LOGICIEL

COUP DE GUEULE.  

( qui suis - je ? qu’ai je fais  pour que cela change ? )

 

       

 Quand obligera - t-on les professeurs à faire passer aux « apprenants » des devoirs formatifs , à en exploiter les  résultats et s’appuyer sur les erreurs pour faire réellement de la pédagogie, et puis mettre l’apprenant , au fin du compte , en situation de réussite scolaire ?

 

Parce qu’en fait si ce devoir est enfin validé , il est alors déplacé d’utiliser l’ expression :élève en situation de d’échec scolaire.

 

Utiliser ces devoirs  ,  oblige à repenser  la façon de mener  la formation  :  Cette nouvelle  pratique implique que le maître est en mesure  gérer  un groupe et de  fixer  à ce groupe un cadre (lieu et temps) pour  « s’informer » , « se former »  et « se faire valider » , pour cela il doit en plus être capable d’ individualiser  « ses interventions »  , et suivre  individuellement  la progression.    

 

 

 

Je suis outré de voir et d’entendre   qu ‘une majorité  sont condamnés à l’ échec « scolaire ».

 

Et qu’il suffirait  se réformer ,de  « jouer » à faire baisser  officiellement le niveau « des exigences » , qu’il faudrait  plus de moyens ( lesquels et pourquoi faire ?) , pour faire croire que le niveau « scolaire » monterait .

 

 

Le système éducatif  est  resté , sur le fond ,  un système réservé à l’ élite .

 

Constations :

Qui met les notes qui situent l’ élève dans sa scolarité : le ou les professeurs qui ont la charge de l’élève .  ( q ? :que signifie : avoir ou prendre en charge un individu ( élève ou adulte ) en formation ?)

 

Quand acceptera - t- on  de responsabiliser  et impliquer  les professeurs dans la réussite des performances des élèves dont il a la charge ?

 

Quand obligera -t -on un professeur  à justifier et agir lorsqu’il constatera  qu’un individu semble ou est en difficulté ?  

 

 

 

INDIVIDUALISER  ne veut pas  dire « isoler ».

 

Pour qu’une formation soit réussie (qui justifie d’être validée) il faut  assurer  un suivi individualisé.

Il faut contrôler et évaluer  systématiquement celui qui est période d’apprentissage  , pour que le formateur  puisse , à partir des erreurs constatées , devoir les corriger et  intervenir pour :

  1. apporter des explications complémentaires,
  2. combler des lacunes ,
  3. redescendre de niveau , lorsque l’on constate que les explications ne suffisent pas  ;
  4. donner des méthodes pour « apprendre à apprendre » , pour apprendre à s’organiser dans la gestion des documents et son suivi ( pour pouvoir revenir en arrière) , pour apprendre à s’organiser et gérer dans chaque étude de leçon les différentes périodes  liées aux activités d’apprentissage ,
  5. justifier et valoriser le travail en relation avec les formations complémentaires (dont le but est de ne plus  faire l’erreur)  en donnant un devoir de rattrapage (qui aura la même valeur que le  premier devoir  incomplètement réussi. Ce rattrapage est « automatiquement obligatoire », si  , les erreurs sont dû à des savoirs exigés lors du contrôle. Ce rattrapage  peut s’effectuer en plusieurs fois , pourvu que ce travail ait lieu  en dehors des heures réservées à la formation. Un contrôle est un devoir qui doit être  validé intégralement ) ,…………..

Précisions concernant le point 4 :  On a théoriquement , mise en place , une formation spécifique, pour apprendre à faire face à  ces types de problèmes qui « freine » ou « empêche » l’individu à progresser.

 

 

Solution :

     Il faut mettre en place un suivi  individualisé « formatif ».

 Il faut  obliger les professeurs à faire des devoirs formatifs ,à  en exploiter les  résultats pour faire réellement de la pédagogie individualisée , et puis mettre l’apprenant , au fin du compte , en situation de réussite scolaire , par devoir  « en rattrapage » intégré dans le temps de formation ( heures d’individualisation , dont les activités pédagogiques sont liées avec le corrigé du devoir , l’aide à comprendre , à apprendre pour ne plus refaire ou renouveler la même  erreur   ?

    Un devoir formatif est un devoir « prédictif », c’est à dire que l’élève doit se préparer à passer un devoir qui va l’interroger  par écrit sur ce qu’il doit savoir ( apprendre par cœur  et, citer par écrit ) et sur la maîtrise de ces savoirs ( être compétent à mettre en œuvre ces savoirs) dont le niveau est fixé par les textes et dont on communique à l’apprenant les énoncés des exercices types à devoir réussir )

 WARMATHS peut être une solution qui va aider « administrativement »le professeur ( tuteur ou formateur ou répétiteur )  en position  de former , guider , aider , contrôler et évaluer , chaque « personne » dont il a la charge et   dont le niveau  en formation à faire atteindre  et  intégralement validé est clairement défini , communiqué à tous ceux qui  vont  jouer un rôle de prés ou de loin dans la mise en place et le déroulement de chaque formation.   

