions, du produit d’une fonction par un réel.

Conjecturer cette propriété en déterminant, par expérimentation, parmi plusieurs fonctions données, celles dont les fonctions dérivées sont  égales.

Entraîner les élèves à retrouver ces primitives par lecture inverse des formules de dérivation.

Dans tous les autres cas, une primitive est donnée.

 

Consultation sur les nouveaux programmes du baccalauréat professionnel - mathématiques 24/ 25

Fonctions logarithme népérien et exponentielle de base e (groupement C)

L’objectif est d’entraîner l’élève à étudier et exploiter ces fonctions, modèles de situations concrètes, et d’utiliser leurs propriétés algébriques.

Capacités Connaissances Commentaires

Étudier les variations et représenter  graphiquement la fonction logarithme népérien, sur un intervalle donné.

Fonction logarithme népérien x a ln x.

Définition du nombre e.

Propriétés opératoires de la fonction logarithme  népérien.

La fonction ln est la fonction définie pour x > 0,  qui s’annule en 1 et dont la dérivée est la fonction inverse.

L’étude des variations est conduite à l’aide de la  dérivée.

Ces propriétés sont conjecturées à l’aide de la courbe représentative de la fonction logarithme népérien ou à l’aide de la calculatrice.

Toute virtuosité dans l’utilisation de ces propriétés est exclue.

Interpréter eb comme la solution de l’équation ln x = b.

Étudier les variations et représenter graphiquement la fonction x a ex sur un intervalle donné.

La fonction exponentielle x a ex.

Propriétés opératoires de la fonction exponentielle de base e.

Conjecturer, à l’aide de la calculatrice, que ln (eb) = b.

L’unicité de la solution est montrée à l’aide de la courbe représentative de la fonction logarithme népérien.

La représentation graphique de la fonction x a ex   est obtenue à l’aide des TICE.

Ces propriétés sont conjecturées à l’aide de la courbe représentative de la fonction logarithme népérien ou à l’aide de la calculatrice.

Étudier les variations des fonctions x a eax   (a réel non nul).

Dérivée des fonctions x a eax (a réel non nul).  Illustrer le cas a = 1 à l’aide des coefficients directeurs de quelques tangentes.

Dans les énoncés de problèmes ou d’exercices, la formule, admise, est à choisir dans un formulaire spécifique donné en annexe.

Les fonctions x a qx (avec q =10 et q =  2

1 ) sont étudiées selon les besoins du domaine professionnel ou des autres disciplines.

Résoudre des équations du type eax = b et des inéquations du type eax ³ b (ou eax £ b).

Résoudre des équations du type ln (ax) = b (avec a > 0) et des inéquations du type ln (ax) ³ b (ou ln (ax) £ b) (avec a > 0).

Processus de résolution d’équations du type eax = b et d’inéquations du type eax ³ b (ou eax £ b).

Processus de résolution d’équations du type ln (ax) = b (avec a > 0) et des inéquations du type   ln (ax) ³ b ou du type ln (ax) £ b (avec a > 0).

Consultation sur les nouveaux programmes du baccalauréat professionnel - mathématiques 25/ 25

THÉMATIQUES EN MATHÉMATIQUES

Les thématiques sont classées en cinq grands sujets :

· développement durable ;

· prévention, santé et sécurité ;

· évolution des sciences et techniques ;

· vie sociale et loisirs ;

· vie économique et professionnelle.

Une liste non exhaustive de thématiques à explorer, classée par grands sujets, est proposée dans le B.O.E.N et sera, tous les trois ans, partiellement réactualisée.

Par année de formation, l’enseignant choisit au moins deux thématiques dans des sujets différents.

La thématique choisie est d’autant plus riche qu’elle permet d’aborder plusieurs modules du programme. Pour chacune d’entre elles, des questions énoncées par l’enseignant doivent être proposées. Celles-ci doivent être en phase avec la vie quotidienne et professionnelle des élèves et motiver l’acquisition des compétences décrites dans le programme.

Le traitement de ces thématiques peut prendre plusieurs formes (activité introductive concrète, séance de travaux pratiques, recherche multimédia, travail en groupe, travail personnel…).

Les enseignants sont aidés dans la mise en oeuvre des thèmes par le document d’accompagnement qui propose des exemples ou des pistes de réflexion sous forme de démarche d’investigation, de résolution de problèmes...

Première liste de thématiques à publier au B.O.E.N

Développement Durable

- Protéger la planète.

- Gérer les ressources naturelles.

- Transporter des personnes ou des marchandises.

- Comprendre les enjeux de l’évolution démographique.

Prévention, Santé et Sécurité

- Prévenir un risque lié à l’environnement.

- Prendre conscience du danger des pratiques addictives.

- Prendre soin de soi.

- Utiliser un véhicule.

Évolution des sciences et techniques

- Transmettre une information.

- Mesurer le temps et les distances.

- Découvrir les nombres à travers l’histoire des mathématiques.

- Observer le ciel.

Vie sociale et loisirs

- Construire et aménager une maison.

- Jouer avec le hasard.

- Comprendre l’information.

- Croire un sondage.

- Préparer un déplacement.

Vie économique et professionnelle

- Choisir un crédit.

- Établir une facture.

- Payer l’impôt.

- Concevoir un produit.

- Gérer un stock.

- Contrôler la qualité.