 

 

 

 

Quand décidera  - t- on  de demander des comptes aux professeurs. Il faut  que ceux ci soit en mesure de justifier   l’échec  ou la réussite  de chaque individu  dont ils  avaient pour mission de former l’ élève , chaque élève ?  

 

Quand décidera - t -on de remettre en cause les outils d’ évaluation  (devoirs « loto » ) qui servent  uniquement à classer les élèves l’un par rapport à l’autre , sans autre but ,que de risquer  de créer des conflits entre élèves entre eux  ou  entre le professeur et  les élèves qui n’ont pas réussi .

 

WARMATHS  apporte  des solutions , des possibilités , pour qu’en fin de compte , l’élève réussisse .

 

 

 

 

 

Attention :Je mets  au défit les  «pseudo- théoriciens  ou  scientistes »  qui gravitent dans  tous les services de l’éducation nationale » qui « par protection » qui sont plus inquiets   à  conserver  leur situation qu ‘ à améliorer  celle des élèves et qui lorsque l’on propose des innovations , dans l’intérêt du système éducatif   et de tous  les « formateurs »  et  les « à former »  cherchent  minimiser  un travail de recherche , apporte un jugement lapidaire  jusqu’à  faire de l’obstruction , à bloquer tout tentative  « qui valorisera » ce travail .

 

Je mets au défit  les personnes qui ont des visions réductrices (comme certains inspecteurs, ou professeurs )  qui ne cherchent pas à connaître ou découvrir d’autres  pratiques qui ne sont pas  « nées » de leur cogitation  et dont ils portent  un jugement   négatif  . (par incompétence ou par intérêts particuliers).

 

 J’ai essuyé , depuis des années , et à tous les niveaux  de la « hiérarchie » du système éducatif  , un fin de non recevoir , ou  des remarques qui tendaient  à dévaloriser ou minimiser  mon travail de recherche , sur la réussite scolaire . (remarquez que je ne parle pas de l’échec scolaire ) , à neutraliser mes actions (par l’absence ou le refus de donner des moyens).

 

Le terme d’échec scolaire culpabilise l’élève , protège le professeur , qui la plupart du temps se déculpabilise en faisant retomber la responsabilité à d’autres .La réussite scolaire  implique le professeur , ses compétences et sa  motivation voir sa conscience professionnelle , pour chaque léve il va devoir modifier ou adapter sa pratique de « Pédagogue ».

Les devoirs qui situent  l’élève en échec  constatent et sanctionnent. Les devoirs , en vu d’une recherche de réussite , posent des problèmes à l’élève mais aussi aux professeurs .Comment faire pour cet élève atteigne l’objectif recherché ?.

Cette banque de données  représente  plus  de 18 années :

-          de recherche action ,

-           d’expérimentations pour mettre en situation de réussite . 

-          ,de régulation  (contrôle et évaluation ) et d’adaptation (médiation , remédiation ) pour sortir les élèves  des « situations d’échecs » , 

-           de pratiques éducatives ( nouvelle forme de la gestion du temps et de l’espace ) ,

-           de formation personnelle en université pour apporter la contradiction et parfaire mes connaissances en psychologie, en sociologie  et autres sciences de  l’éducation  ,

-           de capitalisation  sur informatique d’outils pédagogiques  de formation et de suivi  destinés à individualiser la formation ; ( avec interactivité)

-          pour  proposer des activités de remédiation ,

 

 en vu de garantir une formation centrée sur la réussite scolaire ,  tant dans le qualitatif que le quantitatif .

Ce que l’expérimentation a montré :

 La confrontation  individualisé  avec chaque élève en difficulté, pour l’aider à progresser  et le mettre en situation de réussite : à mis en évidence :

 - Qu’il  fallait  tenir compte du développement cognitif de l’individu, (se souvenir des stades piagétiens) , que les premières remédiations  étaient d’ordre  méta cognitives ( développement  des mécanismes de pensée, imprégnation des notions et concepts abordés en primaire non acquis)  

 - Qu’il fallait apporter  , à l’entrée en formation , une aide pour « apprendre à apprendre » : gérer son temps , son classeurs , identification des étapes en phase d’apprentissage ;

-  Qu’il fallait accompagner l’élève dans son Apprentissage et ses apprentissages  , dans l’étude d’une leçon. (décomposition des étapes , respecter l’ordre des activités , s’auto évaluer , s’auto contrôler,…, le mettre en situation de réussite )

-  Que c’était une erreur de  mesurer  « exclusivement »  des compétences ;qu ‘il n’était pas suffisant « d’évaluer »  lorsque l’élève était en phase «d’éducation  formative » . 

- qu’il fallait  « contrôler » et « évaluer » en simultané  : il faut   capitaliser des savoirs et   en même temps on doit  évaluer le niveau de mise en œuvre  et de maîtriser de ces savoir . ( on mesurera  des savoirs faire  ,dont la mise en œuvre  s ‘appuie   sur  des savoirs objets et des savoirs procéduraux ,

- Qu’il fallait  « contrôler »  et « Evaluer » pendant toute l’activité « formative » , c’est à dire  utiliser ces travaux  de contrôle et d’évaluation  pour parfaire ou terminer l’ apprentissage , pour un objectif recherché . c’est ensuite qu’il apparaît utile  ( par jeu) de travailler et de raisonner sur des activités  interdisciplinaires.

- qu’il fallait tenir compte des vitesses d’acquisition et des niveaux « acquis » pour chaque élève .  

- Qu’il  fallait mettre en place , ( pour les élèves en difficultés)  des plages horaires « proposant » des activités de médiation  ( rattraper ou compléter un devoir formatif),  dont les bons résultats confirmeront et  valideront  la formation. (par une note ,………) 

- Qu’il  fallait mettre en place , (pour les élèves en très grande difficulté) des plages horaires destinés aux  activités de remédiation  ( revenir en arrière pour compléter les manques , combler des  lacunes  , ces pré requis indispensables  pour  pouvoir  continuer à progresser. ), et   dont les bons  résultats confirmeront et  valideront  la formation. (par une note ,………) 

 c’est ensuite qu’il apparaît utile  ( par jeu) de travailler et de raisonner sur des activités  interdisciplinaires. 

 

-          que l’élève devait savoir mais qu’il  ne pouvait pas apprendre n’importe quoi à n’importe quel moment ;ce qui implique de réfléchir sur la construction des savoirs  et donc de connaître parfaitement  la didactique et les méta savoirs de la matière enseigné .

-          Qu’ à chaque situation d’échec  ,’il fallait  s’interroger  et d’identifier  les raisons qui ne permette pas de mesure cette  situation de réussite. ( stage de développement  cognitif pas atteint , lacunes (niveau trop haut )   , méthodologie  en lien avec les apprentissages,manque de  motivation à réussir, ………  )

La classe un lieu d’études ,  un contrat d’engagement de respect et de travail mutuel pour que chacun atteigne le niveau qu’il doit atteindre.;

 

On ajoutera aussi : la nécessité de préserver des aléas extérieurs l’élève et   l’endroit où il se forme., le lieu « classe » est  « sa classe », un lieu de sérénité , où il fait bon vivre.  . On créera un climat de respect et de confiance mutuelle. On lui garantira la réussite ( la bonne note) , on ne lui promet pas que cela sera simple , mais que l’on fera ce qu’il faut pour l’aider à réussir et pour l’aider à faire  valider chaque objectif atteint , et certifier sa formation , cela ,  indépendamment du délai qu’il lui aura fallu pour « réussir », pace que l’on ne maîtrise pas les événement  extérieurs à l’établissement , et le professeur  pourra le « reprendre »  . On imposera et  respectera un règlement sur le fonctionnement de la classe (être à l’heure, avoir son matériel , préparer ses travaux auto formatifs  …..) . les devoirs « formatifs »  sont à la base du suivi ,les 3/4  du contenu  sont communiqués aux élèves , qui peuvent les préparer .Ils sont obligatoires , on ne négocie pas le contenu , on négocie la date de passage , l’heure , on peut obtenir pour venir le compléter « pendant midi » les jours suivant.

Il sont corrigés , on analyse les erreurs , tout manque doit faire l’objet  d’un rattrapage (médiation) après avoir  préparé une   « auto correction   »  . Toute demande de la part de l’élève pour refaire ou rattraper un devoir portant sur les « savoirs » à capitaliser sera «  exhaussée », compléter par des exercices qui vont mettre en œuvre ces nouveaux acquis .

 

Ce que  vous venez de lire   est  la pratique  quotidienne  , que je propose à mes  élèves .

 

@  Approches théoriques  

Je peut certifier que dans le système éducatif , la mauvaise fois est de mise , à tous les niveaux de ceux qui sont chargés de réfléchir sur la réussite scolaire. Et que les intérêts particuliers priment sur l’intérêt de l’élève ou de celui qui se forme.

Centré sur le « formatif » :

« Individualiser mais ne pas isoler ». « homogénéiser et gérer l’hétérogénéité », « contrôler et évaluer pour aider , guider , accompagner ».

L ‘apprentissage  passant pour chaque objectif- cours  par le respect d’une procédure qui repose sur les activités d’antériorités maîtrisées (progression suivant la technique du  yo-yo  et le feed bak)   processus  : « informer  (prendre ), questionner  pour « s’informer » (comprendre) , corriger , remédier ,  réguler   (apprendre) ,   valider et certifier

Il n’existe aucune banque de données ,sur le marché ,  qui propose à la fois les documents , et la méthode pour exploiter ces documents